Œuvres complètes de Voltaire, Volume 15la Société littéraire-typographique, 1785 |
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... France , L'abbé Courtin était un de fes amis , fils d'un confeiller d'Etat , et homme de lettres . Il était tel qu'on le dépeint ici . 1717 . Notre premier deffein était d'envoyer à votre alteffe A 4 A M. LE PRINCE DE VENDOME . 7.
... France , L'abbé Courtin était un de fes amis , fils d'un confeiller d'Etat , et homme de lettres . Il était tel qu'on le dépeint ici . 1717 . Notre premier deffein était d'envoyer à votre alteffe A 4 A M. LE PRINCE DE VENDOME . 7.
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Voltaire Pierre Augustin Caron de Beaumarchais. 1717 . Notre premier deffein était d'envoyer à votre alteffe un ouvrage dans les formes , moitié vers , moitié profe , comme en ufaient les Chapelle , les Desbarreaux , les Hamilton ...
Voltaire Pierre Augustin Caron de Beaumarchais. 1717 . Notre premier deffein était d'envoyer à votre alteffe un ouvrage dans les formes , moitié vers , moitié profe , comme en ufaient les Chapelle , les Desbarreaux , les Hamilton ...
Page 15
... premier dieu ce fut l'oifiveté . Si quelquefois réveillant fa molleffe , Sa main légère entre Horace et Maron Daignait toucher la lyre d'Apollon , Comme la Fare il chantait la paresse . Pour toi , mêlant le devoir au plaisir , Dans les ...
... premier dieu ce fut l'oifiveté . Si quelquefois réveillant fa molleffe , Sa main légère entre Horace et Maron Daignait toucher la lyre d'Apollon , Comme la Fare il chantait la paresse . Pour toi , mêlant le devoir au plaisir , Dans les ...
Page 28
... premier septembre . Les dames qui font à Villars , Monsieur , se sont gâtées par la lecture de vos Mondes . Il vaudrait mieux que ce fût par vos églogues ; et nous les verrions plus volontiers ici bergères que philofophes . Elles ...
... premier septembre . Les dames qui font à Villars , Monsieur , se sont gâtées par la lecture de vos Mondes . Il vaudrait mieux que ce fût par vos églogues ; et nous les verrions plus volontiers ici bergères que philofophes . Elles ...
Page 86
... jugera Eryphile en dernier reffort ; mais je veux qu'auparavant elle foit jugée par vous et par M. de ( 1 ) Voyez le premier volume du Théâtre , page 391 . Cideville , les deux meilleurs magiftrats de mon parle- ment 86 LETTRE.
... jugera Eryphile en dernier reffort ; mais je veux qu'auparavant elle foit jugée par vous et par M. de ( 1 ) Voyez le premier volume du Théâtre , page 391 . Cideville , les deux meilleurs magiftrats de mon parle- ment 86 LETTRE.
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Adieu affez affurément afile aimable aime ainfi Alteffe Apollon auffi avez beaux belle bontés c'eft c'eſt cavagnole chanter charmant cher ami cher Cideville chofe Cirey complimens confeil confolation d'Argental daignez Deffant deftin Dieu Dieux difait digne dire doux efprit Emilie envoyé épître eſpèce eſt êtes fage faint fais fans doute fanté favez favoir fecret fefait féjour femble fens fentir ferait Ferney fervir feule fiècle foit fommes font Formont fottifes fouhaite fouper fous fouvent fuis furtout gens goût heureux homme j'ai j'aime j'aurai j'avais jamais jolis jufte l'abbé l'amitié l'amour l'efprit l'honneur LETTRE long-temps MADAME DE POMPADOUR Madame Denis Madame du Châtelet mademoiſelle MARQUIS DE VILLETTE meffieurs Monfieur mufe n'ai n'eft n'eſt Newton paffer parler penfer penſe perfonne philofophe plaifir plaifirs plaire poëte préfent prefque Pruffe raiſon reconnaiſſance refpect refte réponſe rien rois s'eft ſes ſon talens tendre trifte Voilà Voltaire