A me subjuguer. Hélas! il eût mieux valu pour tous deux qu'il eût cherché à rapprocher mon cœur du sien. Ses peines m'étaient insupportables; j'étais venu pour les partager, les adoucir; et je n'osai même pas lui parler de l'objet qui nous intéressait... Eugene de Rothelin, - Page 104by Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Souza-Botelho - 1808 - 161 pagesFull view - About this book
| Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Souza-Botelho - 1822 - 544 pages
...adoucir; et je n'osai même pas lui parler de l'objet qui nous intéressait le plus. « Je vais vous mener à l'appartement que » je vous ai fait préparer..., me dit-il ; car » celui que vous occupiez dans voire en» fance ne vous convient plus. » — « Mon » père , m'écriai-je vivement ému , vous... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1840 - 524 pages
...adoucir; et je n'osai même pas lui parler de l'objet qui nous intéressait le plus. « Je vais vous mener à l'appartement que je vous ai fait préparer...conviction qu'il m'a donnée de sa tendresse pour moi ; et aussitôt il m'éloigne par sa froideur, par cette volonté immuable que rien ne peut faire fléchir.... | |
| Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Sousa-Botelho - French fiction - 1845 - 526 pages
...adoucir, et je n'osai même pas lui parler de l'objet qui nous intéressait le plus. « Je vais vous mener à l'appartement que je vous ai fait préparer...votre enfance ne vous convient plus. — Mon père, m'écriai -je vivement ému, vous m'attendiez donc? » — Il me regarda comme surpris que j'en eusse... | |
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