Il me fallait des amis que je crusse aimer le reste de mes jours, une maison qui fût la mienne , et un pays où l'ambition de me distinguer pût m'être permise. Aussi, dès que nous fîmes un pas vers le retour, je fus transporté de joie. Jusque-là... Eugene de Rothelin, - Page 45by Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Souza-Botelho - 1808 - 161 pagesFull view - About this book
| Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Souza-Botelho - 1822 - 544 pages
...entre peu de personnes une vie commune, et pour ainsi dire une langue parti* culière. Il me fallait des amis que je crusse aimer le reste de mes jours...le retour , je fus transporté de joie. Jusque-là j'avais vu passer les premières , les plus belles années de ma jeunesse sans gaieté comme sans affection,... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1840 - 524 pages
...dire une langue particulière. Il me fallait des amis que je crusse aimer le reste de mes jours, um; maison qui fût la mienne, et un pays où l'ambition...distinguer pût m'être permise. Aussi, dès que nous finies un pas vers le retour, je fus transporté de joie. Jusque-là, j'avais vu passer les premières,... | |
| Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Sousa-Botelho - French fiction - 1845 - 526 pages
...entre peu de personnes une vie commune, et pour ainsi dire une langue particulière. Il me fallait des amis que je crusse aimer le reste de mes jours,...le retour, je fus transporté de joie. Jusque-là j'avais vu passer les premières , les plus belles années de ma jeunesse sans gaité comme sans affection... | |
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