quelquefois; et pourquoi, 579. Règles qu'il observait à l'égard de ses vêtements, ibid. Il préférait le dîner au souper quelle mesure il observait dans son boire, 580. Son goût par rapport à l'air, ibid. Il était plus incommodé par un grand chaud que par un grand froid, ibid. Il avait la vue longue; mais ses yeux étaient aisément fatigués par l'exercice, ibid. Sa démarche : il se tenait fort peu de temps dans une même situation, ibid. Il mangeait avec trop d'avidité, ibid. Ce qu'il jugeait des plaisirs de la table, ibid. Dans quel rang il mettait les plaisirs purs de l'imagination et les plaisirs corporels, 581. Usage qu'il❘ faisait de la vie, 584 et suiv. Il aimait à goûter les dou- MONTCONTOUR ( bataille de ), 102. MONT-DORÉ. Mis par Montaigne au rang des meilleurs poë- MONTFORT (Jean V, comte de), duc de Bretagne, 110. MONTMORENCY ( le connétable de ). Sa conduite au siége Morale. Leçons de morale aussi méprisées de celui qui les Mort. En quel sens elle nous acquitte de toutes nos obli- gations, 12. Unique juge du bonheur des hommes, 26. Mépris de la mort, un des principaux bienfaits de la vertu, 27. Plusieurs exemples de morts extraordinaires et soudaines, 29. Combien il importe d'être préparé d'a- vance à la mort, et de se familiariser avec elle, 30. Quel- les sont les morts les plus saines, 31. Ne pas craindre la mort, nous procure une vraie liberté, 33. Motifs d'en user ainsi, 34. La mort fait partie de l'ordre de l'univers, ibid. Pourquoi est mêlée d'amertume, 35. Pourquoi nous paraît autre à la guerre que dans nos maisons, ibid. Diversité d'opinions touchant la mort, 120. Plai- santeries dites à l'heure de la mort, 121. Mort recherchée avec avidité, ibid. Mort, recette à tous maux, 174. Elle dépend de la volonté de l'homme, ibid. Raisons contre une mort volontaire, 175. Raisons qui peuvent porter l'homme à se donner la mort, 176. Morts funestes, pour avoir été précipitées, ibid. Mort préférée à l'esclavage, 177; et à une vie malheureuse, ibid. Mort désirée pour l'es- pérance d'un plus grand bien, 180. On ne la peut es- sayer qu'une fois, et nous sommes tous apprentis quand nous y venons, 184. Comment on peut se familiariser avec la mort, ibid. Si les défaillances, dans l'agonie de la mort, sont fort douloureuses, 186. La mort s'inter- prète par la vie, 212. Ce qu'on doit juger de la fermeté de bien des gens qui se sont donné la mort, 312. La mort la plus désirable, 313. L'envie de mourir utilement est très-louable; mais l'exécution n'en est pas en notre puis- sance, 349. Si ceux qui, prêts à recevoir la mort sur un échafaud, se livrent à de grands transports de dévotion, doivent être loués de fermeté, 431. Si, lorsqu'on meurt dans une bataille ou dans un combat singulier, on pense beaucoup à la mort, ibid. Différentes considérations qui | nous empêchent de penser directement à la mort, ibid. A quoi sert la préparation à la mort, 549 et suiv. La mort fait partie de notre être, et est très-utile à la nature, 552. MUCIUS SCÉVOLA. Sa fermeté à souffrir la douleur, 125. Mules et mulets. Monture honorable et déshonorable en MURET (Marc Antoine). Mis par Montaigne au rang des meilleurs orateurs de son temps, 77. MUSES. Sont le jouet et le passe-temps de l'esprit, 429. Sout en grande liaison avec Vénus, 439. MYSON, un des sept sages. Sa réponse à celui qui lui de- N. Nacre. Quelle liaison