Mémoires touchant la vie et les Ecrita de la Marquise de Sévigné, Volume 1 |
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Contents
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Common terms and phrases
affaires aimait amis amour assez aurait avaient belle Bussy c'était cardinal cause cesse charge chefs cherchait comte Condé CONRART cour cousine d'elle d'être dame date dernier devait dire donner duchesse écrit édit époque esprit faisait famille femme fille force formé Fronde fût général gens Gondi gouvernement guerre haute homme Ibid jeune jouer jour l'abbé l'avait l'édit laisser lettre liaison lieu LORET Louis madame de Sévigné mademoiselle manière mari mariage marquis Mazarin Mém Mémoires Ménage ment mère ministre Miramion monde MONGLAT montrer mort moyens n'avait n'en n'était Ninon nombre nommé nouvelle parlement passé passion pendant père personne peuple place plaisir porte pouvait pouvoir premier prince prince de Condé pris puissants qu'un raison Rambouillet rang reine rendit rendre reste Retz rien Rohan royale s'était Scarron semblait sentiments serait servir seul société sorte souvent suite TALLEMANT tion traité troupes trouvait venait voulait voyait XLVII
Popular passages
Page 31 - Arthénice, où se rendaient tant de personnes de qualité et de mérite qui composaient une cour choisie, nombreuse sans confusion, modeste sans contrainte, savante sans orgueil, polie sans affectation.
Page 113 - J'ai vu ici M. de Larrei, fils de notre pauvre ami Lenet" avec qui nous avons tant ri; car jamais il ne fut une jeunesse si riante que la nôtre de toutes les façons.
Page 428 - Prince m'y vint voir ; il était dans un état pitoyable : il avait deux doigts de poussière sur le visage , ses cheveux tout mêlés ; son collet et sa chemise étaient pleins de sang , quoiqu'il n'eût pas été blessé ; sa cuirasse était pleine de coups , et il tenait son épée nue à la main , ayant perdu le fourreau ; il la donna à mon écuyer.
Page 62 - Vous êtes sensible à la gloire et à l'ambition, et vous ne l'êtes pas moins aux plaisirs: vous paraissez née pour eux, et il semble qu'ils soient faits pour vous; votre présence augmente les divertissements, et les divertissements augmentent votre beauté, lorsqu'ils vous environnent. Enfin, la joie est l'état véritable de votre âme, et le chagrin vous est plus contraire qu'à qui que ce soit.
Page 60 - ... la contrainte est bannie. Tout ce que vous dites a un tel charme et vous sied si bien, que vos paroles attirent les ris et les grâces autour de vous ; et le brillant de votre esprit donne un si grand éclat à votre teint et à vos yeux, que, quoiqu'il semble que l'esprit ne dût toucher que les oreilles, il est pourtant certain que le vôtre éblouit les yeux ; et que, quand on vous écoute, on ne voit plus qu'il manque quelque chose à la régularité de vos traits, et l'on vous cède la beauté...
Page 534 - Madame , en vous rassurant sur les lettres trop tendres, j'ai honte d'en écrire de si folles, sachant que vous les devez lire, vous qui êtes si sage, et devant qui les précieuses ne font que blanchir...
Page 528 - ... ôter, et qui dépend plus de la fortune que de votre conduite « Adieu, ma belle cousine ; songez quelquefois à moi, et que vous n'avez ni parent ni ami qui vous aime tant que je fais. Je voudrais non , je n'achèverai pas, de peur de vous déplaire ; mais vous pouvez bien savoir ce que je voudrais...
Page 357 - C'est moi. Je me tournai du côté de la rue de Tournon , en disant : Gardes de la porte , que l'on me pende ce coquin à ces grilles.
Page 220 - Palais-Royal les princes de Condé et de Conti , et le duc de Longueville (18 janvier 1650).
Page 254 - A Châtillon succéda Miossens , depuis maréchal d'Albret ; ce Miossens , dit Scarron , aux maris si terrible, Ce Miossens à l'amour si sensible, Mais si léger en toutes ses amours, Qu'il change encore, et changera toujours...