Mémoires de Saint-Simon, Volume 3Hachette et cie, 1881 - France |
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Arch avoient avoit biffé Blanzac Bussy C'étoit Callières cardinal Cavoye charge Chaulnes chevalier Clairambault Comparez comte comte de Brionne comte de Toulouse corrige cour d'Albret d'Orléans dame d'honneur Dauphine Dronero duchesse du Lude écrit en interligne épousa étoient étoit faisoit femme février fille fils frère Furetière Gazette d'Amsterdam gouverneur Guilleragues Harlay janvier Jean Sobieski Journal de Dangeau juin Jussac l'abbé l'Addition l'Appendice Lettres de Mme lieutenant général Louis XIV Luxembourg Madame maison Majesté manuscrit maréchal de camp maréchal de Choiseul maréchal du Plessis mariage mariée marquis mars MÉMOIRES DE SAINT-SIMON mille livres Mlle Mme de Maintenon Mme de Montespan Mme de Sévigné Mme la duchesse Monaco Monsieur Montgon Morstin mort mourut n'avoit Noailles nommé note parle père Pologne premier prince de Conti princesse régiment Reine Rochefoucauld Rouannez Saint-Géran Savoie seigneur septembre seroit Sobieski sœur suite des Mémoires Tessé Trappe Versailles Voyez ci-dessus Voyez le Journal
Popular passages
Page 39 - Rome, pour l'obtention des bulles et provisions apostoliques de ladite abbaye, et cependant pour assurance de sa volonté, le présent brevet, qu'elle a signé de sa main, et fait contresigner par moy ministre secrétaire d'Etat et de ses commandements et finances.
Page 260 - La ressemblance dans la dernière exactitude, la douceur, la sérénité, la majesté de son visage, le feu noble , vif, perçant de ses yeux si difficile à rendre, la finesse et tout l'esprit et le grand...
Page 262 - ... portraits. La vanité l'empêcha de me tenir parole, malgré les mille écus, que je lui fis porter le lendemain de son arrivée à Paris. Il ne put se tenir avec le temps, c'està-dire trois mois après, de montrer son chef-d'œuvre avant de 10 me le rendre, et par là de rendre mon secret public.
Page 277 - Dauphine ressembloit à monsieur son père, et qu'elle étoit, dès l'âge de onze ans qu'elle vint en France, aussi fine et aussi politique que lui, affectant pour le Roi et madame de Maintenon une tendresse qu'elle n'avoit pas. Pour moi, qui ai eu l'honneur de la voir de près, j'en juge autrement; et je l'ai vue pleurer de si bonne foi sur le grand âge de ces deux personnes, qu'elle croyoit avec raison devoir mourir devant elle, que je ne puis douter de sa tendresse pour le Roi...
Page 458 - L'amour de vos aïeux passe en vous pour manie, Et chacun pour parent vous fuit et vous renie. Mais quand un homme est riche, il vaut toujours son prix ; Et, l'eût-on vu porter la mandille à Paris ', N'eût-il de son vrai nom ni titre ni mémoire, D'Hozier* lui trouvera cent aïeux dans l'histoire.
Page 196 - Mademoiselle de Biron n'étoit pas jeune : on disoit qu'elle avoit été belle, mais il n'y paroissoit plus. Ne pouvant donc faire usage d'une beauté passée, elle se tourna du côté de l'intrigue, à quoi son esprit étoit naturellement porté. Elle tira le secret de ses compagnes, se rendit nécessaire à Monseigneur, et obtint par là de la cour de quoi se marier. Mademoiselle de Gontaut, sa sœur, avoit de la beauté, peu d'esprit, mais une si grande douceur et tant d'égalité d'humeur, qu'elle...
Page 509 - Quand l'auteur emploie le mot fonds isolément, il faut toujours entendre le sol, la terre. justement le contraire, et lorsque la somme à laquelle une généralité est arrêtée, est venue du Conseil, tout le monde fait sa cour à MM. les intendants, afin que leurs paroisses soient favorablement traitées, indépendamment du pouvoir où elles peuvent être de payer plus ou moins de Taille. En sorte qu'il n'est pas extraordinaire de voir une paroisse de cent feux, et du contenu de 1,500 arpents...
Page 85 - Versailles, après avoir surpassé Théophraste » en travaillant d'après lui et avoir peint les hommes de » notre temps dans ses nouveaux Caractères d'une
Page 481 - Je suis avec un très profond respect, Sire, de Votre Majesté Le très humble, très obéissant et très fidèle serviteur et sujet J.-C.
Page 161 - ... le chancelier et la chancelière en furent en colère contre moi. Pour le comte de Guiche, il se soucioit si peu de sa femme, l'ayant épousée parce que son père le vouloit, qu'il étoit bien aise de ne la voir jamais nulle part.