elle entretient avec le pinnotère, 241. Nations. S'il y en a qui dorment et veillent six mois de Nature. Elle est supérieure à l'art, 97, 227, 228. Ce que NÉORITES. Comment ils traitent les corps morts, 548. NÉRON. Magnanimité de deux soldats interrogés par ce tyran, 5. Ce qu'il sentit en quittant sa mère dont il avait ordonné la mort, 110. Acte d'humanité qu'il fait paraître en signant la sentence d'un criminel, 165. NESLE (messire Jehan de ), 131, 141. Neutralité. N'est ni belle ni honnête dans les guerres ci- NICETAS, ou plutot HICÉTAS, Syracusain. A été un des premiers à soutenir le mouvement de la terre, 292. NICIAS. Comment perd l'avantage qu'il avait nettement NINACHETUEN, seigneur indien. Se jette dans le feu pour ne pas survivre à son déshonneur, 178. NIOBÉ. Pourquoi les poëtes ont feint qu'elle fut convertie Nobles. Distribués en un festin en différentes tables, sui- vant la ressemblance de leurs noms, 140. A quel rang sont élevés dans le royaume de Calecut, 440. Noblesse. Noms fiers et magnifiques de l'ancienne noblesse, 140. Ce qui la constitue essentiellement en France, 191. Noblesse n'est point jointe nécessairement avec la vertu, Noms. Pris en mauvaise part, 140. Noms plus ordinaires dans les généalogies de quelques princes, ibid. Il est bon d'avoir un nom facile à prononcer, ibid. Prendre le nom de ses terres confusion que produit cet usage, ibid. Changements de nom contribuent à falsifier les familles NOUE (de la). Son éloge, 342. Nouveautés. Introduites dans les lois, sont toujours fu- Nu. La coutume d'aller nu n'a rien de contraire à la na- NUMA, roi de Rome, 260. NUMIDES. Pourquoi, montés à cheval dans le combat, ils 0. Obéissance pure. Première loi que Dieu a imposée aux OCTAVIUS (Sagitta). A quelle action barbare il fut en- Oisiveté. Ses dangereux effets, 13. OLIVIER (le chancelier ). Mot qu'on lui attribue, 333. Opiniâtreté. Doit être d'abord réprimée dans les enfants, 15. De celle des femmes, 373. Est sœur de la constance, au moins en vigueur et fermeté, ibid. Opiniâtreté et af- firmation sont signes exprès de bêtise, 563. Opinions. Épousées aux dépens de la vie, 121 et suiv. Oracles. Quand ils ont commencé à perdre leur crédit, 17. ORANGE (Guillaume de Nassau, prince d'), 365. Orateur. Il est attendri par un rôle feint qu'il joue lui- Ordres de chevalerie. Institution louable et d'un grand usage, 189. L'ordre de Saint-Michel, d'abord très-es- timé, comment est venu à tomber dans le mépris, 190 et suiv. Il est difficile de mettre en crédit un nouvel ordre Orgueil. Ses funestes effets, 251. ORIGÈNE. Pourquoi il s'abandonna à l'idolâtrie, 438. OTHON. S'endormit un peu avant que de se tuer, 138. Ce PALUEL (LE), danseur, 65. PALUS MÉOTIDES. Combien les gelées y sont apres, 107. PARACELSE, médecin alchimiste, 293, 399. PARIS. Ce que pense Montaigne de cette ville, 159, 507. Parlementer. Voyez Place assiégée. Parleurs. De deux espèces, les uns propres à être prê- PARMENIDES. Ce qu'il prenait pour Dieu, 261. Son opi- nion sur la nature de notre âme, 277. Parole. La plus parfaite est susceptible de divers sens, PARTHES. Presque toujours à cheval, 146. Description de PASICLES. Impudence de ce philosophe cynique, 151. que médiocres, 4. On s'en prend à des choses inanimées Patenôtre. Prière que les chrétiens devraient constamment PAULINA, femme de Saturninus. Matrone de