Revue des eaux et forêts, Volume 19

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Lucien Laveur, 1880 - Forests and forestry

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Page 8 - Medoc , le long de la mer, mon frère , sieur d'Arsac , veoid une sienne terre ensepvelie soubs les sables que la mer vomit devant elle-, le faiste d'aulcuns bastiments paroist encores : ses rentes et domaines se sont eschangez en pasquages bien maigres.
Page 389 - Ce n'est pas dans les choses extraordinaires et bizarres que se trouve l'excellence de quelque genre que ce soit. On s'élève pour y arriver, et on s'en éloigne : il faut le plus souvent s'abaisser.
Page 107 - Fait au nom de la commission (1) chargée d'examiner le projet de loi relatif à l'établissement du tarif général des douanes, bois et ouvrages en bois, tableau A, pages 81 eH18, par M.
Page 129 - O. curieuse à la jambe et à la patte d'un petit oiseau, moins le doigt de derrière : le tarse est plus long que les trois doigts, qui ont une égale longueur et qui, en divergeant, sont dans le même plan. Les doigts se terminent par des griffes pointues et dures, très recourbées en bas, comme celles de la patte d'un oiseau... Quand une tige de cette bignone croît au milieu de branches minces, les vrilles arrivent bientôt...
Page 355 - L'ouvrier prend la bêche à deux mains par la poignée transversale, la soulève et la laisse retomber verticalement devant lui. L'outil, en raison de son poids, pénètre dans le sol, coupe les racines, écarte ou brise les cailloux ; on l'enfonce à la profondeur qu'il doit atteindre. Le planteur, se servant ensuite du manche comme levier, appuie sur les poignées en arrière, puis en avant, pour soulever le sol végétal ; il forme ainsi, sans grand effort et instantanément, une cavité souterraine...
Page 323 - Michel, sénateur, a déposé, dans la séance du 28 juin, le rapport t'ait au nom de la commission du Sénat chargée d'examiner le projet de loi relatif à la restauration et à la conservation des terrains en montagne.
Page 490 - ... dépouillé l'Afrique française et qui détruit si rapidement dans nos propres montagnes toute espèce de terre végétale, le parcours illimité des troupeaux. Dès que la population s'est retirée, on a fait au pâturage sa part et à la forêt la sienne ; les chefs écossais, devenus grands propriétaires, ont entrepris de gigantesques plantations. Le dernier duc d'Athol a planté à lui seul 6,000 hectares de mélèzes. Cette magnifique forêt, qui a maintenant plus de soixante ans, a poussé...
Page 358 - En effet, l'ouvrier agit avec toute sa force appliquée à l'extrémité d'un levier de i mètre 30, le point de la résistance étant à 20 ou 25 centimètres de l'autre extrémité; la force dont l'ouvrier dispose est égale à son effort multiplié par 2,60 à 3,25. Aussi le plant est tellement maintenu en terre, qu'en cherchant à l'arracher, on rencontre une résistance presque aussi grande que s'il s'agissait d'un plant naturel. » 26. CONDITIONS FAVORABLES DE LA PLANTATION.
Page 481 - Dans les pays de montagne, en dehors même des périmètres établis conformément aux dispositions qui précèdent, des subventions continueront à être accordées aux communes, aux associations pastorales, aux fruitières, aux établissements publics et aux particuliers, à raison des travaux entrepris par eux pour le reboisement, l'amélioration, la consolidation du sol et la mise en valeur des pâturages.
Page 246 - C'est dans le sens de douane de compensation qu'on a dit : « En entrant et circulant en France, les produits étrangers profitent de nos routes, de nos canaux, de nos chemins de fer; ils jouissent de la sécurité que donne notre organisation militaire, administrative et judiciaire: ils doivent donc supporter une part de nos frais. » Léonce de Lavergne. Revue des Deux-Mondes de 1866 (1

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