Histoire de l'Académie royale des inscriptions et belles lettres,: depuis son establissement jusqu'à present. Avec les Mémoires de littérature tirez des registres de cette Académie, depuis son renouvellement jusqu'en M. DCCX.[-M.DCCXCIII.].De l'Imprimerie royale., 1740 - Learned institutions and societies |
Contents
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Common terms and phrases
affez affûre ainfi ajoûte Athénée auffi auroit Auteurs avoient avoit avoit efté c'eft c'eſt c'eſt-à-dire Caffiére Carinus Carus caufe Céfar celuy Charles chofes choſe Cicéron compofé Confeil confervé confidérable d'eftre déja Denys devoit difcours edit efprit eftant efté eftoient eftoit eftre enharmonique eſt eſté eſtre faifoient faifoit fans fecond felon femble fentiment feroit fervir feul fiécle fimple flûte foit Foix font fous fouvent Froiffart fuite fuivant fujet Grand-Maître Grecs Hiftoire Hiftoriens Ibidem j'ay Jean le Maire jufqu'à jufte l'Hiftoire Labienus luy-même maniére manufcrits Mecénas Muficien Mufique n'avoit n'eft n'eftoit n'eſt néceffaire Numérien ouvrages paffage paffer parle paroît Paul de Foix perfonne peut-eftre Philifte Philofophe Platon plufieurs Plutarque plûtôt Poëfie Poëte pouvoit préfent prémier premiére Prince Probus quoy quoyque raifon Raoul de Prefles refte rhythme Rome s'eft ſes ſon Suidas tétracorde Timagénes toûjours troifiéme vray καὶ τὸ
Popular passages
Page 114 - J'aime mieux un ruisseau qui, sur la molle arène, Dans un pré plein de fleurs lentement se promène, Qu'un torrent débordé qui, d'un cours orageux, Roule, plein de gravier, sur un terrain fangeux.
Page 369 - Il sait votre dessein; jugez de ses alarmes. Ma mère est devant vous ; et vous voyez ses larmes. Pardonnez aux efforts que je viens de tenter Pour prévenir les pleurs que je leur vais coûter.
Page 112 - L'Eternel est son nom. Le monde est son ouvrage, Il entend les soupirs de l'Humble qu'on outrage, Juge tous les mortels avec d'égales loix, Et du haut de son trône interroge les Rois. Des plus fermes Etats la chute épouvantable, Quand il veut, n'est qu'un jeu de sa main redoutable. Les Juifs à d'autres Dieux oserent s'adresser.
Page 74 - N'est qu'un plus grand voleur que du Terte et Saint-Ange '. Du premier des Césars on vante les exploits ; Mais dans quel tribunal , jugé suivant les lois , Eût-il pu disculper son injuste manie ? Qu'on livre son pareil en France à la Reynie >, Dans trois jours nous verrons le phénix des guerriers Laisser sur l'échafaud sa tête et ses lauriers. C'est d'un roi 3 que l'on tient cette maxime auguste , Que jamais on n'est grand qu'autant que l'on est juste.
Page 246 - On dit en effet,quevoyant des jeunes-gens que les vapeurs du vin , & .un air de flûte joué fur le ton Phrygien , avoient rendus extravagans...
Page 490 - ... inventé l'usage des étriers attachés aux selles , qui , affermies par ce bois , étaient en état de les soutenir. L'invention de ces étriers est certainement postérieure au siècle de Théodosc ; car on n'en voit jamais dans les représentations des cavaliers des anciens temps. La preuve en est que ni les Grecs ni les Latins n'ont jamais eu de nom pour exprimer un étrier.
Page 602 - Je ne vois pas la raifon qui avoit fait prendre à l'Auteur le furnom de l'Amant verd , à moins qu'on ne s'en tienne à ce qu'il dit dans la pièce , d'un habillement tout verd qu'il...
Page 110 - Fête, De fuperbes Rubis ne charge point fa tête , Et fans mêler à l'or l'éclat des Diamans , Cueille en un champ...
Page 179 - ... point encore question du temps d'Olympe. Quoique Plutarque ne parle ici que de la modulation conduite de l'aigu au grave , il ne faut pas douter qu'Olympe ne la...
Page 371 - De là vient qu'on nous reproche justement de ne savoir estimer les choses que par le rapport qu'elles ont avec nous, dont Corneille a fait une injuste et fâcheuse expérience dans sa Sophonisbe.