Mémoires touchant la vie et les Ecrita de la Marquise de Sévigné, Volume 1 |
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Page 42
... s'était battu avec Chaveroche , votre intendant , et que celui - ci l'avait blessé . >> << Cette bles- sure n'est rien , monsieur , dit madame de Rambouillet , et ne l'empêchera pas de venir . Mais ne parlez pas , je vous prie , de ...
... s'était battu avec Chaveroche , votre intendant , et que celui - ci l'avait blessé . >> << Cette bles- sure n'est rien , monsieur , dit madame de Rambouillet , et ne l'empêchera pas de venir . Mais ne parlez pas , je vous prie , de ...
Page 53
... s'était surpassé lui - même , et que son talent , déjà si élevé , grandissait encore . On s'attendait donc à entendre la lec- ture d'un nouveau chef - d'œuvre , plus surprenant peut- être que celui qui attirait chaque jour la foule au ...
... s'était surpassé lui - même , et que son talent , déjà si élevé , grandissait encore . On s'attendait donc à entendre la lec- ture d'un nouveau chef - d'œuvre , plus surprenant peut- être que celui qui attirait chaque jour la foule au ...
Page 63
... s'était acquise et de ses succès auprès des dames , avait cherché , dans une de ses premières satires , à le ridicu- liser , et avait dit : Si je pense parler d'un galant de notre âge , Ma plume pour rimer rencontrera Ménage ' . Mais ...
... s'était acquise et de ses succès auprès des dames , avait cherché , dans une de ses premières satires , à le ridicu- liser , et avait dit : Si je pense parler d'un galant de notre âge , Ma plume pour rimer rencontrera Ménage ' . Mais ...
Page 85
... s'était acquis auprès des femmes cette sorte de réputation qui se concilie les bon- nes grâces de toutes , parce qu'elle suppose plus de viva- cité dans l'attaque , plus d'excuses dans la défaite , plus de gloire dans la résistance . Ce ...
... s'était acquis auprès des femmes cette sorte de réputation qui se concilie les bon- nes grâces de toutes , parce qu'elle suppose plus de viva- cité dans l'attaque , plus d'excuses dans la défaite , plus de gloire dans la résistance . Ce ...
Page 90
... s'était alliée . Bussy chercha à mettre à profit tous ces avantages pour séduire sa cousine , et y joignit même la perfidie . Il se vengea par un moyen plus cruel encore de n'avoir pu réussir ; et il ne dut enfin qu'au bon naturel de ...
... s'était alliée . Bussy chercha à mettre à profit tous ces avantages pour séduire sa cousine , et y joignit même la perfidie . Il se vengea par un moyen plus cruel encore de n'avoir pu réussir ; et il ne dut enfin qu'au bon naturel de ...
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Common terms and phrases
aimait amants amis amour avaient belle Bussy c'était cardinal de Retz Chantal CHAVAGNAC Chevreuse coadjuteur cœur CONRART Coulanges cour cousine dame donner duc d'Orléans duchesse de Châtillon duchesse de Longueville édit époque esprit faisait femme fille Fronde fût Gaston Gondi Gourville gouvernement GUY-JOLY Hist homme Ibid intrigues jeune Julie d'Angennes l'abbé l'amour l'édit l'hôtel de Rambouillet Lenclos Lenet lettre de Bussy lettre en date liaison Livry LORET LXII madame de Gondran madame de Miramion madame de Sévigné maréchal mari mariage Marie de Rabutin-Chantal marquis de Sévigné marquise Mazarin Mém Mémoires Ménage ment ministre monde MONGLAT Monmerqué MONTPENSIER Montreuil MOTTEVILLE Muse historique n'avait n'était Nemours Ninon parlement passion personne poëte prince de Condé princesse Rabutin reine régente Renaud de Sévigné Richelieu ROCHEFOUCAULD Rohan s'était Scarron SEGRAIS seul société TALLEMANT DES RÉAUX TALON tion trouvait Turenne Vergne veuve Voiture XLVI XLVII XXXIX
Popular passages
Page 31 - Arthénice, où se rendaient tant de personnes de qualité et de mérite qui composaient une cour choisie, nombreuse sans confusion, modeste sans contrainte, savante sans orgueil, polie sans affectation.
Page 113 - J'ai vu ici M. de Larrei, fils de notre pauvre ami Lenet" avec qui nous avons tant ri; car jamais il ne fut une jeunesse si riante que la nôtre de toutes les façons.
Page 6 - Prince m'y vint voir ; il était dans un état pitoyable : il avait deux doigts de poussière sur le visage , ses cheveux tout mêlés ; son collet et sa chemise étaient pleins de sang , quoiqu'il n'eût pas été blessé ; sa cuirasse était pleine de coups , et il tenait son épée nue à la main , ayant perdu le fourreau ; il la donna à mon écuyer.
Page 62 - Vous êtes sensible à la gloire et à l'ambition, et vous ne l'êtes pas moins aux plaisirs: vous paraissez née pour eux, et il semble qu'ils soient faits pour vous; votre présence augmente les divertissements, et les divertissements augmentent votre beauté, lorsqu'ils vous environnent. Enfin, la joie est l'état véritable de votre âme, et le chagrin vous est plus contraire qu'à qui que ce soit.
Page 60 - ... la contrainte est bannie. Tout ce que vous dites a un tel charme et vous sied si bien, que vos paroles attirent les ris et les grâces autour de vous ; et le brillant de votre esprit donne un si grand éclat à votre teint et à vos yeux, que, quoiqu'il semble que l'esprit ne dût toucher que les oreilles, il est pourtant certain que le vôtre éblouit les yeux ; et que, quand on vous écoute, on ne voit plus qu'il manque quelque chose à la régularité de vos traits, et l'on vous cède la beauté...
Page 30 - Madame , en vous rassurant sur les lettres trop tendres, j'ai honte d'en écrire de si folles, sachant que vous les devez lire, vous qui êtes si sage, et devant qui les précieuses ne font que blanchir...
Page 24 - ... ôter, et qui dépend plus de la fortune que de votre conduite « Adieu, ma belle cousine ; songez quelquefois à moi, et que vous n'avez ni parent ni ami qui vous aime tant que je fais. Je voudrais non , je n'achèverai pas, de peur de vous déplaire ; mais vous pouvez bien savoir ce que je voudrais...
Page 220 - Palais-Royal les princes de Condé et de Conti , et le duc de Longueville (18 janvier 1650).
Page 254 - A Châtillon succéda Miossens , depuis maréchal d'Albret ; ce Miossens , dit Scarron , aux maris si terrible, Ce Miossens à l'amour si sensible, Mais si léger en toutes ses amours, Qu'il change encore, et changera toujours...