Les oeuvres de Monsieur de Moliere..chez Pierre Brunel, 1725 |
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... fi cela venoit à fes oreilles . Vous comprenez bien ? GEORGE DANDIN , Fort bien . Il ne faut Sans doute . LUBIN . pas qu'il fache rien de tout ceci . GEORGE DANDIN . Aaa 3 LU . LUBIN . On le veut tromper tout doucement . Vous COME DI E.
... fi cela venoit à fes oreilles . Vous comprenez bien ? GEORGE DANDIN , Fort bien . Il ne faut Sans doute . LUBIN . pas qu'il fache rien de tout ceci . GEORGE DANDIN . Aaa 3 LU . LUBIN . On le veut tromper tout doucement . Vous COME DI E.
Page 34
... Sans doute , nôtre gendre , vous devez mainte- nant être le plus content des hommes . CLAUDINE . Affurément . Voilà une femme celle - là , vous êtes trop heureux de l'avoir , & vous devriez haifer les pas où elle paffe . GEOR- GEORGE ...
... Sans doute , nôtre gendre , vous devez mainte- nant être le plus content des hommes . CLAUDINE . Affurément . Voilà une femme celle - là , vous êtes trop heureux de l'avoir , & vous devriez haifer les pas où elle paffe . GEOR- GEORGE ...
Page 88
... Sans ceffe vous prêchez des maximes de vivre , Qui par d'honnêtes gens ne fe doivent point fuivre : Je vous parle un peu franc ; mais é'eft là mon humeur , Et je ne mâche point ce que j'ai fur le cœur . DAMIS . Vôtre Monheur Tartuffe ...
... Sans ceffe vous prêchez des maximes de vivre , Qui par d'honnêtes gens ne fe doivent point fuivre : Je vous parle un peu franc ; mais é'eft là mon humeur , Et je ne mâche point ce que j'ai fur le cœur . DAMIS . Vôtre Monheur Tartuffe ...
Page 95
... Sans qu'elle pût fermer un moment la paupiere ; Des chaleurs l'empêchoient de pouvoir fommeiller , Et jufqu'au jour près d'elle il nous fallut veiller ! ORGON . Et Tartuffe ? DORINE . Preffé d'un fommeil agreable , Il paffa dans fa ...
... Sans qu'elle pût fermer un moment la paupiere ; Des chaleurs l'empêchoient de pouvoir fommeiller , Et jufqu'au jour près d'elle il nous fallut veiller ! ORGON . Et Tartuffe ? DORINE . Preffé d'un fommeil agreable , Il paffa dans fa ...
Page 106
... Sans mettre vôtre nez où vous n'avez que faire . DORINE . Je n'en parle , Monfieur , que pour vôtre interêt . Elle l'interrompt toûjours au moment qu'il se retourne pour parler à fa fille . ORGON . ¿ C'eft prendre trop de foin ; taifez ...
... Sans mettre vôtre nez où vous n'avez que faire . DORINE . Je n'en parle , Monfieur , que pour vôtre interêt . Elle l'interrompt toûjours au moment qu'il se retourne pour parler à fa fille . ORGON . ¿ C'eft prendre trop de foin ; taifez ...
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Common terms and phrases
affez Affurément AGLAURE ainfi Allons amour ANGELIQUE ARGANTE ARIST ARMANDE auffi avez beau BELISE c'eft c'eſt charmes chofe choſe CHRISALE CIDIPPE Ciel CLAUDINE CLEANTE CLEONTE CLITANDRE cœur Comedie confentement COVIELLE Danfe deffein Dieu difcours dire DORANTE DORIMENE DORINE doux efprit Eft-ce ELMIRE ERASTE eſt êtes fans doute faurois favez favoir fecret femble femme fens fent fervir feul fille fœur foins foit fongez font fouffrir foûpirs fous fuis gendre GEORGE DANDIN GERONTE grace HENRIETTE HIACINTE homme j'ai j'en jufte l'amour l'efprit laiffer LEANDRE LUBIN LUCILE m'en Madame MARIANE matiere MEDECIN merite Monfieur Jourdain Montfir MUPHTI MUSIQUE n'eft NERINE NICOLE OCTAVE ORGON ORONTE paffe parler penfe pere perfonne PERNELLE Pfiché PHILAMINTE PHILOSOPHIE plaifir plûtôt pouffe POURCEAUGNAC PSICHE puiffe raifon rien s'eft SBRIGANI SCAPIN SCENE SILVESTRE SOTENVILLE TARTUFFE toûjours TRISSOTIN Turc VADIUS VALERE veut veux voilà yeux ZERBINETTE
Popular passages
Page 483 - M'ôter, pour faire bien, du grenier de céans, Cette longue lunette à faire peur aux gens, Et cent brimborions dont l'aspect importune; Ne point aller chercher ce qu'on fait dans la lune, Et vous mêler un peu de ce qu'on fait chez vous, Où nous voyons aller tout sens dessus dessous.
Page 483 - Elles veulent écrire et devenir auteurs. Nulle science n'est pour elles trop profonde, Et céans beaucoup plus qu'en aucun lieu du monde ; Les secrets les plus hauts s'y laissent concevoir, Et l'on sait tout chez moi, hors ce qu'il faut savoir. On y sait comme...
Page 483 - C'est à vous que je parle , ma sœur. Le moindre solécisme en parla'nt vous irrite ; Mais vous en faites, vous, d'étranges en conduite. Vos livres éternels ne me contentent pas; Et, hors un gros Plutarque à mettre mes rabats, Vous devriez brûler tout ce meuble inutile , Et laisser la science aux docteurs de la ville...
Page 95 - Voilà de vos pareils le discours ordinaire : Ils veulent que chacun soit aveugle comme eux. C'est être libertin que d'avoir de bons yeux ; Et qui n'adore pas de vaines simagrées N'a ni respect ni foi pour les choses sacrées.
Page 97 - Ces gens, dis-je, qu'on voit d'une ardeur non commune Par le chemin du Ciel courir à leur fortune, Qui, brûlants et priants, demandent chaque jour, Et prêchent la retraite au...
Page 484 - A cause qu'elle manque à parler Vaugelas. Je vous le dis, ma sœur, tout ce train-là me blesse, Car c'est comme j'ai dit, à vous que je m'adresse. Je n'aime point céans tous vos gens à latin, Et principalement ce monsieur Trissotin; C'est lui qui, dans des vers, vous a tympanisées * : Tous les propos qu'il tient sont des billevesées.
Page 126 - Non, non, vous vous laissez tromper à l'apparence, Et je ne suis rien moins, hélas! que ce qu'on pense. Tout le monde me prend pour un homme de bien ; Mais la vérité pure est que je ne vaux rien.
Page 94 - Qui suit bien ses leçons goûte une paix profonde , Et comme du fumier regarde tout le monde.
Page 97 - Ils ne censurent point toutes nos actions, Ils trouvent trop d'orgueil dans ces corrections, Et laissant la fierté des paroles aux autres, C'est par leurs actions, qu'ils reprennent les nôtres.
Page 95 - Aux pauvres, à mes yeux, il allait le répandre. Enfin le Ciel, chez moi, me le fit retirer, Et depuis ce temps-là, tout semble y prospérer. Je vois qu'il reprend tout, et qu'à ma femme même...