Traité de l'ameLibrairie Philosophique de Ladrange, 1846 - 392 pages |
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acte Alexandre d'Aphrodise âme Anaxagore animaux Aris Aristote aristotélique Berlin bles cause chap choses connaître contraire corps couleur Criton d'Aristote d'autres définition Démocrite Descartes diaphane différence dire distinction doctrine doit Écossais éléments elle-même entéléchie espèce forme gence goût haut Héraclite Hippon indivisible intel intelligible J'ai l'acte l'air l'âme de l'homme l'animal l'appétit l'entéléchie l'entendement l'essence l'est l'être l'imagination l'in l'intelli l'intelligence l'objet l'odorat l'organe l'ouïe l'un ligence locomotion lui-même matière ment Métaphysique méthode meut moteur mouvement nature nécessairement nutrition objets sensibles organes parfaitement pensée perception Péripatétisme Phédon philo Philopon philosophie physiologie plantes Platon principe propre psychologie puissance qu'Aristote question raison rapport Reid reste s'applique saveur science semble sens sensation sensibilité sent séparée serait seul sible simple Simplicius siologie Socrate sorte spécial substance surtout telligence texte Thémistius théorie théorie des Idées Timée tion tote toucher tout-à-fait Traité de l'Ame Trendelenbourg vement vient vrai Xénocrate
Popular passages
Page lvii - ... répondez pour moi que je ne serai pas plutôt mort que je m'en irai , afin que le pauvre Criton prenne les choses plus doucement, et qu'en voyant brûler mon corps, ou le mettre en terre , il ne s'afflige pas sur moi , comme si je souffrais de grands maux , et qu'il ne dise pas à mes funérailles qu'il expose Socrate , qu'il...
Page lvii - ... saches, mon cher Criton, lui dit-il, que parler improprement ce n'est pas seulement une faute envers les choses, mais c'est aussi un mal que l'on fait aux âmes. Il faut avoir plus de courage, et dire que c'est mon corps que tu enterres; et enterre-le comme il te plaira, et de la manière qui te paraîtra la plus conforme aux lois.
Page ci - C'est qu'il faut que les physiologistes se résignent à reconnaître avec Cuvier (Rapport historique, page 6,) « que les sciences naturelles finissent là où il n'ya plus à considérer que les opérations de l'esprit et leur influence sur la volonté. » Avec lui encore, il faut qu'ils se résignent à reconnaître « cet hiatus infranchissable » dont il parle en réfutant Gall, « et qui sépare la matière divisible du moi indivisible. » Mais c'est un sacrifice trop douloureux pour les physiologistes...
Page lvi - Criton que je suis le Socrate qui s'entretient avec vous, et qui ordonne toutes les parties de son discours; il s'imagine toujours que je suis celui qu'il va voir mort tout à l'heure, et il me demande comment il m'ensevelira; et tout ce long discours que je viens de faire pour vous prouver que, dès que j'aurai avalé le poison, je ne demeurerai plus avec vous, mais que je vous quitterai, et irai jouir de...
Page lvi - Je ne saurais venir à bout, mes amis, de persuader à Criton que je suis le Socrate qui s'entretient avec vous, et qui ordonne toutes les parties de son discours; il s'imagine toujours que je suis celui qu'il va voir mort tout à...
Page lvii - ... répondez pour moi que je ne serai pas plus tôt mort , que je m'en irai , afin que le pauvre Criton prenne les choses plus doucement , et qu'en voyant brûler mon corps ou le mettre en terre, il ne s'afflige pas sur moi , comme si je souffrais de grands maux , et qu'il ne dise pas à mes funérailles qu'il...
Page 303 - ... avec toutes les réserves qu'il a faites; mais c'est une erreur de les confondre science spéculative et l'objet su de cette façon, sont un seul et même objet. Resterait à rechercher, il est vrai, pourquoi l'intelligence ne pense pas toujours. Mais c'est dans les choses matérielles que sont en puissance toutes les choses intelligibles. Par conséquent, l'intelligence ne sera pas dans les choses matérielles, puisque l'intelligence est précisément substantiellement , comme Plotin semble...
Page 85 - L'intelligence est la forme des formes, et la sensation est la forme des choses sensibles. Mais comme il n'ya, en dehors des choses étendues, rien qui soit séparé comme nous le paraissent les choses sensibles, il faut admettre que les choses intelligibles sont dans les formes sensibles , comme y sont et les choses abstraites et tout ce qui est ou qualité ou modification des choses sensibles. Et voilà pourquoi...
Page 321 - Et pour parler de choses où il n'ya plus d'action , le vrai et le faux sont dans le même genre que le bien et le mal. Mais il ya cette différence que le vrai et le faux sont absolus, et que le bien et le mal sont relatifs. § 7. Quant aux choses dites abstraites, l'intelligence les pense de la même manière qu'elle pense le camus; en tant que camus, elle ne le pense pas séparément du nez ; mais en tant que courbe , si elle le pense en acte , elle peut le penser indépendamment de la chair dans...
Page 137 - T pas davantage le corps qui en est cause , et ce serait bien plutôt l'âme qui en serait cause pour lui. § ai. Mais Timée ne dit pas non plus que le mouvement soit un état meilleur pour l'âme; et pourtant il a bien fallu, puisque Dieu a voulu que l'âme se mût circulairement, qu'il fût meilleur pour elle de se mouvoir que de rester en repos , et de se mouvoir ainsi plutôt que tout autrement. Mais comme ces considérations appartiennent plus spécialement à une autre étude, nous les laissons...