FablesThéodore Lefèvre, 1867 |
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... guerre , De sa marche avertis , ils s'enfuiraient sous terre : Qu'il n'y savait que ce moyen . Chacun fut de l'avis de monsieur le doyen : Chose ne leur parut à tous plus salutaire . La difficulté fut d'attacher le grelot . L'un dit ...
... guerre , De sa marche avertis , ils s'enfuiraient sous terre : Qu'il n'y savait que ce moyen . Chacun fut de l'avis de monsieur le doyen : Chose ne leur parut à tous plus salutaire . La difficulté fut d'attacher le grelot . L'un dit ...
Page 20
... guerre autour de leurs murailles , Avaient lassé les Grecs , qui , par mille moyens , Par mille assauts , par cent batailles , N'avaient pu mettre à bout cette fière cité ; Quand un cheval de bois , par Minerve inventé , D'un rare et ...
... guerre autour de leurs murailles , Avaient lassé les Grecs , qui , par mille moyens , Par mille assauts , par cent batailles , N'avaient pu mettre à bout cette fière cité ; Quand un cheval de bois , par Minerve inventé , D'un rare et ...
Page 24
... jour au moucheron . L'autre lui déclara la guerre : Penses - tu , lui dit - il , que ton titre de roi Me fasse peur ni me soucie ? Un bœuf est plus puissant que toi ; ( Page 24. ) Je le mène à ma fantaisie 21 FABLES DE LA FONTAINE .
... jour au moucheron . L'autre lui déclara la guerre : Penses - tu , lui dit - il , que ton titre de roi Me fasse peur ni me soucie ? Un bœuf est plus puissant que toi ; ( Page 24. ) Je le mène à ma fantaisie 21 FABLES DE LA FONTAINE .
Page 32
... guerre ? Il n'est , je le vois bien , si poltron sur la terre , Qui ne puisse trouver un plus poltron que soi . LE COQ ET LE RENARD . Sur la branche d'un arbre était en sentinelle Un vieux coq adroit et matois . Frère , dit un renard ...
... guerre ? Il n'est , je le vois bien , si poltron sur la terre , Qui ne puisse trouver un plus poltron que soi . LE COQ ET LE RENARD . Sur la branche d'un arbre était en sentinelle Un vieux coq adroit et matois . Frère , dit un renard ...
Page 39
... guerre a ses douceurs , l'hymen a ses alarmes . Si je suivais mon goût , je saurais où buter ; Mais j'ai les miens , la cour , le peuple à contenter . Malherbe là - dessus : Contenter tout le monde ! Écoutez ce récit avant que je ...
... guerre a ses douceurs , l'hymen a ses alarmes . Si je suivais mon goût , je saurais où buter ; Mais j'ai les miens , la cour , le peuple à contenter . Malherbe là - dessus : Contenter tout le monde ! Écoutez ce récit avant que je ...
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Common terms and phrases
affaire allait animal arrive assez aurait ayant beau belle bête bois bout C'était Celui-ci cent cerf champs chat chercher cheval chien chose ciel commun compter content coup cour crier devant Dieu dieux dire disait dit-il donne enfants enfin fais fils fond font force fort Fortune gens Grecs guerre haut homme J'ai jour Jupiter L'ANE l'autre L'homme L'un laisse lieu lion LIVRE logis loin long loup main maint maître malheureux manger marcher mère mieux monde mort mots mouche mouton n'en n'était nouveau pareils parler passé pauvre peine Pendant pense père petit petits peuple pieds plaisir plein porte premier prend pris qu'à qu'en qu'un quitter raison renard rien s'en s'il sage sais semble sera servir seul singe soin somme songe sort souris souvent terre tête tirer tombe tour traits trésor trouva venir veut vient vieux voilà voisin voit voulait voyant vrai yeux
Popular passages
Page 112 - Plus d'amour, partant plus de joie. Le lion tint conseil et dit : Mes chers amis, Je crois que le ciel a permis Pour nos péchés cette infortune : Que le plus coupable de nous Se sacrifie aux traits du céleste courroux ; Peut-être il obtiendra la guérison commune.
Page 3 - Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le phénix des hôtes de ces bois. » A ces mots le corbeau ne se sent pas de joie ; Et, pour montrer sa belle voix, Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie.
Page 213 - Quand pourront les neuf Sœurs, loin des cours et des villes, M'occuper tout entier, et m'apprendre des cieux Les divers mouvements inconnus à nos yeux, Les noms et les vertus de ces clartés errantes Par qui sont nos destins et nos mœurs différentes?
Page 17 - Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête.
Page 135 - LE SAVETIER ET LE FINANCIER. Un savetier chantait du matin jusqu'au soir: C'était merveille de le voir, Merveille de l'ouïr; il faisait des passages, Plus content qu'aucun des sept sages. Son voisin, au contraire, étant tout cousu d'or, Chantait peu, dormait moins encor: C'était un homme de finance.
Page 17 - Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin. » Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le Nord eût porté jusque-là dans ses flancs.
Page 121 - Aussitôt que le char chemine, Et qu'elle voit les gens marcher, Elle s'en attribue uniquement la gloire ; . Va, vient, fait l'empressée : il semble que ce soit Un sergent de bataille allant en chaque endroit Faire avancer ses gens et hâter la victoire.
Page 128 - PERRETTE, sur sa tête ayant un pot au lait Bien posé sur un coussinet, Prétendait arriver sans encombre à la ville. Légère et court vêtue, elle allait à grands pas, Ayant mis ce jour-là, pour être plus agile, 5 Cotillon simple et souliers plats.
Page 113 - L'âne vint à son tour, et dit : « J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim , l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue ; Je n'en avois nul droit, puisqu'il faut parler net.
Page 47 - Le Renard sort du puits, laisse son compagnon, Et vous lui fait un beau sermon Pour l'exhorter à patience. « Si le Ciel t'eût, dit-il, donné par excellence Autant de jugement que de barbe au menton, Tu n'aurois pas, à la légère, Descendu dans ce puits.