Œuvres completes de Voltaire, Volume 9la Société littéraire-typographique, 1785 - Authors, French |
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Page 453
... CINTI A. Quelle eft cette femme qui crie ? Nous voilà tombés d'une peine dans une autre ; c'est une femme qui paraît belle ; elle est toute troublée ; elle defcend de la mon- tagne ; elle court ; elle eft prête à tomber . PHOCA S ...
... CINTI A. Quelle eft cette femme qui crie ? Nous voilà tombés d'une peine dans une autre ; c'est une femme qui paraît belle ; elle est toute troublée ; elle defcend de la mon- tagne ; elle court ; elle eft prête à tomber . PHOCA S ...
Page 454
... CINTI A. Vous pourrez trouver aifément cet homme ; car fi les tambours et la mufique l'ont fait fortir de fa caverne , il n'y a qu'à recommencer , et il approchera . PHOCA S. Vous dites bien , fefons entendre encore nos inftru- mens ...
... CINTI A. Vous pourrez trouver aifément cet homme ; car fi les tambours et la mufique l'ont fait fortir de fa caverne , il n'y a qu'à recommencer , et il approchera . PHOCA S. Vous dites bien , fefons entendre encore nos inftru- mens ...
Page 458
... CINTI A. Quel eft cet objet ? HERACLIUS . Quel bel animal ! CINTI A. La vilaine bête ! HERA CLIU S. Quel divin afpect ! CINT I A. 458 TOUT EST VERITÉ ,
... CINTI A. Quel eft cet objet ? HERACLIUS . Quel bel animal ! CINTI A. La vilaine bête ! HERA CLIU S. Quel divin afpect ! CINT I A. 458 TOUT EST VERITÉ ,
Page 459
... CINTI A. Je fuis arrivée ici très - irréfolue , et je commence à ne plus l'être . HERA CLIU S. O vous poifon de deux de mes fens , l'ouïe et la vue , avant de vous voir de mes yeux je vous avais admirée de mes oreilles ; qui êtes - vous ...
... CINTI A. Je fuis arrivée ici très - irréfolue , et je commence à ne plus l'être . HERA CLIU S. O vous poifon de deux de mes fens , l'ouïe et la vue , avant de vous voir de mes yeux je vous avais admirée de mes oreilles ; qui êtes - vous ...
Page 460
... CINTI A. Quel eft ce vieillard qui écoutait , et qui a fait tant ́ peur à une femme ? de HERACLIUS . Je ne le fais pas . CINT I A. Pourquoi vis - tu de cette forte dans les montagnes ? HERACLIUS . Je n'en fais rien . CINT I A. Tu ne ...
... CINTI A. Quel eft ce vieillard qui écoutait , et qui a fait tant ́ peur à une femme ? de HERACLIUS . Je ne le fais pas . CINT I A. Pourquoi vis - tu de cette forte dans les montagnes ? HERACLIUS . Je n'en fais rien . CINT I A. Tu ne ...
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Common terms and phrases
ABDAL acte affez afiles Aftolphe ainfi Alamir Amour APOLLON auffi Bacchus BARON beau BERGERS Brutus C'eft c'eſt Caffius CASCA CASSIUS Céfar CESA R CESAR chante charmes CHOEUR ciel cieux Cimber Cinna CINTI Cintia cœur CONSTANCE crains DALIL danfe Daphnis defcend deftin dieu dieux DUC DE FOIX enſemble ERIGONE eſt fang fans fauvage favoir fcène feconde fecret féjour fens fentir fera fervir fête feul fils de Maurice foit foldats font fous fouvent fuis Gloire Glycère GREGOIRE guerre GUILLOT HERA CLIU HERACLIUS HERNAND héros IRENE j'ai jour Jupiter l'amour laiffe LEONIDE LEONOR Libia lieux Lucius Memphis Monfieur MORILLO Mufes mufique n'eft paffe Pandore parle PERE de Daphnis peuple PHANOR PHILISTINS PHOCA plaifir plaifirs PLAUTINE préfent PRESTINE puiffe puifque raifon refpect refte rien rois SAMSON SANCHETTE SCENE PREMIERE STOL PHE TANI temple tendre théâtre TRAJAN trembler tyrans vainqueur Vénus vois voix yeux ZELIDE
Popular passages
Page 18 - Peuple, éveille- toi, romps tes fers, Remonte à ta grandeur première, Comme un jour Dieu du haut des airs Rappellera les morts à la lumière, Du sein de la poussière, Et ranimera l'univers.
Page 518 - Vandales , les Goths , dans leurs écrits bizarres , Dédaignèrent le goût des Grecs et des Romains : Nos aïeux ont marché dans ces nouveaux chemins ; Nos aïeux étaient des barbares. L'abus règne , l'art tombe , et la raison s'enfuit ; Qui veut écrire avec décence, Avec art , avec goût , n'en recueille aucun fruit ; II vit dans le mépris et meurt dans l'indigence.
Page 364 - Je n'ai qu'un mot à ajouter, c'est que les vers blancs ne coûtent que la peine de les dicter; cela n'est pas plus difficile à faire Qu'une lettre. Si on s'avise de faire des tragédies en vers blancs, et de les jouer sur notre théâtre , la tragédie est perdue. Dès que vous ôtez la difficulté, vous ôtez le mérite.