FablesThéodore Lefèvre, 1867 |
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... C'était à vous de suivre , au vieillard de monter . - Messieurs , dit le meunier , il vous faut contenter . L'enfant met pied à terre , et puis le vieillard monte ; Quand , trois filles passant , l'une dit : C'est grand'honte Qu'il ...
... C'était à vous de suivre , au vieillard de monter . - Messieurs , dit le meunier , il vous faut contenter . L'enfant met pied à terre , et puis le vieillard monte ; Quand , trois filles passant , l'une dit : C'est grand'honte Qu'il ...
Page 45
... c'était un soliveau , De qui la gravité fit peur à la première Qui , de le voir s'aventurant , Osa bien quitter sa tanière . Elle approcha , mais en tremblant ; Une autre la suivit , une autre en fit autant ; Il en vint une fourmilière ...
... c'était un soliveau , De qui la gravité fit peur à la première Qui , de le voir s'aventurant , Osa bien quitter sa tanière . Elle approcha , mais en tremblant ; Une autre la suivit , une autre en fit autant ; Il en vint une fourmilière ...
Page 50
... C'était apparemment le bien des deux partis : Car si les loups mangeaient mainte bête égarée , Les bergers de leur peau se faisaient maints habits . Jamais de liberté , ni pour les pâturages , Ni d'autre part pour les carnages : Ils ne ...
... C'était apparemment le bien des deux partis : Car si les loups mangeaient mainte bête égarée , Les bergers de leur peau se faisaient maints habits . Jamais de liberté , ni pour les pâturages , Ni d'autre part pour les carnages : Ils ne ...
Page 54
... C'était un vieux routier , il savait plus d'un tour ; Même il avait perdu sa queue à la bataille . Ce bloc enfariné ne me dit rien qui vaille . S'écria - t - il de loin au général des chats : Je soupçonne dessous encor quelque machine ...
... C'était un vieux routier , il savait plus d'un tour ; Même il avait perdu sa queue à la bataille . Ce bloc enfariné ne me dit rien qui vaille . S'écria - t - il de loin au général des chats : Je soupçonne dessous encor quelque machine ...
Page 60
... parent souvent des dépouilles d'autrui , Et que l'on nomme plagiaires . Je m'en tais , et ne veux leur causer nul ennui : Ce ne sont pas là mes affaires . OX C'était chez les Grecs un usage Que sur la GO FABLES DE LA FONTAINE .
... parent souvent des dépouilles d'autrui , Et que l'on nomme plagiaires . Je m'en tais , et ne veux leur causer nul ennui : Ce ne sont pas là mes affaires . OX C'était chez les Grecs un usage Que sur la GO FABLES DE LA FONTAINE .
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Common terms and phrases
Adieu affaire allait âne animal apologue baudet beau belette berger bergère bête bout brebis bûcheron C'était cent Cérès cerf chapons chat chauve-souris chercher cheval chèvre chien chose ciel cigogne conte corbeau Cormoran coup crier croquant crut Dieu dieux dire disait dit-il dormait doux enfants enfin Ésope fable fais fils Fortune fourmi gens GRENOUILLES homme hydre J'ai J'en Jean lapin jour Jupiter L'aigle L'âne l'animal l'autre l'avare L'escarbot L'homme l'oiseau l'ours L'un là-dessus laisse lièvre lion logis loup maint maître maître ès arts malheureux manger messieurs meunier mieux mort mouche moucheron mourir mouton n'en passé pauvre peau peine peuple pieds plaisir pleurs poisson porte préteurs qu'à qu'un queue raison renard repartit rien s'en s'il sage seigneur sera seul singe sire soin songe sort souris Styx tanches tête Tircis tortue trésor trouva veux vieillard vient vieux voilà voisin voleurs voulait zéphyrs
Popular passages
Page 112 - Plus d'amour, partant plus de joie. Le lion tint conseil et dit : Mes chers amis, Je crois que le ciel a permis Pour nos péchés cette infortune : Que le plus coupable de nous Se sacrifie aux traits du céleste courroux ; Peut-être il obtiendra la guérison commune.
Page 3 - Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le phénix des hôtes de ces bois. » A ces mots le corbeau ne se sent pas de joie ; Et, pour montrer sa belle voix, Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie.
Page 213 - Quand pourront les neuf Sœurs, loin des cours et des villes, M'occuper tout entier, et m'apprendre des cieux Les divers mouvements inconnus à nos yeux, Les noms et les vertus de ces clartés errantes Par qui sont nos destins et nos mœurs différentes?
Page 17 - Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête.
Page 135 - LE SAVETIER ET LE FINANCIER. Un savetier chantait du matin jusqu'au soir: C'était merveille de le voir, Merveille de l'ouïr; il faisait des passages, Plus content qu'aucun des sept sages. Son voisin, au contraire, étant tout cousu d'or, Chantait peu, dormait moins encor: C'était un homme de finance.
Page 17 - Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin. » Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le Nord eût porté jusque-là dans ses flancs.
Page 121 - Aussitôt que le char chemine, Et qu'elle voit les gens marcher, Elle s'en attribue uniquement la gloire ; . Va, vient, fait l'empressée : il semble que ce soit Un sergent de bataille allant en chaque endroit Faire avancer ses gens et hâter la victoire.
Page 128 - PERRETTE, sur sa tête ayant un pot au lait Bien posé sur un coussinet, Prétendait arriver sans encombre à la ville. Légère et court vêtue, elle allait à grands pas, Ayant mis ce jour-là, pour être plus agile, 5 Cotillon simple et souliers plats.
Page 113 - L'âne vint à son tour, et dit : « J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim , l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue ; Je n'en avois nul droit, puisqu'il faut parler net.
Page 47 - Le Renard sort du puits, laisse son compagnon, Et vous lui fait un beau sermon Pour l'exhorter à patience. « Si le Ciel t'eût, dit-il, donné par excellence Autant de jugement que de barbe au menton, Tu n'aurois pas, à la légère, Descendu dans ce puits.