HISTOIRE DE LA REUNION DE LA LORRAINE A LA FRANCE

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Popular passages

Page 414 - ... car tel est notre plaisir. En témoin de quoi nous avons fait mettre notre scel à cesdites présentes.
Page 321 - De plaire un jour sans aimer j'eus l'envie; Je ne cherchais qu'un simple amusement. L'amusement devint un sentiment; Le sentiment le bonheur de ma vie.
Page 362 - La présente convention sera ratifiée dans un délai de quatre mois à partir du jour de la signature, ou plus tôt si faire se peut. En foi de quoi les plénipotentiaires respectifs ont signé la présente convention et y ont apposé leurs cachets.
Page 89 - Français, rendez grâce à Bellone, Votre bonheur est sans. égal; Vous avez conservé Crémone, Et perdu votre général.
Page 118 - C'était un terrible sujet d'humiliation pour un monarque accoutumé à vaincre, loué sur ses victoires, ses triomphes, sa modération lorsqu'il donnait la paix et qu'il en prescrivait les lois, de se voir alors obligé à la demander à ses ennemis ; leur offrir inutilement pour l'obtenir la restitution d'une partie de ses conquêtes, celle de la monarchie d'Espagne, l'abandon de ses alliés...
Page 328 - L'ABBÉ DE VOISENON. A Lu ru: vil lu, 4 de septembre Mon cher abbé greluchon saura que madame du Châtelet étant cette nuit à son secrétaire , selon sa louable coutume , a dit : Mais je sens quelque chose ! Ce quelque chose était une petite fille qui est venue au monde surle-champ. On l'a mise sur un livre de géométrie qui s'est trouvé là , et la mère est allée se coucher.
Page 332 - Ou dii-ait que les houssards feraient des coursrs dans nos provinci s et approcheraient bientôt de Versailles ; la Reine dit : « Mais si j'en rencontrais une troupe, et que ma garde me défendît mal...
Page 103 - Sa cour était formée sur le modèle de celle de France. On ne croyait presque pas avoir changé de lieu quand on passait de Versailles à Lunéville.
Page 266 - Hollandais ne pouvaient plus devenir plus malheureux qu'ils étaient. Le royaume de Naples et celui de Sicile sont passés plus d'une fois des mains des Espagnols à celles de l'Empereur, et de l'Empereur aux Espagnols; la conquête en a toujours été très -facile, puisque l'une et l'autre domination était très -rigoureuse, et que ces peuples espéraient toujours de trouver des libérateurs dans leurs nouveaux maîtres.
Page 165 - Roi, qui se voulait toujours aller cacher : « Voyez donc, mon maître, tout ce monde et tout ce peuple, tout cela est à vous, tout cela vous appartient, vous en êtes le maître; regardez-les donc un peu pour les contenter, car ils sont tous à vous, vous êtes le maître de tout cela. » Belle leçon pour un gouverneur, qu'il ne se lassait point de lui inculquer à chaque fois qu'il le menait aux fenêtres, tant il avait peur qu'il l'oubliât!

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