Séances et travaux de l'Académie des sciences morales et politiques, compte rendu, Volume 33; Volume 133Au Bureau du Moniteur Universel, 1890 |
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Page 21
... Frédéric Passy a fait , l'année der- nière , un si bel éloge dans la séance des DISCOURS DE M. BOUILLIER . 21.
... Frédéric Passy a fait , l'année der- nière , un si bel éloge dans la séance des DISCOURS DE M. BOUILLIER . 21.
Page 107
... Frédéric Passy , président et vice - président , empêchés , a remercié M. le duc d'Aumale en quelques mots : « Monseigneur , je suis assuré d'être le fidèle interprète de l'Académie « en vous offrant ses remerciements unanimes . La ...
... Frédéric Passy , président et vice - président , empêchés , a remercié M. le duc d'Aumale en quelques mots : « Monseigneur , je suis assuré d'être le fidèle interprète de l'Académie « en vous offrant ses remerciements unanimes . La ...
Page 144
... Frédéric Passy , président , fait en quelques mots l'éloge fu- nèbre de M. Fustel de Coulanges . M. Lévêque insiste sur le séjour de M. Fustel de Coulanges à l'École d'Athènes . Sur la proposition du Secrétaire perpétuel , l'Académie ...
... Frédéric Passy , président , fait en quelques mots l'éloge fu- nèbre de M. Fustel de Coulanges . M. Lévêque insiste sur le séjour de M. Fustel de Coulanges à l'École d'Athènes . Sur la proposition du Secrétaire perpétuel , l'Académie ...
Page 145
... Frédéric Passy présente une brochure intitulée l'enseignement professionnel en France depuis 1789 , par M. Charles Lucas , architecte ( Conférence faite le 20 juillet 1889 , au Cercle populaire de l'Exposition universelle de 1889. ) M ...
... Frédéric Passy présente une brochure intitulée l'enseignement professionnel en France depuis 1789 , par M. Charles Lucas , architecte ( Conférence faite le 20 juillet 1889 , au Cercle populaire de l'Exposition universelle de 1889. ) M ...
Page 469
... Frédéric Passy , vice - président pour l'année 1889 , prononce le discours suivant : DISCOURS DE M. BOUILLIER . MES CHERS CONFRÈRES , Me voici arrivé au terme d'une présidence qui a été malheureusement plus longue qu'à l'ordinaire , et ...
... Frédéric Passy , vice - président pour l'année 1889 , prononce le discours suivant : DISCOURS DE M. BOUILLIER . MES CHERS CONFRÈRES , Me voici arrivé au terme d'une présidence qui a été malheureusement plus longue qu'à l'ordinaire , et ...
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Common terms and phrases
actes Alfred Baudrillart années Aristote Aucoc avaient Bacon Baudrillart Benoît XIII bibliothèques Boniface VIII Bulletin Camargue cause classes clercs clergé Code comte concours confrère Conseil déposés au secrétariat devront être déposés doctrine eaux études évêques féodalité François Ier Frédéric Passy général Georges Picot GLASSON hommage à l'Académie hommes Isambert John Stuart Mill jugement Jules Simon juridiction L'auteur du mémoire l'école l'Église l'Institut le 31 l'instruction législation Leone Levi lettres livre Maurice Block membres mémoire nº ment méthode Michel Chevalier militaire moyen nombre NOUVELLE SÉRIE œuvre ouvrage ouvriers papauté pape pensée Philippe le Bel philosophie politique population premier présente président principe proposé pour l'année propriétaire psychologie publié question raison rapport reste royaume s'est saint-simoniens salaires Sciences morales séance Secrétaire perpétuel secrétariat de l'Institut section de morale service seulement sociale Société solicitor source statistique suivant sujet surtout Templiers temporel théorie tion travail volumes XVIIe siècle XXXIII
Popular passages
Page 535 - Pyrrhus, la laitière, enfin tous, Autant les sages que les fous. Chacun songe en veillant ; il n'est rien de plus doux. Une flatteuse erreur emporte alors nos âmes ; Tout le bien du monde est à nous, Tous les honneurs, toutes les femmes. Quand je suis seul, je fais au plus brave un défi ; Je m'écarte, je vais détrôner le sophi ; On m'élit roi, mon peuple m'aime ; Les diadèmes vont sur ma tête pleuvant : Quelque accident fait-il que je rentre en moi-même ? Je suis gros Jean comme devant.
Page 529 - Je me suis aperçu, par diverses observations, que l'homme est composé d'une âme et d'une bête. — Ces deux êtres sont absolument distincts, mais tellement emboîtés l'un dans l'autre, ou l'un sur l'autre, qu'il faut que l'âme ait une certaine supériorité sur la bête pour être en état d'en faire la distinction. Je tiens d'un vieux professeur (c'est du plus loin qu'il me souvienne) que Platon appelait la matière l'autre.
Page 48 - Toutes les institutions sociales doivent avoir pour but l'amélioration morale, intellectuelle et physique de la classe la plus nombreuse et la plus pauvre.
Page 287 - xvi' siècle. » Le prix est de la valeur de deux mille cinq cents francs. Les Mémoires devront être déposés au secrétariat de l'Institut, le 31 décembre 1871, terme de rigueur.
Page 723 - Citeaux et le comte de Flandre prirent à la lutte de Boniface VIII et de Philippe le Bel, par KERVYN DE LETTENHOVE, Bruxelles, 1854, in-4, ext.
Page 159 - Toulon, ce vent éternel qui enterre dans le sable les arbres du rivage, qui pousse les vaisseaux à la côte, n'est guère moins funeste sur terre que sur mer. Les coups de vent , brusques et subits , saisissent mortellement. Le Provençal est trop vif pour s'emmailloter du manteau espagnol. Et ce puissant soleil aussi , la fête ordinaire de ce pays de fêtes, il donne rudement sur la tête, quand d'un rayon il transfigure l'hiver en été. Il vivifie l'arbre, il le brûle. Et les gelées brûlent...
Page 295 - Conformément au vœu exprimé par la donatrice, « ce prix sera accordé au travail le plus méritant, relevant de chaque classe de l'Institut, qui se sera produit pendant une période de cinq ans.
Page 533 - L'unitû du moi, au sens psychologique, c'est donc la cohésion, pendant un temps donné, d'un certain nombre d'états de conscience clairs, accompagnés d'autres moins clairs et d'une foule d'états physiologiques qui, sans être accompagnés de conscience, comme leurs congénères, agissent autant qu'eux et plus qu'eux. Unité veut dire coordination.
Page 905 - ... la durée de chaque chose est un mode ou une façon dont nous considérons cette chose en tant qu'elle continue d'être; et que pareillement l'ordre et le nombre ne diffèrent pas en effet des choses ordonnées et nombrées, mais qu'ils sont seulement des façons sous lesquelles nous considérons diversement ces choses.