Je lui offris les présens d'usage : la maréchale seule parut les apprécier; Amélie les vit parce qu'on lui dit de les regarder. Mon fils! mon cher fils! quand on commence à s'aveugler, tout accroît notre illusion. Amélie, si indifférente, ne me... Eugene de Rothelin, - Page 82by Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Souza-Botelho - 1808 - 161 pagesFull view - About this book
| Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Souza-Botelho - 1822 - 544 pages
...Commentfus-je assezpréoccupé pour que son trouble ne m'éclairât point ? Je lui offris les présens d'usage : la maréchale seule parut les apprécier;...ne me parut que raisonnable et modérée ; ce qui aurait dû m'avertir ajoutait à mon erreur. » Le lendemain , la famille de mademoiselle d'Estaing... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1840 - 524 pages
...trouble ne uf éclairât poinl ! Je lui otïiis les présens d'usage ; la maréchale seule parut'es apprécier; Amélie les vit, parce qu'on lui dit de les regarder. Mon fils ! mon cher lils ! quand on commence à s'aveugler, tout accroît notre illusion. Amélie si indifférente ne me... | |
| Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Sousa-Botelho - French fiction - 1845 - 526 pages
...les craintes d'Amélie. » Lorsqu'il fallut signer le contrat. Amélie tremblait, son nom était a peine lisible. Comment fus-je assez préoccupé pour...ne me parut que raisonnable et modérée : ce qui aurait dû m'avertir ajoutait à mon erreur. » Le lendemain , la famille de mademoiselle d'Estaing,... | |
| François Lhomme - French literature - 1892 - 578 pages
...nom était à peine lisible. Comment fus-je assez préoccupé pour que son trouble ne m "éclairât point ? Je lui offris les présents d'usage : la maréchale...accroît notre illusion. Amélie, si indifférente, ne me partit que raisonnable cl modérée; ce qui aurait dû m'avertir ajoutait à mon erreur. « Le lendemain,... | |
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