Moralistes françoisLefèvre, 1834 - 767 pages |
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... disoit pas , ou qu'il disoit celles qu'on allègue d'ordinaire , qui ne sont proprement que des défaites , cela ne le contentoit pas : car il a toujours eu une netteté d'esprit admirable pour discerner le faux ; et on peut dire que ...
... disoit pas , ou qu'il disoit celles qu'on allègue d'ordinaire , qui ne sont proprement que des défaites , cela ne le contentoit pas : car il a toujours eu une netteté d'esprit admirable pour discerner le faux ; et on peut dire que ...
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... disoit quelquefois que depuis l'âge de dix - huit ans il n'avoit pas passé un jour sans douleur . Ces incommodités néanmoins n'étant pas toujours dans une égale violence , dès qu'il avoit un peu de relâ- che , son esprit se portoit ...
... disoit quelquefois que depuis l'âge de dix - huit ans il n'avoit pas passé un jour sans douleur . Ces incommodités néanmoins n'étant pas toujours dans une égale violence , dès qu'il avoit un peu de relâ- che , son esprit se portoit ...
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... disoit tout ce qu'il vouloit , mais il le disoit en la manière qu'il le vouloit , et son dis - ques , à Paris . toutes ses connoissances , il ne s'avisa pas seulement |. Pour parvenir à ce dessein et rompre toutes ses habitudes , il ...
... disoit tout ce qu'il vouloit , mais il le disoit en la manière qu'il le vouloit , et son dis - ques , à Paris . toutes ses connoissances , il ne s'avisa pas seulement |. Pour parvenir à ce dessein et rompre toutes ses habitudes , il ...
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... disoit que fection dont il l'honoroit , cette personne , qui est aussi c'étoit une marque qu'on mangeoit pour contenter considérable par sa piété que par les éminentes qua- le goût , ce qui étoit toujours mal . lités de son esprit et ...
... disoit que fection dont il l'honoroit , cette personne , qui est aussi c'étoit une marque qu'on mangeoit pour contenter considérable par sa piété que par les éminentes qua- le goût , ce qui étoit toujours mal . lités de son esprit et ...
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... disoit que pour les ouvriers , il falloit toujours choisir les plus pauvres et les plus gens de bien , et non pas cette excellence qui n'est jamais nécessaire , et qui ne sauroit jamais être utile . Il s'écrioit quelquefois : Si j'avois ...
... disoit que pour les ouvriers , il falloit toujours choisir les plus pauvres et les plus gens de bien , et non pas cette excellence qui n'est jamais nécessaire , et qui ne sauroit jamais être utile . Il s'écrioit quelquefois : Si j'avois ...
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