grande répu- PAULINUS, évêque de Nole. Ce qu'il dit après le sac de PAUSANIAS le Macédonien. Cité comme exemple des in- convénients d'une profonde ivresse, 170. PAXEA, femme romaine. Pourquoi se donne la mort, 178. Pays. Petit pays où régnaient la paix et la santé, parce qu'il n'y avait ni gens de loi ni médecins : comment il fut enfin exposé aux procès et à une légion de maladies, Paysans et philosophes. Honnêtes gens, 158. nos pédants, ibid. Caractère d'un parfait pédant, 58. PÉGU (royaume du). Tous les habitants y vont les pieds Peine. Naît avec le péché, 183. Peines dans une autre vie; PÉLAGIE (Sainte). Mort de cette vierge, 178. PÉLETIER, médecin et mathématicien, 37, 293. la liberté de les reprendre, s'ils abusaient de cette bonté, 194 et suiv. Un père doit se familiariser avec ses en- fants qui le méritent: exemple remarquable sur ce su- qui passent des pères, aïeuls ou bisaïeuls, aux enfants, PÉRIANDER, médecin grec. Reproche que lui faisait Ar- PÉRIANDER, tyran de Corinthe. Jusqu'où il porta l'amour qu'il avait pour sa femme, 458. PÉROU. Le dernier roi du Pérou, comment traité par les PERROZET, habile cartier, 557. PERSE. Jusqu'à quel temps les rois de Perse retenaient PERSES. Enseignaient la vertu à leurs enfants, au lieu des PERSEUS, auditeur de Zénon. A quoi il dit qu'on a atta- PERSEUS, roi de Macédoine. Prisonnier à Rome, mourut Peste. Description d'une peste qui survint dans le pays où PETRARQUE, plusieurs fois cité, 4, 110. PÉTRONIUS (Granius), questeur dans l'armée de César. Sa PÉTRONIUS, favori de Néron. Avec quelle mollesse il mou- Pels. Qu'un homme avait à commandement; histoire sur Peuples. Qui n'attaquent jamais leurs ennemis, qu'ils ne leur aient déclaré la guerre, 10. Chaque peuple content du gouvernement auquel il est accoutumé, 46. Peuples chez qui les enfants mangent leurs pères trépassés; au- tres qui les brûlent, ibid. Qu'il faut au peuple une reli- gion palpable, 260. Qu'il est besoin qu'il ignore bean- coup de choses vraies, et qu'il en croie beaucoup de fausses, 272. Peuples chez qui le fils mangeait son père; et pourquoi, 298. Si le peuple a raison d'être choqué des dépenses extravagantes des princes, 469. Comment les politiques l'amusent dans le temps qu'ils le maltrai- tent le plus, 492. Avec quelle indiscrétion les peuples se Pcur. Étranges effets de cette passion, 24. Effets opposés qu'elle produit, 25. Pousse quelquefois à des actions va- leureuses, 26. Suspend toute autre passion, ibid. Même effet produit par la peur et par une extrême ardeur de PHARAX. Empêche d'autorité un roi de Lacédémone de poursuivre un corps de troupes qui venaient d'échapper PHILIPPE. Sa lettre à Alexandre, où il le reprend de ce qu'il tâchait de gagner les Macédoniens par des présents, 471. Comment Philippe satisfit à l'équité et aux formes judiciaires, après avoir prononcé un jugement dont il PHILISTUS, chef de l'armée de mer du jeune Denys. Com- ment se trouva réduit dans un combat à se donner lui- PHILOPOEMEN. De quoi loué par Plutarque, 50. Sa con- Philosophes. S'il convient à un philosophe d'écrire l'his- des hommes dans une autre vie, 262 et suiv. S'ils ont 297. Comment les faibles, au dire de Socrate, corrom• pent la dignité de la philosophie, 485. PHILOXENUS. Comment il témoigna son dépit contre celui qui lisait mal ses ouvrages, 305. PHRYNÉ, fameuse courtisane. Comment