Oeuvres de Molière, Volume 1Menard et Desene, 1822 - French drama |
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... jour et de nuit exacte sentinelle . Prends garde . MASCARILLE . Dans ce coin demeurez en repos . O bonheur ! la voilà qui sort tout à propos . SCÈNE III . CÉLIE , LÉLIE , MASCARILLE . LÉLIE . Ah ! que le Ciel m'oblige en offrant à ma ...
... jour et de nuit exacte sentinelle . Prends garde . MASCARILLE . Dans ce coin demeurez en repos . O bonheur ! la voilà qui sort tout à propos . SCÈNE III . CÉLIE , LÉLIE , MASCARILLE . LÉLIE . Ah ! que le Ciel m'oblige en offrant à ma ...
Page 12
... jour ? MASCARILLE . Sous un astre à jamais ne changer son amour . CÉLIE . Sans me nommer l'objet pour qui son cœur soupire , La science que j'ai m'en peut assez instruire . Cette fille a du cœur , et dans l'adversité Elle sait conserver ...
... jour ? MASCARILLE . Sous un astre à jamais ne changer son amour . CÉLIE . Sans me nommer l'objet pour qui son cœur soupire , La science que j'ai m'en peut assez instruire . Cette fille a du cœur , et dans l'adversité Elle sait conserver ...
Page 37
... jours en ressent de diverses ; Et jamais ici bas .... SCÈNE V. PANDOLFE , ANSELME . ANSELME . Ah bons dieux ! je frémi ! Pandolfe qui revient ! Fût - il bien endormi ! Comine depuis sa mort sa face est amaigrie ! Las ! ne m'approchez ...
... jours en ressent de diverses ; Et jamais ici bas .... SCÈNE V. PANDOLFE , ANSELME . ANSELME . Ah bons dieux ! je frémi ! Pandolfe qui revient ! Fût - il bien endormi ! Comine depuis sa mort sa face est amaigrie ! Las ! ne m'approchez ...
Page 47
... quitte ce transport . Tu m'as plu de tout temps , et je souhaitais fort Qu'un garçon comme toi , plein d'esprit et fidèle , A mon service un jour pût attacher son zèle . Enfin , si le parti te semble bon pour toi ACTE II , SCÈNE IX . 47.
... quitte ce transport . Tu m'as plu de tout temps , et je souhaitais fort Qu'un garçon comme toi , plein d'esprit et fidèle , A mon service un jour pût attacher son zèle . Enfin , si le parti te semble bon pour toi ACTE II , SCÈNE IX . 47.
Page 51
... Que par votre bonheur , que je veux rendre extrême , « Vous bénirez le jour où vous causez le mien . » cc De Madrid . Don PEDRO DE GUSMAN , marquis de MONTALCANE ( I continue . ) Quoiqu'à leur nation bien peu ACTE II , SCÈNE XIII . 51.
... Que par votre bonheur , que je veux rendre extrême , « Vous bénirez le jour où vous causez le mien . » cc De Madrid . Don PEDRO DE GUSMAN , marquis de MONTALCANE ( I continue . ) Quoiqu'à leur nation bien peu ACTE II , SCÈNE XIII . 51.
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Common terms and phrases
ACASTE affaire aime ALCESTE Allez Allons ALMANZOR amans amant âme amour ANDRÈS ANSELME ardeur ARSINOÉ assez avecque avez BASQUE beau belle CATHOS CÉLIMÈNE chagrin chose Ciel CLITANDRE cœur coup courroux crois CROISY croyez dessein diable Dieu dire dis-je discours donner doux DUBOIS ÉLIANTE enfin ERGASTE esprit Est-ce êtes FEMME DE SGANARELLE fille fourbe gens GORGIBUS GRANGE GROS-RENÉ HIPPOLYTE homme hymen j'ai j'aurais j'en jamais JODELET l'amour l'honneur l'hymen là-dessus Laissez-moi LÉANDRE LÉLIE m'en vais Madame MADELON main MAROTTE MASCARILLE méchans mérite Messieurs Molière monde Monsieur Morbleu ORONTE PANDOLFE par-là Parbleu parler pense père PHILINTE portrait pourra PRÉCIEUSES RIDICULES prendre prompt qu'à Qu'est-ce qu'un raison rien rival s'il vous plaît sais saurait SCÈNE IV SCÈNE PREMIÈRE SCÈNE VII secret sentimens serait seul soins songer sort souffrir tout-à-fait traître trouve TRUFALDIN valet veut veux vicomte viens VIOLONS vœux voilà vois voit voleur voudrais vrai yeux zèle
Popular passages
Page 253 - La pâle est aux jasmins en blancheur comparable; La noire à faire peur, une brune adorable; La maigre a de la taille et de la liberté; La grasse est dans son port pleine de majesté; La malpropre sur soi, de peu d'attraits chargée...
