Nouvelles lectures littéraires: avec notes et notices |
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... seul sous cette voûte sombre ; Quand il se fut assis sur sa chaise , dans l'ombre , Et qu'on eut sur son front fermé le souterrain , L'œil était dans la tombe et regardait Caïn . VICTOR HUGO . ( La Légende des siècles . ) 1. Fils de ...
... seul sous cette voûte sombre ; Quand il se fut assis sur sa chaise , dans l'ombre , Et qu'on eut sur son front fermé le souterrain , L'œil était dans la tombe et regardait Caïn . VICTOR HUGO . ( La Légende des siècles . ) 1. Fils de ...
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... seul que les victo- rieux épargnèrent et qu'ils traitèrent honorablement . Chacun s'en réjouit , car j'étais aimé ; et j'avais joui de la prospérité sans exciter l'envie , parce que je n'avais ja- mais montré ni dureté , ni orgueil , ni ...
... seul que les victo- rieux épargnèrent et qu'ils traitèrent honorablement . Chacun s'en réjouit , car j'étais aimé ; et j'avais joui de la prospérité sans exciter l'envie , parce que je n'avais ja- mais montré ni dureté , ni orgueil , ni ...
Page 15
... seul . J'avais ouï dire , dans mon enfance , qu'un homme célèbre et riche , établi à Samos , avait été nourri chez mon grand - père ; mais comme Orciloque , mon père , qui est mort jeune , me laissa au berceau , je n'ai su ces choses ...
... seul . J'avais ouï dire , dans mon enfance , qu'un homme célèbre et riche , établi à Samos , avait été nourri chez mon grand - père ; mais comme Orciloque , mon père , qui est mort jeune , me laissa au berceau , je n'ai su ces choses ...
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... seul ne s'ouvre aux dieux . Prêts enfin à quitter un séjour si profane , Ils virent à l'écart une étroite cabane , Demeure hospitalière , humble et chaste maison . Mercure frappe ; on ouvre . Aussitôt Philémon 1. Le terrestre séjour ...
... seul ne s'ouvre aux dieux . Prêts enfin à quitter un séjour si profane , Ils virent à l'écart une étroite cabane , Demeure hospitalière , humble et chaste maison . Mercure frappe ; on ouvre . Aussitôt Philémon 1. Le terrestre séjour ...
Page 48
... seul nom la famille . PAUL FÉVAL . Dentu . ) ( Contes de Bretagne . Le vœu . La barque est petite et la mer immense , La vague nous jette au ciel en courroux , Le ciel nous renvoie au flot en démence : Près du mât rompu prions à genoux ...
... seul nom la famille . PAUL FÉVAL . Dentu . ) ( Contes de Bretagne . Le vœu . La barque est petite et la mer immense , La vague nous jette au ciel en courroux , Le ciel nous renvoie au flot en démence : Près du mât rompu prions à genoux ...
Contents
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Common terms and phrases
Alcine arbres avaient Barbe-Bleue beau bête bois bord BRELET bruit c'était capitaine cartes Carthage cartonné toile cent chant cher cheval chien chose CHRYSALE ciel cœur cognée coup cours CRIQUEVILLE devant Dieu dieux dire dit-il donner édition Émaux et Camées enfants Épaminondas ÉRASTE Ésope fable faisait femme FERDINAND FABRE fille fils Fontaine gens Géographie GÉRONTE Grammaire grec homme j'ai j'avais j'étais janissaires JEAN RICHEPIN jette jeune joie jour Jupiter l'air l'eau laisse lectures littéraires Loup lycée lycée Saint-Louis madame madame de Maintenon madame de Sévigné main maison maître ment mère monde monsieur montagne MONTDOUILLARD MORON mort noir nuit oiseaux passer pauvre peine pensée père petit petits peur PHILAMINTE pieds plaisir pleurs poète porte POURCEAUGNAC professeur regard Régulus reste rien sable sang SCAPIN sent sera seul soir soldats soleil Sophronyme sorte terre tête tombe trouve Vatel venir VICTOR HUGO Virginie voilà voix yeux
Popular passages
Page 328 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ; On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos Rois. De murmurer contre elle et perdre patience Il est mal à propos; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Page 84 - J'attrape le bout de l'année ; Chaque jour amène son pain. Eh bien ! que gagnez-vous, dites-moi, par journée ? Tantôt plus, tantôt moins : le mal est que toujours (Et sans cela nos gains seraient assez honnêtes), Le mal est que dans l'an s'entremêlent des jours Qu'il faut chômer ; on nous ruine en fêtes ; L'une fait tort à l'autre ; et monsieur le curé De quelque nouveau saint charge toujours son prône.
Page 116 - J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.
Page 54 - II lui fait dans le flanc une large blessure. De rage et de douleur le monstre bondissant Vient aux pieds des chevaux tomber en mugissant, Se roule, et leur présente une gueule enflammée Qui les couvre de feu, de sang et de fumée.
Page 115 - Plus d'amour; partant, plus de joie. Le lion tint conseil, et dit : « Mes chers amis, Je crois que le ciel a permis Pour nos péchés cette infortune. Que le plus coupable de nous Se sacrifie aux traits du céleste courroux; Peut-être il obtiendra la guérison commune.
Page 327 - L'augmenteront toujours ? Le malheur de ta fille au tombeau descendue Par un commun trépas, Est-ce quelque dédale où ta raison perdue Ne se retrouve pas ? Je sais de quels appas son enfance était pleine ; Et n'ai pas entrepris, Injurieux ami, de soulager ta peine Avecque son mépris.
Page 89 - J'en voulais venir à ce point. FABLE XI LE LION ET LE RAT II faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde : On a souvent besoin d'un plus petit que soi. De cette vérité deux Fables feront foi, Tant la chose en preuves abonde. Entre les pattes d'un Lion Un Rat sortit de terre assez à l'étourdie. Le Roi des animaux, en cette occasion, Montra ce qu'il était, et lui donna la vie.
Page 286 - ... voir finir une si aimable pièce ; tout y est simple, tout y est innocent, tout y est sublime et touchant : cette fidélité de l'histoire sainte donne du respect ; tous les chants, convenables aux paroles, qui sont tirées des Psaumes...
Page 304 - Les habitants de Paris sont d'une curiosité qui va jusqu'à l'extravagance. Lorsque j'arrivai, je fus regardé comme si j'avais été envoyé du Ciel : vieillards, hommes, femmes, enfants, tous voulaient me voir. Si je sortais, tout le monde se mettait aux fenêtres; si j'étais aux Tuileries...
Page 114 - Faisait aux animaux la guerre. Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés : On n'en voyait point d'occupés A chercher le soutien d'une mourante vie ; Nul mets n'excitait leur envie ; Ni loups ni renards n'épiaient La douce et l'innocente proie ; Les tourterelles se fuyaient : Plus d'amour, partant plus de joie. Le lion tint conseil, et dit : « Mes chers amis, Je crois que le ciel a permis Pour nos péchés cette infortune.