Celui de qui la tête au ciel était voisine, La Mort et le Bûcheron. Un pauvré Bûcheron, tout couvert de ramée, Lui font d'un malheureux la peinture achevée. 3 C'est, dit-il, enfin de m'aider A recharger ce bois; tu ne tarderas guère. Mais ne bougeons d'où nous sommes: C'est la devise des hommes. 2. Poésies diverses. La Disgrâce de Fouquet. Remplissez l'air de cris en vos grottes profondes; Dont les regards de Flore ont embelli ses bords. Vous pouvez donner cours à vos douleurs pressantes; Pour lui les plus beaux jours sont de secondes nuits; 1 Celui de qui, er håtte beffer dont anvenden können, da aber im andern Verse dont vorkommt, hat er de qui des Wohlklanges wegen gebraucht. Es ist aber nicht als Fehler zu betrachten, denn man sagt: l'homme de qui je parle und dont je parle. 2 N'en pouvant plus, Gallizismus. 3 Enfin ist falsch, afin korrekt, enfin bedeutet endlich, afin um. Afin de steht immer vor Infinitiven; ehemals machte man diesen Unterschied zwischen beiden Wörtern nicht, Les soucis dévorants, les regrets, les ennuis, En des gouffres de maux le plongent à toute heure: Les attraits enchanteurs de la prospérité. Dans les palais des rois cette plainte est commune; Le plus sage s'endort sur la foi des zéphirs; Il ne regarde pas ce qu'il laisse en arrière; Et tout ce vain amour des grandeurs et du bruit Du titre de Elément il est ambitieux: C'est par là que les rois sont semblables aux Dieux La plus belle victoire est de vaincre son coeur. 4 Penser statt pensée war ehemals sehr gebräuchlich, obgleich man schon, im H. von Orleans, pensée findet: Sur le lit dur d'ennuieuse pensée (Poés. 1441. Ms. Bibl. Roy.). 1 Le Paysan du Danube au Sénat romain. Faute d'y recourir, on viole leurs lois. Témoins nous, que punit la romaine avarice1; Craignez, Romains, craignez que le Ciel quelque jour Et pourquoi sommes-nous les vôtres? Qu'on me die 2 Nous cultivons en paix d'heureux champs, et nos mains Qu'avez-vous appris aux Germains? Ils ont l'adresse et le courage: S'ils avaient eu l'avidité, Comme vous, et la violence, Peut-être en votre place ils auraient la puissance, La majesté de vos autels. Car sachez que les Immortels Ont les regards sur nous. Grâces à vos exemples, Ils n'ont devant les yeux que des objets d'horreur, De mépris d'eux et de leurs temples, D'avarice qui va jusques à la fureur. Rien ne suffit aux gents qui nous viènent de Rome: Font, pour les assouvir, des efforts superflus. Cultiver pour eux les campagnes. Nous quittons les cités, nous fuyons aux montagnes; La romaine avarice. Inversion des Adject. In Prosa müßte man es nach dem Substantiv stellen. 2 Qu'on me die alte Form des Verbs dire, statt dise. Nous ne conversons plus qu'avec des ours affreux, Nous souhaitons de voir leurs jours bientôt bornés: Que la mollesse et que le vice: Les Germains comme eux deviendront C'est tout ce que j'ai vu dans Rome à mon abord. Point de pourpre à donner? c'est en vain qu'on espère Doit commencer à vous déplaire: Je finis; punissez de mort Une plainte un peu trop sincère. (La Fontaine hat auch Contes geschrieben, aus denen wir aber, ihrer Schlüpfrigkeit wegen, keine Bruchstücke anführen wollen.)' XII. MOLIÈRE (Jean, Baptiste, Poquelin). Molière wurde den 15. Januar 1622 in Paris geboren und starb daselbst den 17. Februar 1673. Schauspieler und zugleich Dichter, ist er als der größte Komiker aller Seiten und aller Lånder zu betrachten. Wir wollen hier einige seiner Werke durchgehen, da wir nur ein Bruchstück aus dem Tartuffe, das als sein Meisterwerk gelten kann, anführen werden. Sein erster Versuch war l'Etourdi (1653), dem bald darauf le Dépit amoureux folgte. Sechs Jahre spåter erschienen die Précieuses ridicules, worüber Menage sagte: Il nous faut brûler tout ce que nous avons adoré, et adorer ce que nous avons brûlé, weil er schon lange, wie Molière, dem sich neu gestalteten und gesäuberten Idiome, den schwülstigen und bombastischen Styl des Ronsards und seiner Gesellen geopfert hatte. Nach der ein wenig zu freien Posse le Cocu imaginaire, und dem_für den Hof abgefaßten Don Garcie de Navarre, erhebt sich Molière in seiner Ecole des Maris (1661.)5 er zeigt sich in diesem Stücke als den Dichter der Natur und sich auf Wahrheit und Vernunft ftügend, übertrifft er durch die Lebendigkeit und Heiterkeit seines Style Plautus und Tcrenz. In den Fâcheux, einer meisterhaften Skizze des gesellschaftlichen Lebens, gibt er das erste Muster der späterhin unter dem Namen comédies à tiroir bekannten, aus einzelnen abgebrochenen Szenen bestehenden, Lustspiele. Aber hier erhebt sich der Neid und die Kritik; ungestraft darf Molière keinen Geist besigen: sein im Jahr 1662 aufgeführtes prächtiges Lustspiel l'Ecole des Femmes ward mit Wuth und neidischem Geifer angegriffen, worauf (1663) la Critique de l'Ecole des Femmes, jenes unsterbliche Denkmal, das Vernunft, Philosophie und Geschmack