Nouvelles lectures littéraires: avec notes et notices |
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... montré ni dureté , ni orgueil , ni avidité , ni injustice . >> Je passai encore à Samos quelques années assez tranquillement ; mais je sentis enfin un violent désir de revoir la Lycie , où j'avais passé si doucement mon en- fance . J ...
... montré ni dureté , ni orgueil , ni avidité , ni injustice . >> Je passai encore à Samos quelques années assez tranquillement ; mais je sentis enfin un violent désir de revoir la Lycie , où j'avais passé si doucement mon en- fance . J ...
Page 17
... montré à Sophronyme cette maison , ces esclaves , ces troupeaux et ces terres , devenues si fertiles par une soigneuse culture , lui dit ces paroles : « Je suis ravi de vous voir dans l'ancien patrimoine de vos ancêtres ; me voilà ...
... montré à Sophronyme cette maison , ces esclaves , ces troupeaux et ces terres , devenues si fertiles par une soigneuse culture , lui dit ces paroles : « Je suis ravi de vous voir dans l'ancien patrimoine de vos ancêtres ; me voilà ...
Page 20
... montré , dans un siècle de fer , la bonté et l'innocence de l'âge d'or2 ; les dieux , avant que de vous couronner dans le séjour des justes , vous ont accordé ici - bas une vieil- lesse heureuse , agréable et longue : mais , hélas ! ce ...
... montré , dans un siècle de fer , la bonté et l'innocence de l'âge d'or2 ; les dieux , avant que de vous couronner dans le séjour des justes , vous ont accordé ici - bas une vieil- lesse heureuse , agréable et longue : mais , hélas ! ce ...
Page 28
... montre encore sur la cime d'une lame éle- vée ; il approche du rivage . Une femme le conduisait ; elle chantait en luttant contre la tempête , et semblait se jouer dans les vents on eût dit qu'ils étaient sous sa puissance , tant elle ...
... montre encore sur la cime d'une lame éle- vée ; il approche du rivage . Une femme le conduisait ; elle chantait en luttant contre la tempête , et semblait se jouer dans les vents on eût dit qu'ils étaient sous sa puissance , tant elle ...
Page 38
... montre aux bourgeois un grand chariot arrêté sur la place , à la porte de la maison de ville . Ce chariot était attelé de dix jougs de bœufs et gardé par vingt nègres d'Afrique armés jusqu'aux dents . Un des bourgeois descend avec le ...
... montre aux bourgeois un grand chariot arrêté sur la place , à la porte de la maison de ville . Ce chariot était attelé de dix jougs de bœufs et gardé par vingt nègres d'Afrique armés jusqu'aux dents . Un des bourgeois descend avec le ...
Contents
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Common terms and phrases
Alcine arbres avaient Barbe-Bleue beau bête bois bord BRELET bruit c'était capitaine cartes Carthage cartonné toile cent chant cher cheval chien chose CHRYSALE ciel cœur cognée coup cours CRIQUEVILLE devant Dieu dieux dire dit-il donner édition Émaux et Camées enfants Épaminondas ÉRASTE Ésope fable faisait femme FERDINAND FABRE fille fils Fontaine gens Géographie GÉRONTE Grammaire grec homme j'ai j'avais j'étais janissaires JEAN RICHEPIN jette jeune joie jour Jupiter l'air l'eau laisse lectures littéraires Loup lycée lycée Saint-Louis madame madame de Maintenon madame de Sévigné main maison maître ment mère monde monsieur montagne MONTDOUILLARD MORON mort noir nuit oiseaux passer pauvre peine pensée père petit petits peur PHILAMINTE pieds plaisir pleurs poète porte POURCEAUGNAC professeur regard Régulus reste rien sable sang SCAPIN sent sera seul soir soldats soleil Sophronyme sorte terre tête tombe trouve Vatel venir VICTOR HUGO Virginie voilà voix yeux
Popular passages
Page 328 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ; On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos Rois. De murmurer contre elle et perdre patience Il est mal à propos; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Page 84 - J'attrape le bout de l'année ; Chaque jour amène son pain. Eh bien ! que gagnez-vous, dites-moi, par journée ? Tantôt plus, tantôt moins : le mal est que toujours (Et sans cela nos gains seraient assez honnêtes), Le mal est que dans l'an s'entremêlent des jours Qu'il faut chômer ; on nous ruine en fêtes ; L'une fait tort à l'autre ; et monsieur le curé De quelque nouveau saint charge toujours son prône.
Page 116 - J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.
Page 54 - II lui fait dans le flanc une large blessure. De rage et de douleur le monstre bondissant Vient aux pieds des chevaux tomber en mugissant, Se roule, et leur présente une gueule enflammée Qui les couvre de feu, de sang et de fumée.
Page 115 - Plus d'amour; partant, plus de joie. Le lion tint conseil, et dit : « Mes chers amis, Je crois que le ciel a permis Pour nos péchés cette infortune. Que le plus coupable de nous Se sacrifie aux traits du céleste courroux; Peut-être il obtiendra la guérison commune.
Page 327 - L'augmenteront toujours ? Le malheur de ta fille au tombeau descendue Par un commun trépas, Est-ce quelque dédale où ta raison perdue Ne se retrouve pas ? Je sais de quels appas son enfance était pleine ; Et n'ai pas entrepris, Injurieux ami, de soulager ta peine Avecque son mépris.
Page 89 - J'en voulais venir à ce point. FABLE XI LE LION ET LE RAT II faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde : On a souvent besoin d'un plus petit que soi. De cette vérité deux Fables feront foi, Tant la chose en preuves abonde. Entre les pattes d'un Lion Un Rat sortit de terre assez à l'étourdie. Le Roi des animaux, en cette occasion, Montra ce qu'il était, et lui donna la vie.
Page 286 - ... voir finir une si aimable pièce ; tout y est simple, tout y est innocent, tout y est sublime et touchant : cette fidélité de l'histoire sainte donne du respect ; tous les chants, convenables aux paroles, qui sont tirées des Psaumes...
Page 304 - Les habitants de Paris sont d'une curiosité qui va jusqu'à l'extravagance. Lorsque j'arrivai, je fus regardé comme si j'avais été envoyé du Ciel : vieillards, hommes, femmes, enfants, tous voulaient me voir. Si je sortais, tout le monde se mettait aux fenêtres; si j'étais aux Tuileries...
Page 114 - Faisait aux animaux la guerre. Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés : On n'en voyait point d'occupés A chercher le soutien d'une mourante vie ; Nul mets n'excitait leur envie ; Ni loups ni renards n'épiaient La douce et l'innocente proie ; Les tourterelles se fuyaient : Plus d'amour, partant plus de joie. Le lion tint conseil, et dit : « Mes chers amis, Je crois que le ciel a permis Pour nos péchés cette infortune.