Alors, je m'esquivai de table sans que l'on s'apercut de ma disparition. Je me retirai dans ma chambre, légèrement aviné, — (je tiens de Rouget, lui-même, ce dernier mot comme tous ces détails : je vous prie de le croire; je ne me permettrais pas... Rouget de Lisle et l'hymme national - Page 10by Ernest Chapuis - 1892 - 17 pagesFull view - About this book
| Société d'émulation du Jura - Jura (France) - 1868 - 524 pages
...moi-même la voix d'une muse qui me criait: Vas! vas! Alors, je m'esquivai de table sans que l'on s'apercut de ma disparition. Je me retirai dans ma chambre,...enfin les pleurs me coupaient la voix « Le lendemain matin, sortant d'un sommeil aussi laborieux que mon dernier état de veille, je fus presque étonné... | |
| Société d'émulation du Jura - Jura (France) - 1868 - 516 pages
...criait: Vas! vas! Alors, je m'esquivai de table sans que l'on s'aperçut de ma disparition. Je me relirai dans ma chambre, légèrement aviné, — (je tiens...enfin les pleurs me coupaient la voix « Le lendemain matin, sortant d'un sommeil aussi laborieux que mon dernier état de veille, je fus presque étonné... | |
| Nicolas François Louis Besson - Franche-Comté (France) - 1892 - 500 pages
...moi-même la voix d'une muse qui me criait: Va! va! Alors je m'esquivai de table sans que l'on s'apercût de ma disparition. Je me retirai dans ma chambre,...une abondante sueur ruisselait de tous mes membres cl mouillait le parquet; puis je m'attendrissais; puis enfin les pleurs me coupaient la voix — »... | |
| Julien Tiersot - 1892 - 466 pages
...je ne me permettrais pas sans cela d'ajouter à sa narration une circonstance de cette nature)—je saute à mon violon; je trouve dans mes premiers coups...comble; j'étais comme agité d'une fièvre ardente ; une abondante sueur ruisselait sur mon front; puis je m'attendrissais; puis enfin les pleurs me coupaient... | |
| Alsace (France) - 1963 - 174 pages
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