Le théatre des grecs, Volume 8Cussac, 1821 - Greek drama |
Other editions - View all
Common terms and phrases
Achille acte ADRASTE AGAMEMNON Apollon Argiens Argos Athènes Athéniens Atrides Aulide autels barbare Brumoy bucher Calchas Capanée Cérès char cher chœur citoyens CLYTEMNESTRE cœur Créon cruel d'Achille d'Agamemnon d'Argos d'Euripide d'Iphi d'Iphigénie d'Oreste déesse dessein destinée Diane dieux discours Dolcé douleur enfans épouse époux ÉTHRA Euripide ÉVADNÉ femmes fille fils fortune frère funeste fureur gloire Grecs guerre Hélas Hélène HÉRAUT THÉBAIN héros heureux hymen immolée infortunée Iphig IPHIGÉNIE IPHIS j'ai Jupiter l'ancien éditeur l'armée l'autel l'hymen larmes madame mains malheurs maux Ménélas mère mort mortels mourir Musgrave Mycènes Note de l'ancien oracle ORESTE paraît parle paroles patrie Pélops père Phocide pleurs poëte Polynice porte prêtresse princesse Pylade qu'Euripide qu'Iphigénie Racine raison Rotrou sacré sacrifice sang sauver scène seigneur sentimens sera seul sœur songe sort spectateur statue Tauride temple tendre théâtre Thèbes Thésée THOAS traducteur tragédie triste Troie Tydée Tyndare vaisseaux victime VIEILLARD Voilà yeux
Popular passages
Page 257 - Et d'un père éperdu négligeant les avis, Vais-je y chercher la mort tant prédite à leur fils*? Jamais vaisseaux partis des rives du Scamandre* Aux champs thessaliens osèrent-ils descendre?
Page 264 - Paraît digne à vos yeux d'une autre récompense; Si d'une mère en pleurs vous plaignez les ennuis, J'ose vous dire ici qu'en l'état où je suis Peut-être assez d'honneurs environnaient ma vie Pour ne pas souhaiter qu'elle me fût ravie, Ni qu'en me l'arrachant, un sévère destin, Si près de ma naissance, en eût marqué la fin.
Page 263 - Vous ne démentez point une race funeste ; Oui, vous êtes le sang d'Atrée et de Thyeste : Bourreau de votre fille, il ne vous reste enfin Que d'en faire à sa mère un horrible festin.
Page 221 - Fille d'Agamemnon, c'est moi qui la première, Seigneur, vous appelai de ce doux nom de père ; C'est moi qui, si longtemps le plaisir de vos yeux, Vous ai fait de ce nom remercier les Dieux, Et pour qui tant de fois prodiguant vos caresses, Vous n'avez point du sang dédaigné les faiblesses.
Page 220 - Cette soif de régner que rien ne peut éteindre, L'orgueil de voir vingt rois vous servir et vous craindre, Tous les droits de l'empire en vos mains confiés, Cruel ! c'est à ces dieux que vous sacrifiez...
Page 250 - Jamais Iphigénie, en Aulide immolée, N'a coûté tant de pleurs à la Grèce assemblée Que dans l'heureux spectacle à nos yeux étalé En a fait sous son nom verser la Champmeslé 2.
Page 124 - Quel important besoin Vous a fait devancer l'aurore de si loin? A peine un faible jour vous éclaire et me guide, Vos yeux seuls et les miens sont ouverts dans l'Aulide. Avez-vous dans les airs entendu quelque bruit? Les vents nous auraient-ils exaucés cette nuit? Mais tout dort, et l'armée, et les vents, et Neptune. AGAMEMNON Heureux qui, satisfait de son humble fortune, Libre du joug superbe où je suis attaché, Vit dans l'état obscur où les dieux l'ont caché ! ARCAS Et depuis quand, seigneur,...
Page 146 - II me représenta l'honneur et la patrie , Tout ce peuple, ces rois, à mes ordres soumis, Et l'empire d'Asie à la Grèce promis : De quel front, immolant tout l'État à ma fille, Roi sans gloire, j'irois vieillir dans ma famille.
Page 264 - D'un œil aussi content, d'un cœur aussi soumis, Que j'acceptais l'époux que vous m'aviez promis, Je saurai, s'il le faut, victime obéissante, Tendre au fer de Calchas une tète innocente, Et respectant le coup par vous-même ordonné, Vous rendre tout le sang que vous m'avez donné.
Page 427 - Vois-tu d'affreux serpents de ton front s'élancer, Et de leurs longs replis te ceindre et te presser?.... Le seul trépas est-il ta dernière ressource? Lui seul de tant d'horreurs peut-il combler la source? Tu m'aimes! et tu veux qu'en cet horrible état, Qu'écrasé sous le poids de mon noir attentat, Fuyant le coup fatal que ma fureur implore, Je recherche le jour que je souille et j'abhorre! Proscrit, désespéré, sans asile, sans dieux, Misérable partout, et partout odieux, Tu m'aimes! et...