Philosophie du bonheur |
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... société , et l'âme source de tout droit et de toute vie pour l'État ou le genre humain . Quel progrès de Bossuet à Montesquieu , si l'on regarde la philosophie sociale , politique , his- torique ! Mais si l'on regarde la philosophie de ...
... société , et l'âme source de tout droit et de toute vie pour l'État ou le genre humain . Quel progrès de Bossuet à Montesquieu , si l'on regarde la philosophie sociale , politique , his- torique ! Mais si l'on regarde la philosophie de ...
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... société , croient qu'il leur est permis de se délasser et de se dédommager de ces lourdes et âpres fatigues par quelques douceurs sans conséquence : la volupté est pour eux une distraction dont ils croient qu'ils pourront ne prendre que ...
... société , croient qu'il leur est permis de se délasser et de se dédommager de ces lourdes et âpres fatigues par quelques douceurs sans conséquence : la volupté est pour eux une distraction dont ils croient qu'ils pourront ne prendre que ...
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... société des brutes . Toutes ces formes de la vie voluptueuse , les plus délicates comme les plus épaisses , ne sont , après tout , que les degrés , de la vie animale dans l'homme . Or , une telle vie est - elle le souverain bien ? Est ...
... société des brutes . Toutes ces formes de la vie voluptueuse , les plus délicates comme les plus épaisses , ne sont , après tout , que les degrés , de la vie animale dans l'homme . Or , une telle vie est - elle le souverain bien ? Est ...
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... société et des belles choses ; enfin qu'il n'y a pas de peuples plus corrompus que les peuples misérables . De ces princi- pes qui sont vrais , ils ont tiré certaines conclusions qui sont contestables . Ils ont pensé qu'il était utile d ...
... société et des belles choses ; enfin qu'il n'y a pas de peuples plus corrompus que les peuples misérables . De ces princi- pes qui sont vrais , ils ont tiré certaines conclusions qui sont contestables . Ils ont pensé qu'il était utile d ...
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... société . En général , ce qui constitue la pauvreté , c'est l'absence de sécurité , c'est de vivre au jour le jour et de n'avoir rien devant soi . Dans cet état ce n'est que par de perpétuels combats que l'on réussit à sa- tisfaire les ...
... société . En général , ce qui constitue la pauvreté , c'est l'absence de sécurité , c'est de vivre au jour le jour et de n'avoir rien devant soi . Dans cet état ce n'est que par de perpétuels combats que l'on réussit à sa- tisfaire les ...
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Common terms and phrases
abstraite Açoka affections aimable aimer âme assez beau beauté besoin bonheur humain carac caractère cesse charme choses ciété cité de Dieu Clazomène cœur condition contemplation d'autrui d'être désirs Dieu dire donne douleur doute doux elle-même enfin épreuves esprits extérieures facultés faiblesse fausse force fortune galités Goethe goût grandeur heureux hommes idées intérêts jeunesse joie jouir juger l'âme l'amour l'autre l'esprit l'homme l'homme idéal l'humanité l'imagination liberté lois lorsqu'il lui-même madame de Staël maux ment mérite mesure misères monde morale mouvement nécessaire noble non-seulement nous-mêmes objet pable pandu Pascal passé passions pauvreté pensée peuvent philosophie plaisir plaisirs poëte principes propre puissance qu'un quelquefois raison rence reste reux rêve richesse rien Rochefoucauld s'il sages sagesse saint Augustin science secret du bonheur semble sens sentiment serait seul sions société sorte souf souffrances souffre souvent stoïcisme tion triste trom trompe Vauvenargues vérité vertu vivre volonté Voltaire vrai yeux
Popular passages
Page 415 - Qu'on s'imagine un nombre d'hommes dans les chaînes, et tous condamnés à la mort, dont les uns étant chaque jour égorgés à la vue des autres , ceux qui restent voient leur propre condition dans celle de leurs semblables, et, se regardant les uns les autres avec douleur et sans espérance, attendent leur tour; c'est l'image de la condition des hommes.
Page 94 - Sans parents, sans amis, pour ainsi dire seul sur la terre, n'ayant point encore aimé, j'étais accablé d'une surabondance de vie. Quelquefois je rougissais subitement, et je sentais couler dans mon cœur comme des ruisseaux d'une lave ardente; quelquefois je poussais des cris involontaires, et la nuit était également troublée de mes songes et de mes veilles. Il...
Page 135 - Si on me presse de dire pourquoy je l'aymois ', je sens que cela ne se peut exprimer, qu'en respondant : Parce que c'estoit luy, parce que c'estoit moy.
Page 276 - Sa sagesse même n'a pu le garantir de commettre des fautes irréparables ; il a souffert le mal qu'il ne méritait pas et celui que son imprudence lui a attiré.
Page 275 - Né pour les plus grands déplaisirs, il a eu de la hauteur et de l'ambition dans la pauvreté. Il s'est vu dans ses disgrâces méconnu de ceux qu'il aimait. L'injure a flétri sa vertu ; et il a été offensé de ceux dont il ne pouvait prendre de vengeance.
Page 94 - Il me manquait quelque chose pour remplir l'abîme de mon existence: je descendais dans la vallée, je m'élevais sur la montagne, appelant de toute la force de mes désirs l'idéal objet d'une flamme future; je l'embrassais dans les vents; je croyais l'entendre dans les gémissements du fleuve; tout était ce fantôme imaginaire, et les astres dans les cieux, et le principe même de vie dans l'univers.
Page 431 - On cherche le repos en combattant quelques obstacles ; et, si on les a surmontés, le repos devient insupportable. Car, ou l'on pense aux misères qu'on a, ou à celles qui nous menacent. Et quand on se verrait même assez à l'abri de toutes parts, l'ennui, de son autorité privée, ne laisserait pas de sortir au fond du cœur, où il a des racines naturelles, et de remplir l'esprit de son venin...
Page 134 - Ce que les hommes ont nommé amitié n'est qu'une société, qu'un ménagement réciproque d'intérêts, et qu'un échange de bons offices ; ce n'est enfin qu'un commerce où l'amour-propre se propose toujours quelque chose à gagner.
Page 145 - Malgré la vue de toutes nos misères, qui nous touchent, qui nous tiennent à la gorge, nous avons un instinct que nous ne pouvons réprimer, qui nous élève.
Page 137 - La reconnaissance de la plupart des hommes n'est qu'une secrète envie de recevoir de plus grands bienfaits.