| Roger comte de Bussy-Rabutin - 1738 - 424 pages
...humbles fervices. Pour moi, je ne puis jamais ceflfer de vous aimer. J'ai vu ici Monfieur de Larré fils de notre pauvre ami Lenet, avec qui nous avons tant ri. Adieu, mon cher Coufin. Je demande pardon à votre bel efprit,de cette Lettre toute terre à terre... | |
| Joseph Fr. Michaud, Louis Gabriel Michaud - Biography - 1819 - 690 pages
...écrivait à Bussy, le i •>. juillet 1691 : « J'ai vil M. de Larre', fils 3 de notre pauvre ami Leuet, avec > qui nous avons tant ri; car jamais » il ne fut une jeunesse si riante » que la nôtre, de toutes les façons.» Lenet abandonna Bussy - Rabutin dans sa disgrâce,... | |
| Marie de Rabutin-Chantal Sévigné (marq. de.) - 1820 - 542 pages
...honore et vous assure de ses très humbles services: pour moi, je ne puis jamais cesser de vous aimer. J'ai vu ici M. de Larrei, fils de notre pauvre ami...nous avons tant ri; car jamais il ne fut une jeunesse si riante que la nôtre de toutes les façons. Il m'étonna en me contant comme son père avoit dissipé... | |
| Charles Athanase Walckenaer - France - 1842 - 566 pages
...le Prince, et qui avait de l'esprit comme douze. J'étais bien jeune quand je riais avec lui 1. » Et dans une autre lettre à Bussy, postérieure encore...une jeunesse plus riante que la nôtre de toutes les facons 4. » Madame de Sévigné ignorait encore alors que Bussy avait été tout à fait brouillé... | |
| Marie de Rabutin-Chantal marquise de Sévigné - Authors, French - 1844 - 548 pages
...Bastille. (AG) vices : pour moi, je ne puis jamais cesser de vous aimer. J'ai vu ici M. de Larré, fils de notre pauvre ami Lenet avec qui nous avons tant ri ; car jamais il ne fut une jeunesse si i.iante que la nôtre de toutes les façons. Il m'étonna en me contant comme son père avait dissipé... | |
| Marie de Rabutin-Chantal marquise de Sévigné - 1844 - 1076 pages
...Bastille. (AG1 vices : pour moi, je ne puis jamais cesser de vous aimer. J'ai vu ici M. de Larré, fils de notre pauvre ami Lenet avec qui nous avons tant ri ; car jamais il ne fut une jeunesse si riante que- la nôtre de toutes les façons. Il m'étonna en me contant comme son père avait dissipé... | |
| Charles Athanase Walckenaer - 1845 - 564 pages
...le Prince , et qui avait de l'esprit comme douze. J'étais bien jeune quand je riais avec lui4. » Et dans une autre lettre à Bussy, postérieure encore...effacer le souvenir de ses torts, s'il en avait eu. Dans tous les cas , elle dut être désagréablement affectée de la ' SÉVIGNÉ, Lettres, 1 août 1671,... | |
| Charles Athanase Walckenaer - 1852 - 572 pages
...safille, de cette même solitude des Rochers où quarantetrois ans aupavant elle avait reçu l'épitre en vers dont nous venons de citer quelques passages...le souvenir de ses torts , s'il en avait eu. Dans 1 SÉVIGNÉ, Lettres, 1 août 1671, t. II, p. 168. 1 BUSSY, Lettres, i. V, p. 114, en date du 8 novembre... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - France - 1852 - 386 pages
...plus contraire qu'à qui que ce soit. » Elle disait elle-même, en se souvenant d'un ancien ami : « J'ai vu ici M. de Larrei, fils de notre pauvre ami...une jeunesse plus riante que la nôtre de toutes les façons. » Sa beauté un peu irrégulière, mais réelle, devenait rayonnante en ces moments où elle... | |
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