elle gagna ses ju- Physionomie avantageuse. N'est pas fondée directement sur les beaux traits du visage, 554. Si l'on peut faire quelque fond sur la physionomie, ibid. PHYTON, gouverneur de Rhége. Avec quelle constance il souffre les traitements barbares de Denys le Tyran, 2. PIBRAC. Son éloge, 498. Pie. Comment elle vint à imiter le son de la trompette, Pieds. Façonnés au service que rendent les mains, 43. Pigeons. Dressés à porter des lettres, 351. PISON, général romain. A quel excès d'injustice il fut en- Pitié. Comment dissipe l'inimitié, 2. En quoi parait vi- PITTACUS. Quel était le plus grand mal qu'il eût à souf- Place assiégée. Si le gouverneur doit en sortir pour par- lementer, 10 et suiv. Places surprises dans le temps qu'on parlementait, 11 et suiv. Défense trop opiniâtre d'une place, pourquoi punie, 21 et suiv. Gouverneurs Place consulaire. A table était plus accessible, et pour- Plaisir. C'est le but et le fruit de la vertu des hommes, PLATON. Beau précepte qu'il allègue souvent dans ses écrits, sance, 258. Pourquoi il a choisi de philosopher par dia- | logues, ibid. Opinion peu déterminée qu'il avait sur la nature de Dieu, 261. Sur les plaisirs qu'il promet à l'homme en l'autre vie, 262 et suiv. Conte qu'on a fait sur sa naissance, 270. Si Platon a dit que la nature est une poésie énigmatique, 273. Comment Timon l'appe- lait par injure, ibid. et 304. Ce qu'il disait de la nature de notre âme, 276. Définition ridicule de l'homme, faite par Platon, 278 et suiv. Pourquoi ce philosophe refusa une robe parfumée, 299. Sa retenue dans un accès de colère, 369. Par qui surnommé l'Homère des philoso- phes, 388. Beau mot de lui au sujet de ceux qui en mé- disaient, 447. Sa loi pour décider de l'opportunité de tout mariage, 460. Quelles qualités il exige d'un homme qui prétend examiner l'âme d'un autre homme, 564. Ce qu'il exige de celui qui veut entreprendre de guérir les PLAUTE. Mauvais goût de ceux qui l'égalent à Térence, 205. PLINE le Jeune. Dans quelle vue il conseillait la solitude, 115. Le peu de solidité de ce conseil, ibid. et 116. A quelle fin a publié des lettres qu'il avait écrites à ses Plutarque. Éloge qu'en fait Montaigne, 67 et suiv. Ce qu'il juge de Brutus et de Torquatus qui condamnèrent leurs enfants à la mort, 173. Plutarque et Sénèque com- parés ensemble, 206. Plutarque croit qu'après la mort les gens vertueux deviennent enfin de vrais dieux, 284. Sa douceur, son équité, 368 et suiv. Il est justifié par Montaigne du reproche que lui fait Jean Bodin d'avoir écrit des choses incroyables, 371 et suiv. Si Plutarque a manqué d'équité dans le choix qu'il a fait des Romains pour les mettre en parallèle avec les Grecs, 374. Il est Poésie. Celle qui est excellente est au-dessus des règles, 109. Poésies d'un goût bizarre, 157. Poésie populaire, Poëte. Ses saillies dépendent beaucoup de la fortune, 52. Poisson. On le faisait voir nageant dans les salles basses POITIERS. Fondation de Notre-Dame la Grande dans cette POL (Pierre), docteur en théologie. Comment se prome- POLEMON, philosophe. Pourquoi appelé en justice par sa Police humaine. Pleine d'imperfections, a besoin du vice Politiques. Comment ils amusent le peuple dans le temps qu'ils le maltraitent le plus, 492. Polonais. Se blessent pour autoriser leur parole, 126. Poltronnerie. Si elle doit être punie de mort, 