sur les ports francs. MORIN, (Claude) avocat au parlement de Dijon, célèbre canoniste, et le meilleur écrivain du barreau de cette ville, mort en 179*. Ses Mém. sont cités dans les ouvrages des canonistes ses contemporains. L'éditeurdes Causes amusantes a recueilli trois Mém. de Morin sur des ques-d'un Essai philosophique inétions étrangères au droit ca- dit, sur les dernières années nonique. de la vie de Jesus. (*) MOSNERON l'aîné, (J.) de la société libre des sciences et arts de Paris, ex-député du commerce, membre de la première législature, et maintenant du corps légistatif, est auteur d'un ouvrage impr. à Nantes en 1789, intitulé: De quelques réformes et améliorations à faire en Bretagne. -D'un autre sur le commerce de la colonie de St.-Domingue, imprimé à Versailles en 1789. -De plusieurs Rapports sur le commerce faits dans l'assemblée législa De Plusieurs coméd. anonymes jouées sur différens D'un roman pathéâtres. reillement anonyme. Ef 468 PATRIN, (E.-M.-L.) nembre-associé de l'institut natio nal et de plusieurs sociétés savantes, a donné: L'Histoire naturelle des minéraux, 5 vol. gr. in-18, Paris, Déterville, an IX. Cette édition est ornée de 40 planches, gravées avec beaucoup de soin. P. chez Mercier. — Manuel bibliographique, ou Essai sur la connaissance des livres et des bibliothèques, etc. Paris, chez Désessarts, an IX(1800), I vol. in-8°. — Bagatelles poé tiques et dramatiques, Paris, an IX (1801), I vol. in-8°. Des Discours; des Mélanges, I vol. in-8°. Petite Bibliothèque choisie, extraite du Manuel bibliographique, br. in-8°.- Opuscules en vers, extraits des Bagatelles, brochure, in-8°. PÉCHON DE RUBY, gentilhomme breton, auteur d'un ouvrage aussi rare que singulier sur l'argot et les tours des Bohémiens, qui couraient la France au 16 siècle; il est intitulé La Vie généreuse des Matois, Gueux, Bohémiens et Cagoux; avec un Dictionnaire en langue blesquienne, in-8°, Paris, 1622, Ce livre est plaisant, et peut servir à faire connaître les friponneries de ces bandes d'adroits mendians qui infes-pédique, une Ode sur l'anataient alors les campagnes, et parmi lesquels l'auteur avait vécu dans son enfance. PEIGNOT, (Gabriel) né à Arc en Barrois, département de la Haute-Marne en 1767, bibliothécaire du départem. de la Haute-Saône, a donné | en ľan IV (1796), des Opuscules philosophiques et poeti ques, I vol. in-16, à Paris, (*) PETIT, (Marc-Antoine) natif de Lyon, âgé de 35 ans, docteur en médecine en 1790, chirurgien en chef de l'hôpital de Lyon en 1793, membre de l'Athénée de la même ville, etc. En 1788, il fit insérer dans le Journal encyclo❤ tomie, dédiée au célèbre Louis, secrétaire - perpétuel de l'acad. royale de chirurgie, En 1790, une Dissert. latinę qui a pour titre : De Phtisi laringea, sujet entièrement neuf, sur lequel il appella l'at tention des médecins, et qui fut alors très-recherchée dans l'école de Montpellier, où elle fut publiée, et défendue pour son aggregation à cette faculté . Bacher, avril 1790, renferme de Petit, une Observation intéressante sur un anevrisme faux de l'artère crurale. Celui de Montpellier, tome I et II, de Dumas et Baumes, des Observations neuves sur le renversement chronique de la matrice, sur la grossesse extra-utérine, sur une gangrène au bras.-Le Journal de Chirurgie de Desaut, tom. II des Remarques sur l'infidélité de la pulsation, pour juger qu'une tumeur est anivris male. savante. Comme professeur de médecine et de chirurgie-cli nique, il a prononcé plusieurs Discours sur différentes parties de l'art de guérir, qui ont été imprimés, entr'autres l'Eloge de Pierre-Joseph Desaut ancien chirurgien en chef de l'Hôtel-Dieu de Paris, in-8°, an IV (1796).Un Essai sur la meilleure manière d'exercer la bienfaisance dans les hôpitaux, in-8°, an VI (1798). Un Discours sur la douleur, dans lequel il a épuisé tout ce qu'on pouvait Celui de la société de dire de philosophique et de Médecine de Paris, tome III, médicinal sur ce sujet inté- l'Extrait d'un Mémoire de ressant, in-8°, an VII(1799). | Petit sur l'influence de la réLe Journal de Médecine devolution sur la santé publique. ROCHELLE RULIÉ, né à Cahors le 3 février 1716, a donné: Lettres au P. Patouillet, jésuite, en réfutation de son Dictionnaire des livres Jansenistes, 1755, in-12.- La Religion chrétienne prouvée par un seul fait, 1766, in-12. Théorie de l'intérêt de l'argent, 1780, in-12; nouvelle édition, 1783, in-8°. Ꭱ REPT, (de) curé de la pa roisse de Chataincourt près Dreux, est auteur d'une Ins truction pour le corps des carabiniers, 1767, in-8°. — De la Description de l'hommage rendu au roi, etc. par les laboureurs de la paroisse de Chataincourt, à l'occasion de la naissance de M. le Dauphin, 1781, in-4°. RUTLIGE, (J.) a publié les ouvrages suivans: Le Bureau d'esprit com. en 5 actes, en prose, in-8°. Observations à MM. de l'acad. française au sujet d'une lettre de M. de Voltaire, 1776, in-8°. - Le Train de Paris, ou le bourgeois du tems, com. en 5 actes et en prose, Yverdun, 1772, in-8°.-La Quinzaine anglaise à Paris, ou l'art de s'y ruiner en peu de tems, 1772, in-12. Le premier et le second voyage de mylord de ***, à Paris, Yverdun, 1777, 5 vol. in-12.-Euvres diverses, 1777, 2 vol. in-8°. — Le Babillard, ouvr. périodique, 4 vol. in-8°. -La Vice et la faiblesse, ou 12. Mém. de deux provinciales Mém. Z. ZALKIND-HOURWITZ, juif, | ZIGORGNE, ci-dev. chanoi Leibnitiennes, ou précis de la Monadolgie, Paris, 1767, in -4° et in-8°. qu'on attri bue ordinairement à L. Du polonais d'origine, demeu- ne à Macon. On prétend qu'il rant à Paris, a donné: Apo- est auteur des institutions logie des Juifs, en réponse à la question: est-il des moyens de rendre les Juifs plus heureux et plus utiles en France? ouvr. couronné par la société tens. de Metz, 1789, in-8°. FIN DE L'ADDITION AVIS IMPORTANT. JE mets cet ouvrage sous la protection des lois, et je déclare qu'ayant déposé à la Blbliothéque nationale les exemplaires prescrits, je poursuivrai par tous les moyens de droit, les contrefacteurs et les distributeurs de contrefaçons. J'invite en conséquence tous ceux qui en auraient connaissance à m'indiquer les coupables, et je leur promets ici solennellement de leur donner la moitié de l'amende qui sera prononcée contre les contrevenans. Pour empêcher que le public ne soit induit en erreur, je déclare que tous les exemplaires de cet ouvrage seront signés de moi à la fin du VI volume. |