Mémoires touchant la vie et les Ecrita de la Marquise de Sévigné, Volume 1 |
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... Jour de la Madeleine , où fut tué , il y a quelques années , un père que j'avais 2. » Qu'elle est triste cette puissance du temps et de la mort , puisqu'une âme aussi sensible ne paraît pas même avoir éprouvé le besoin si naturel de ...
... Jour de la Madeleine , où fut tué , il y a quelques années , un père que j'avais 2. » Qu'elle est triste cette puissance du temps et de la mort , puisqu'une âme aussi sensible ne paraît pas même avoir éprouvé le besoin si naturel de ...
Page 10
... jour cette enfant sa parente . L'assemblée de famille nomma pour tuteur de Marie de Chantal , Christophe de Coulanges , abbé de Livry , frère de Philippe de Coulanges , et , comme lui , oncle de madame L'abbé LE I SÉVIGNÉ , lettre du 22 ...
... jour cette enfant sa parente . L'assemblée de famille nomma pour tuteur de Marie de Chantal , Christophe de Coulanges , abbé de Livry , frère de Philippe de Coulanges , et , comme lui , oncle de madame L'abbé LE I SÉVIGNÉ , lettre du 22 ...
Page 11
... jours . Jamais elle ne balança à faire céder ses goûts les plus chers et ses plus fortes inclina- tions 2 , même le désir de rejoindre sa fille lorsque sa pré- sence était nécessaire ou même agréable , au bien - bon . C'est ainsi qu ...
... jours . Jamais elle ne balança à faire céder ses goûts les plus chers et ses plus fortes inclina- tions 2 , même le désir de rejoindre sa fille lorsque sa pré- sence était nécessaire ou même agréable , au bien - bon . C'est ainsi qu ...
Page 19
... jours . Enfin , lorsqu'elle apprend , après avoir perdu son oncle chéri , que le roi a nommé à cette abbaye et qu'il faut la quitter , elle ne peut , sans verser des larmes , dire adieu pour toujours à cette aimable solitude qu'elle ...
... jours . Enfin , lorsqu'elle apprend , après avoir perdu son oncle chéri , que le roi a nommé à cette abbaye et qu'il faut la quitter , elle ne peut , sans verser des larmes , dire adieu pour toujours à cette aimable solitude qu'elle ...
Page 25
... jours été rares : ils le sont encore plus aujourd'hui , et ils semblent même être entièrement inutiles , puisque pour nous l'histoire la plus vraie selon le siècle est celle qui nous offre le plus de faits extraordinaires ou ...
... jours été rares : ils le sont encore plus aujourd'hui , et ils semblent même être entièrement inutiles , puisque pour nous l'histoire la plus vraie selon le siècle est celle qui nous offre le plus de faits extraordinaires ou ...
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Common terms and phrases
aimait amants amis amour avaient belle Bussy c'était cardinal de Retz Chantal CHAVAGNAC Chevreuse coadjuteur cœur CONRART Coulanges cour cousine dame donner duc d'Orléans duchesse de Châtillon duchesse de Longueville édit époque esprit faisait femme fille Fronde fût Gaston Gondi Gourville gouvernement GUY-JOLY Hist homme Ibid intrigues jeune Julie d'Angennes l'abbé l'amour l'édit l'hôtel de Rambouillet Lenclos Lenet lettre de Bussy lettre en date liaison Livry LORET LXII madame de Gondran madame de Miramion madame de Sévigné maréchal mari mariage Marie de Rabutin-Chantal marquis de Sévigné marquise Mazarin Mém Mémoires Ménage ment ministre monde MONGLAT Monmerqué MONTPENSIER Montreuil MOTTEVILLE Muse historique n'avait n'était Nemours Ninon parlement passion personne poëte prince de Condé princesse Rabutin reine régente Renaud de Sévigné Richelieu ROCHEFOUCAULD Rohan s'était Scarron SEGRAIS seul société TALLEMANT DES RÉAUX TALON tion trouvait Turenne Vergne veuve Voiture XLVI XLVII XXXIX
Popular passages
Page 31 - Arthénice, où se rendaient tant de personnes de qualité et de mérite qui composaient une cour choisie, nombreuse sans confusion, modeste sans contrainte, savante sans orgueil, polie sans affectation.
Page 113 - J'ai vu ici M. de Larrei, fils de notre pauvre ami Lenet" avec qui nous avons tant ri; car jamais il ne fut une jeunesse si riante que la nôtre de toutes les façons.
Page 6 - Prince m'y vint voir ; il était dans un état pitoyable : il avait deux doigts de poussière sur le visage , ses cheveux tout mêlés ; son collet et sa chemise étaient pleins de sang , quoiqu'il n'eût pas été blessé ; sa cuirasse était pleine de coups , et il tenait son épée nue à la main , ayant perdu le fourreau ; il la donna à mon écuyer.
Page 62 - Vous êtes sensible à la gloire et à l'ambition, et vous ne l'êtes pas moins aux plaisirs: vous paraissez née pour eux, et il semble qu'ils soient faits pour vous; votre présence augmente les divertissements, et les divertissements augmentent votre beauté, lorsqu'ils vous environnent. Enfin, la joie est l'état véritable de votre âme, et le chagrin vous est plus contraire qu'à qui que ce soit.
Page 60 - ... la contrainte est bannie. Tout ce que vous dites a un tel charme et vous sied si bien, que vos paroles attirent les ris et les grâces autour de vous ; et le brillant de votre esprit donne un si grand éclat à votre teint et à vos yeux, que, quoiqu'il semble que l'esprit ne dût toucher que les oreilles, il est pourtant certain que le vôtre éblouit les yeux ; et que, quand on vous écoute, on ne voit plus qu'il manque quelque chose à la régularité de vos traits, et l'on vous cède la beauté...
Page 30 - Madame , en vous rassurant sur les lettres trop tendres, j'ai honte d'en écrire de si folles, sachant que vous les devez lire, vous qui êtes si sage, et devant qui les précieuses ne font que blanchir...
Page 24 - ... ôter, et qui dépend plus de la fortune que de votre conduite « Adieu, ma belle cousine ; songez quelquefois à moi, et que vous n'avez ni parent ni ami qui vous aime tant que je fais. Je voudrais non , je n'achèverai pas, de peur de vous déplaire ; mais vous pouvez bien savoir ce que je voudrais...
Page 220 - Palais-Royal les princes de Condé et de Conti , et le duc de Longueville (18 janvier 1650).
Page 254 - A Châtillon succéda Miossens , depuis maréchal d'Albret ; ce Miossens , dit Scarron , aux maris si terrible, Ce Miossens à l'amour si sensible, Mais si léger en toutes ses amours, Qu'il change encore, et changera toujours...