Page 257 - Hors qu'un commandement exprès du roi me vienne De trouver bons les vers dont on se met en peine, Je soutiendrai toujours, morbleu ! qu'ils sont mauvais, Et qu'un homme est pendable après les avoir faits.
Page 220 - Non! tout de bon, quittez toutes ces incartades; Le monde par vos soins ne se changera pas ; Et, puisque la franchise a pour vous tant d'appas, Je vous dirai tout franc que cette maladie, Partout où vous allez, donne la comédie, Et qu'un si grand courroux contre les mœurs du temps Vous tourne en ridicule auprès de bien des gens.
Page 253 - L'amour pour l'ordinaire est peu fait à ces lois, Et l'on voit les amants vanter toujours leur choix: Jamais leur passion n'y voit rien de blâmable, Et dans l'objet aimé tout leur devient aimable; Ils comptent les défauts pour des perfections, Et savent y donner de favorables noms. La...
Page 223 - Oui, je vois ces défauts dont votre âme murmure, Comme vices unis à l'humaine nature; Et mon esprit, enfin, n'est pas plus offensé, De voir un homme fourbe, injuste, intéressé, Que de voir des vautours affamés de carnage, Des singes malfaisants, et des loups pleins de rage.
Page 232 - Monsieur, cette matière est toujours délicate, Et sur le bel esprit nous aimons qu'on nous flatte. Mais un jour, à quelqu'un dont je tairai le nom, Je disais, en voyant des vers de sa façon, Qu'il faut qu'un galant homme ait toujours grand empire Sur les démangeaisons qui nous prennent d'écrire...
Page 283 - Oui, oui, redoutez tout après un tel outrage ; Je ne suis plus à moi, je suis tout à la rage : Percé du coup mortel dont vous m'assassinez, Mes sens par la raison ne sont plus gouvernés, Je cède aux mouvements d'une juste colère, Et je ne réponds pas de ce que je puis faire.
Page 233 - Quel besoin si pressant avez-vous de rimer? Et qui diantre vous pousse à vous faire imprimer? Si l'on peut pardonner l'essor d'un mauvais livre, Ce n'est qu'aux malheureux qui composent pour vivre. Croyez-moi, résistez à vos tentations, Dérobez au public ces occupations, Et n'allez point quitter, de quoi que l'on vous somme, Le nom que dans la cour vous avez d'honnête homme, Pour prendre de la main d'un avide imprimeur Celui de ridicule et misérable auteur.
Page 219 - Je ne me moque point, Et je vais n'épargner personne sur ce point. Mes yeux sont trop blessés, et la cour et la ville Ne m'offrent rien qu'objets à m'échauffer la bile : J'entre en une humeur noire, en un chagrin profond, Quand je vois vivre entre eux les hommes comme ils font; Je ne trouve partout que lâche flatterie, Qu'injustice, intérêt, trahison, fourberie; Je n'y puis plus tenir, j'enrage, et mon dessein Est de rompre en visière à tout le genre humain.
Page 216 - Morbleu ! c'est une chose indigne, lâche, infâme, De s'abaisser ainsi jusqu'à trahir son âme; Et si, par un malheur, j'en avais fait autant, Je m'irais, de regret, pendre tout à l'instant. Philinte. Je ne vois pas, pour moi, que le cas...