22. Com- POMPÉE. Pardonne à toute une ville, en considération de la générosité d'un citoyen, 2. Etait bon homme de che- ordonné à ses troupes d'attendre l'ennemi, au lieu d'aller fondre sur lui, 144. Déclarait ses ennemis tous ceux qui ne l'accompagnaient pas à la guerre, 377. POMPÉE, danseur du temps de Montaigne, 65. POMPEIA PAULINA, femme de Sénèque. Résolue de mou- rir avec son mari, se fait ouvrir les veines des bras, 386. Néron empêcha l'exécution de ce dessein, ibid. Portugais. Chassés par des mouches à miel de devant une ville qu'ils assiégeaient, 239. POSIDONIUS, philosophe stoicien. De quelle manière il Poste. Chevaux de poste, établis par Cyrus, 351. La même chose pratiquée par les Romains, ibid. Comment on courait la poste au Pérou, ibid. POSTUMIUS, dictateur. Pourquoi fit mourir son fils, 92. Pouces. Coutume de contracter alliance en se blessant, et ibid. Comment nommés en langue grecque, ibid. Pou- ces baissés, marque de faveur, et haussés, marque du contraire, ibid. Comment étaient punis autrefois chez les Romains ceux qui se coupaient les pouces, 356. Pou- PRAXITÈLES. Effet que produisit sa statue de Vénus sur un Prédicateurs. Comparés aux avocats, 16. Sont persuadés Prédictions. Qui se tiraient du vol des oiseaux; de quel Présomption. Maladie naturelle à l'homme, 226. Son uni- Principes. Diversité d'opinions sur le sujet des principes naturels, 274. En recevant des principes sans examen, on s'expose à toute sorte d'égarements, 275. Procès. Il n'en est point de si clair, auquel les avis ne se Profit. Divers exemples qui montrent que le profit de l'un Promesse. Le seul cas où un particulier est autorisé à man- cominent ils sont traités si leurs prophéties se trouvent PROTAGORAS. N'avait aucune opinion sur l'existence, la PROTOGÈNES. Comment il acheva par hasard une peinture PSAMMÉNITUS, roi d'Égypte. Pris par Cambyses; comment Punitions. A quelles fins elles doivent être infligées, 479. PYRRHON. Comment dépeint, 255 et suiv. Essaya vainement PYRRHUS. Ce qu'il dit des Romains en voyant leur armée en ordre de bataille, 136. Sa vaine ambition, 95. Il PYTHAGORE. Ce qu'il répondit à un prince qui lui demanda Q. Qualités. Celles qui ne conviennent point au rang qu'un QUARTILLA. N'avait point mémoire de son fillage, 569. QUINTILIEN. Pourquoi n'approuve point qu'aux écoles on QUITO. Chemin magnifique de Quito à Cusco, 476. R. RADELAIS. Mis par Montaigne au rang des livres simple- RAISCIAC, seigneur allemand. Sa mort subite causée par Raison humaine. Si elle peut juger de ce qui la regarde RAZIAS, surnommé le père aux Juifs. Sa mort généreuse, Religion. N'a point de fondement humain plus assuré que semblable des opinions humaines touchant la religion, RENÉ (le roi ). Son portrait présenté à François II, 337. Repentance des hommes. Pleine de corruption pour l'ordi- Repos et gloire. Choses incompatibles, 116. Ressemblance. Passe des pères, des aïeuls et des bisaïeuls, Retraite. Quels tempéraments y sont les plus propres, REU (le comte du), 25. Révélation. C'est d'elle que nous vient l'assurance de Rhétorique. Art trompeur, pire que le fard des femmes, Richesses. Moyens d'éviter les embarras qui les accompa ROBERT, roi de France, 104. ROCHEFOUCAULT (le comte de la), 74. Rois. Nous leur devons l'obéissance; mais l'estime et l'af ROMAINS. Pourquoi ôtaient aux peuples nouvellement con- |