Manuel a l'usage des eleves de la septieme classeImprimerie Goupy, 1895 - 539 pages |
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... rayons du soleil ; en hiver , ils nourrissent la flamme qui conserve en nous la chaleur naturelle . Leur bois n'est pas seulement utile pour le feu : c'est une matière douce , quoique so- lide et durable , à laquelle la main de l'homme ...
... rayons du soleil ; en hiver , ils nourrissent la flamme qui conserve en nous la chaleur naturelle . Leur bois n'est pas seulement utile pour le feu : c'est une matière douce , quoique so- lide et durable , à laquelle la main de l'homme ...
Page 53
... rayons de l'astre qui s'annonce percent avec plus de force ; la lumière et la chaleur se répandent sur l'horizon , et s'augmentent jusqu'à ce qu'enfin la nature nous offre ce qu'elle a de plus grand . Le soleil paraît : un rayon échappé ...
... rayons de l'astre qui s'annonce percent avec plus de force ; la lumière et la chaleur se répandent sur l'horizon , et s'augmentent jusqu'à ce qu'enfin la nature nous offre ce qu'elle a de plus grand . Le soleil paraît : un rayon échappé ...
Page 55
... rayons agissent plus for- tement sur terre . flocons de neige cessent d'obscurcir- atmosphère ; - nuits ne sont plus accompagnées que d'une gelée blanche que fait disparaître soleil du midi . air devient serein ; brouillards et vapeurs ...
... rayons agissent plus for- tement sur terre . flocons de neige cessent d'obscurcir- atmosphère ; - nuits ne sont plus accompagnées que d'une gelée blanche que fait disparaître soleil du midi . air devient serein ; brouillards et vapeurs ...
Page 56
... rayons arrivent d'aplomb sur sol et produisent cette haute température qui caractérise pays compris entre deux tropiques . Comme , d'autre part , - nuits et - --- - - - jours conservent toute l'année , sous l'équateur , une valeur égale ...
... rayons arrivent d'aplomb sur sol et produisent cette haute température qui caractérise pays compris entre deux tropiques . Comme , d'autre part , - nuits et - --- - - - jours conservent toute l'année , sous l'équateur , une valeur égale ...
Page 58
... rayons de astre n'arrivent au sol que sous une direction oblique en toute saison , mais beaucoup plus en hiver qu'en été pour notre hémisphère . Dans chaque zone tem- pérée , - durée des plus longs jours de I année est , suivant ...
... rayons de astre n'arrivent au sol que sous une direction oblique en toute saison , mais beaucoup plus en hiver qu'en été pour notre hémisphère . Dans chaque zone tem- pérée , - durée des plus longs jours de I année est , suivant ...
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Common terms and phrases
7e CL animaux appelle arbres assez ballon beau belette blanc blé bois bruit brûle-t-il c'est-à-dire Cent cerf-volant chaleur chant chanvre chat chaud cher cheval chien chose ciel cieux cœur corps coton coup d'air d'eau Dieu dit-il douce doux eaux étincelle Exercice fils flamme fleurs forêts forme foudre FRANÇOIS Ier frères Montgolfier froid gens glace gnou grain guêpe hommes insectes jour l'air l'autre l'eau l'électricité l'éléphant l'homme l'oiseau l'ours laisse liquide loup lumière main maison maître MANUEL 7 CL ment mésange Minos mollusques Monselice montagnes morceau mouvement murs neige nuages nuit objets oiseaux ondes ondes sonores ours blancs ours noirs papier passe pauvre peau pendant petits pieds pierre plaines pluie poissons porte qu'un rayons regards rien rotifère s'élève sable sage sais salpêtre Scythe semble seul soleil sorte Soulignez Suite surface terre tête thym tige tombe tour trouve vapeur vent verre vieillard voilà voit
Popular passages
Page 440 - Le lacs était usé , si bien que de son aile , De ses pieds, de son bec, l'oiseau le rompt enfin. Quelque plume y périt ; et le pis du destin Fut qu'un certain vautour, à la serre cruelle, Vit notre malheureux, qui, traînant la ficelle, Et les morceaux du lacs qui l'avaient attrapé , Semblait un forçat échappé.
Page 441 - Demi-morte, et demi-boiteuse, Droit au logis s'en retourna. Que bien, que mal, elle arriva Sans autre aventure fâcheuse. Voilà nos gens rejoints; et je laisse à juger De combien de plaisirs ils payèrent leurs peines.
Page 400 - Parbleu ! dit le meunier, est bien fou du cerveau Qui prétend contenter tout le monde et son père. Essayons toutefois si par quelque manière Nous en viendrons à bout.
Page 172 - Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement , Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Page 103 - La nature de l'amour-propre et de ce moi humain est de n'aimer que soi et de ne considérer que soi. Mais que fera-t-il? Il ne saurait empêcher que cet objet qu'il aime ne soit plein de défauts et de misères : il veut être grand, et il se voit petit ; il veut...
Page 440 - Ne pleurez point ; Trois jours au plus rendront mon âme satisfaite : Je reviendrai' dans peu conter de point en point Mes aventures à mon frère ; Je le désennuierai. Quiconque ne voit guère N'a guère à dire aussi. Mon voyage dépeint Vous sera d'un plaisir extrême. Je dirai : J'étais là : telle chose m'avint : Vous y croirez être vous-même.
Page 440 - Le voyageur s'éloigne ; et voilà qu'un nuage L'oblige de chercher retraite en quelque lieu. Un seul arbre s'offrit, tel encor que l'orage Maltraita le Pigeon en dépit du feuillage. L'air devenu serein, il part tout morfondu...
Page 9 - Le chant est aussi souvent la marque de la tristesse que de la joie : l'oiseau qui a perdu ses petits chante encore; c'est encore l'air du temps du bonheur qu'il redit, car il n'en sait qu'un ; mais , par un coup de son art, le musicien n'a fait que changer la clef, et la cantate du plaisir est devenue la complainte de la douleur.
Page 391 - D'une façon fort civile, A des reliefs d'ortolans. Sur un tapis de Turquie • Le couvert se trouva mis. Je laisse à penser la vie Que firent ces deux amis. Le régal fut fort honnête ; Rien ne manquait au festin : Mais quelqu'un troubla la fête Pendant qu'ils étaient en train. A la porte de la salle Ils entendirent du bruit : Le rat de ville détale ; Son camarade le suit. Le bruit cesse, on se retire : Eats en campagne aussitôt ; Et le citadin de dire : " Achevons tout notre rôt. " — C'est...
Page 391 - Pendant qu'ils étaient en train. A la porte de la salle Ils entendirent du bruit : Le Rat de ville détale ; Son camarade le suit. Le bruit cesse, on se retire : Rats en campagne aussitôt ; Et le citadin de dire : Achevons tout notre rôt. - C'est assez, dit le rustique ; Demain vous viendrez chez moi : Ce n'est pas que je me pique De tous vos festins de Roi ; Mais rien ne vient m'interrompre Je mange tout à loisir. Adieu donc ; fi du plaisir Que la crainte peut corrompre.