errichteten, folgte. Nach dem Impromptu de Versailles (1663) eine zu heftige Replik auf eine boshafte und persönliche Satyre; nach dem Mariage forcé (1664), worin nur eine Szene, aber eine meisterhafte_komische Darstellung sich befindet; nach der Princesse d'Elide (1664,) zur Befriedigung einer Laune Ludwigs XIV. geschrieben, nach dem Festin de Pierre (1665) und dem Amour médecin (1665), das mit einer geistreichen Szene beginnt aber schlecht endigt, erscheint endlich le Misanthrope (1666), Es hat viele Zeit erfordert, um dieses Stück als ein vollendetes Werk moralisirender Betrachtung und höheren Lustspiels anzuerkennen. Molière beeilte sich, den Médecin malgré lui als eine Entschuldigung, das Gebiet der Bühne erweitert und aus dem Theater eine moralische Schule gemacht zu haben, darauf folgen zu lassen. In diesem leztern Stücke wollte er nur lachen,` blieb aber wie gewöhnlich tiefer Denker und großer Satyriker. Er geißelt die Sitten seiner Zeitgenossen und deckt die Blößen der Aerzte schonungslos auf. Nach dem Arzte und le Sicilien ou l'Amour peintre erschien (1767) le Tartuffe. Obgleich beinahe zwei Hundert Jahre verfloffen sind, seitdem dieses Stück erschienen, so scheint es immer eine neue Kraft mit jedem Tage zu gewinnen; es liegt darin die tiefste Menschenkenntniß, die Karakterschilderungen sind mit treuer Wahrheit und großer Umsicht_aufgefaßt, Vorfälle aus der Wirklichkeit anschaulich dargestellt; die Sprache ist unübertrefflich, obgleich einige jest veraltete Wendungen darin zum Vorschein kommen, und der Versbau reich, gefällig und wohllautend. Nach der Julirevoluzion wurde dieses Stück, mehr als zwanzigmal im Theatre Français unter donnerndem Beifall aufgeführt. Ein Jahr später (1668) erschienen Amphytrion, l'Avare, Georges Dandin, und (1669) Pourceaugnac und les Amants magnifiques. Bald darauf entwirft er seinen Bourgeois-Gentilhomme (1670), diese prachtvolle Schilderung ewiger Verdorbenheit des Menschen, les Fourberies de Scapin (1671), eine Poffe von Tabarin ausgedacht aber mit Terenz Pinsel ausgeschmückt, und la Comtesse d'Escarbagnas. 1672 liefert les Femmes savantes, die wie derMisanthrope kalt empfangen wurden und dasselbe Schicksal erlebten. Endlich vollendet le Malade imaginaire, ein gelehrt possenhaftiges Tableau des menschlichen Lebens, die dichterische Laufbahn dieses großen Mannes. Den Mittwoch, 17. Februar 1673, nachdem das Stück zum vierten Male aufgeführt worden war, schloß Molière um zehn Uhr Abends die Augen. Er hatte an diesem Tage sehr an der Brust gelitten und man wollte ihn bereden, nicht zu spielen. »Comment voulezvous que je fasse, entgegnete er, il y a cinquante pauvres ouvriers qui n'ont que leur journée pour vivre; que feront-ils, si l'on ne joue pas? Je me reprocherais d'avoir négligé de leur donner du pain un seul jour, le pouvant faire absolument.« Er trat auf und am Ende des Stücks, als er das Wort jour aussprach, überfiel ihn ein krampfhaftes Zucken. Man brachte ihn nach Hause, wo er in den Urmen zweier barmherzigen Schwestern, die in den Fasten nach Paris gekommen waren und die er beherbergte, seinen Geist aufgab. So starb Molière! Die Geistlichkeit wollte ihn nicht beerdigen, weil er auf der Bühne ge= storben war. In neuerer Zeit ist es mit Talma derseibe Fall gewesen. Molière par Sainte-Beuve. Molière est du siècle où il a vécu, par la peinture de certains travers particuliers et dans l'emploi des costumes, mais il est plutôt encore de touts les temps, il est l'homme de la nature humaine. Rien ne vaut mieux, pour se donner dès l'abord la mesure de son génie, que de voir avec quelle facilité il se rattache à son siècle, et comment il s'en détache aussi, combien il s'y adapte exactement, et combien il en ressort avec grandeur. Les hommes illustres, ses contemporains, Despréaux, Racine, Bossuet, Pascal, sont bien plus spécialement les hommes de leur temps, du siècle de Louis XIV, que Molière. Leur génie (je parle même des plus vastes) est marqué à un coin particulier qui tient du moment où ils sont venus, et qui eût été probablement bien autre en d'autres temps. Que serait Bossuet aujourd'hui? Qu'écrirait Pascal? Racine et Despréaux accompagnent à merveille le règne de Louis XIV dans toute sa partie jeune, brillante, galante, victorieuse ou sensée, Bossuet domine ce règne à l'apogée, avant la bigoterie extrême, et dans la période déjà hautement religieuse. Molière, qu'aurait opprimé, je le crois, cette autorité religieuse de plus en plus dominante, et qui mourut à propos pour y échapper, Molière, qui appartient comme Boileau et Racine (bien que plus âgé qu'eux) à la première époque, en est pourtant beaucoup plus indépendant, en même temps qu'il l'a peinte, au naturel plus que personne. Il ajoute à l'éclat de cette forme majestueuse du grand siècle; il n'en est ni marqué, ui particularisé, ni rétréci; il s'y proportionne, il ne s'y enferme pas. |