Histoire de Louvois et de son administration politique et militaire, Volume 2Didier et cie, 1862 - France |
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Allemands alliés Alsace août armée attaquer auroit avaient avoit avril bataille bataille de Seneffe bataillons blessés c'était camp campagne canon cavalerie cents chevaux chose combat commandement comte d'Estrades comte de Monterey comte de Schönberg Courtin devant donner dragons duc de Lorraine duc de Luxembourg duc de Vivonne écrivait à Louvois écrivait-il à Louvois ennemis envoyer escadrons Espagnols étoit Flandre Franche-Comté garnison guerre Hollande j'ai jours juillet juin l'arrière-ban l'Électeur l'Empereur l'ennemi l'Espagne l'infanterie l'intendant Robert laisser lettre lieutenant général Lorge Louis XIV Louvois Maëstricht Majesté mander marcher maréchal d'Humières maréchal de Bellefonds maréchal de Créqui maréchal de Luxembourg mée ment Messine Messinois mille hommes ministre mois monsieur Montecuculi n'avait n'était octobre officiers ordres paix passer Pays-Bas Philisbourg place poste pourroit prendre prince d'Orange prince de Condé régiment résolu Rhin rien s'était Schönberg Seneffe septembre seroit service Sicile siége sieur soldats Strasbourg Tellier tion troupes trouve Turenne Vallavoire Vauban
Popular passages
Page 562 - J'ai été à cette noce de madame de Louvois ; que vous dirai-je? magnificence , illumination , toute la France, habits rebattus et rebrochés d'or , pierreries , brasiers de feu et de fleurs, embarras de carrosses, cris dans la rue, flambeaux allumés, reculements et gens roués ; enfin le tourbillon , la dissipation , les demandes sans réponses, les compliments sans savoir ce que l'on dit , les civilités sans savoir à qui l'on...
Page 49 - ... postés huit heures durant à la portée du feu des ennemis, sans autre mouvement que celui de se presser à mesure qu'il y avoit des gens tués. J'ai ouï dire que c'est une souffrance terrible que d'être ainsi exposé.
Page 78 - ... l'Alsace. Elle sait le nombre qu'elle a de troupes; je la supplie, dans ces trois mois qui feront le bon ou le mauvais état de ses affaires, de ne les envoyer qu'aux lieux où elles pourront servir à quelque chose de capital 1.
Page 263 - France, quand on vous auroit repris Metz, Toul et Verdun, et la Comté, et plusieurs autres provinces dont vos prédécesseurs se sont bien passés.
Page 85 - Je connais, ajoutait-il en finissant, la force des troupes impériales, les « généraux qui les commandent, le pays où je suis; je prends tout sur moi. « et je me charge des événements.
Page 572 - Enfin il a fallu que je lui ordonnasse de se retirer, parce que tout ce qui passait par lui, perdait de la grandeur et de la force qu'on doit avoir en exécutant les ordres d'un roi de France qui n'est pas malheureux.
Page 55 - ... même, et je crois qu'ils ont raison ; car, après tout, elle a pouvoir sur la réputation ; et ceux qui ne voient pas ce qui se passe sur les lieux ne peuvent guère juger de nos actions que par là.
Page 566 - ... que je vous renvoie tous. Sa Majesté, qui en a entendu la lecture avec horreur, désire que l'on instruise toutes les affaires dont il y est fait mention, et que l'on acquière toutes les preuves possibles contre les gens qui y sont nommés.
Page 479 - C'est une fort méchante excuse à un soldat, pour appuyer sa désertion, que de dire qu'il a été pris par force; et, si l'on vouloit admettre des raisons de cette qualité, il ne resterait pas un seul soldat dans les troupes du roi, puisqu'il n'y en a presque pas un qui ne croie avoir quelque bonne raison pour réclamer contre son enrôlement*.
Page 133 - Le roi a été bien surpris de voir que le pays est encore au pillage et exposé à toutes les violences des soldats. Vous savez aussi bien que qui que ce soit que c'est le vrai moyen de ruiner les troupes et le pays... Sa Majesté m'a commandé de vous faire savoir qu'Elle désire que vous y remédiez par quelque voie que ce soit, en sorte que les paysans de la campagne soient dans un aussi grand repos en payant leurs taxes, qu'ils l'étaient du temps des Hollandais.