Courez, yalez, sur nos frontières, Le feu brûlant de vos regards Glacera de vils mercenaires!... La gloire, Marseillois, vous appelle aux combats; Marchez, marchez, et les tyrans n'auront plus de soldats. Chœur. Marchons, marchons, et les tyrans n'auront plu de soldats. J'entends leurs phalanges d'esclaves, S'écrier, brisant leurs entraves, Vive à jamais la liberté ! Cette déité titulaire Désormais armera leurs bras: Je les vois marcher sur vos pas, Faut-il que cet heureux présage bis bise Frappez dans votre ardeur guerrière Les coups de vos bras triomphans A la liberté rien ne coûte : A Morat, ont mis en déroute La gloire, &c. Pour ensevelir l'esclavage Ce serment fait par le courage, Vos grands cœurs sauront le tenir. Le sang que coûté la victoire Ne doit pas être regretté : bis bis. Quand on meurt aux champs de la gloire. La gloire, &c, 1 Sous l'aîle de la providence Se ligue avec eux contre nous : O toi, qui d'une cour barbare, Tu vivras couvert d'infamie. bis. bis Accourez, Marseillois, dans le champ des com bats, Marchez, (bis) de ses complots instruisez nos soldats. Chœur. Marchons, (bis) de ses complots instruisons nos soldats.* LES TRAVAUX DU CAMP, CHANT PATRIOTIQUE. Air Vous qui d'amoureuse aventure naud d'Ast. AMIS, le cri de la patrie Appelle aujourd'hui nos secours; Travaillons, braves patriotes ;* Poussons vivement nos travaux : Ici la fatigue est légère, Veut bêcher pour l'égalité. Tremblez, lâches aristocrates, Les femmes les plus délicates Pour se soustraire à l'esclavage Oui, la liberté de la terre Que quand les rois seront à bas. Alors une immortelle gloire |