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de Java sont robustes, bien faits, nerveux. (Siehe die Grammaire Nationale hierüber. Pag. 43 3. 37, Courtiser bedeutet umschmeicheln, den Hof machen, gehört aber jezt mehr der Umgangssprache an und bedeutet einem Frauenzimmer die Cour machen. Pag. 44, 3. 28. De combien ont rougi les champs de Macédoine ist eine Ellipse, die uns aber nicht korrekt scheint. Man sagt: rougir la terre de sang und la terre se rougit de sang, aber nicht la terre a rougi de sang sondern la terre s'est rougie de sang oder la terre a été rougie de sang. Um also korrekt zu sein, mußte Corneille fagen: De combien de sang, les champs de Macédoine se sont-ils rougis; oder, da der Reim diese Konstrukzion nicht zuläßt, dem Verse eine andere Wendung geben; vielleicht: De combien s'est rougie la vieille Macédoine oder ce sang a inondé les champs de Macédoine, Es ist schwer diesen Vers durch einen passenden zu vertreten, weßhalb ‘er als poetische Lizenz betrachtet werden muß.

Pag. 45 3. 15. Im Texte steht un hydre trop fertile. Hydre ist männlich und weiblich; in der Astronomie, Botanik ist es nur weiblich. J'étais en un lieu sûr, lorsque je vis passer les cent têtes d'une hydre au travers d'une haie (La Fontaine). L'hydre est placée sous le Cancer, le Lion et la Vierge (Lalande). In allen übrigen Fällen kann man nach Belieben das weibliche und männliche Geschlecht brauchen. De l'hydre affreux les têtes menaçantes tombent à terre, et toujours renaissantes n'effrayaient point le fils de Jupiter (Voltaire). Ils se trouvent plus horribles et plus monstreux que n'est la chimère vaincue par Bellerophon, ni l'Hydre de Lerne abattue par Hercule (Fénélon). Siehe: Braconnier, Théorie du Genre des Noms. Pag. 45 3. 24. Pour te faire périr. Die Grammatik erfordert à, weil s'intéresser diese Präpofizion regiert: Le seul moyen d'inspirer de l'intérêt aux hommes, c'est de... s'intéresser à eux; Corneille hätte beffer est interessé à anwenden können, zu seiner Zeit aber kannte man den Unterschied zwischen s'intéresser und être intéressé nicht: il s'intéresse à ta personne; est interessé à te perdre.

Pag. 45 3. 28. Ne vaut pas l'acheter. Dieser Infinitiv würde heutzutage durch den Konjunktiv vertreten müssen: ne vaut pas qu'on l'achète. Acheter par ist veraltet, à ist das allein übliche."

Pag. 45, 3. 35. Nous-même; bezieht sich nous auf eine erste Person Singularis, so wird das damit verbundene même nicht flektirt.

Pag. 46 3. 18. En leurs statt dans leurs ist veraltet. En drückt immer etwas Ungewisses, dans etwas Bestimmtes aus. Man vergleiche folgende Beispiele. Etre dans la chambre, dans une ville. Presque touts les peuples policés demeurent dans des maisons. Si je pénètre dans vos sentiments. Des ames que l'avarice jète dans les dangers. Passer sa vie dans les plaisirs. Dans l'espoir d'élever Bérénice à l'empire (bed. avec). - Il entend cela dans le sens de St. Augustin (bed. selon). Marchons et dans son sein rejetons cette guerre. Imprimez de bonne heure dans leurs coeurs les maximes de vertu. - L'effronterie, en France, est un vice à la mode. Etre en garni, en ville; en tournée, en faveur, en été, en hyver. En un mois, en un jour. L'esprit n'est pas du tout ce qu'il faut en ménage. En bonne santé. Etre en uniforme. Formé moitié en or, moitié en argent. C'est en considération de toutes vos belles actions, que l'état vous récompense. Etre en affaire, en course, en chemin. (Vergl. Rémy, Science de la Langue Française: En, Dans. -)

Siehe Zeile 42 en son lit, ebenfalls dans son lit (mon, son, ton wieder oft mit en verbunden, dieses findet bei dem Subst. nom statt. Je lui ai écrit en ton, en son nom.) Pag. 46, 3. 38. Noyée au. Das Verb noyer hat, wenn ein Orts- oder modales Verhältniß darauf folgt, die Präposizion dans und nicht à nach sich: Noyer l'idolatrie dans des torrents de sang (Frédéric-le-Grand). Noyer la gloire dans la bouteille à l'encre (Boiste). Noyer dans la débauche, le sang, la vin, les plaisirs (Rivarol). Man sagt auch noyer les poudres ein Pulvermagazin überschwemmen; se noyer ist reflexiv; une femme qui se noie (La Fontaine). Il est malheureux comme un chien qui se noie (Proverb). Chemals sagte man neyer, ein Ausdruck, der sich noch heutzutage im Munde des Volks wiederfindet, aber zu vermeiden ist.

Pag. 47 3. 2. Crayon, bildlicher Ausdruck, der hier description bedeutet, war ehedem fynonym mit tableau, esquisse, croquis.

Pag. 47 3. 4. Les morts; der Plural scheint uns hier nicht passend zu sein, weil gewöhnlich das weibliche Substantiv mort, der Tod, im Plural nur in der bildlichen Redensart mourir de mille morts: N'a-t-il, réponds, mérité mille morts? (Clotilde de ValonChalys) gebraucht wird; man findet keine andere Beispiele dieser Art. Le mort, der Todte hat beiderlei Zahl.

Pag. 47 3. 38. Prêt de, siehe Seite 53 Note 2.

Pag. 48 3. 5. En la ist fehlerhaft; es muß par la heißen. Obgleich die meisten Grammatiker den Gebrauch der Präposizion en mit dem Artikel verwerfen, so giebt es doch Fälle, wo man sich derselben bedienen kann. Erstens, wenn en die Präposizion à vertritt. Leur félicité fut changée en la triste consolation de faire des compagnons dans leur misère; et leurs bien heureux exercices au misérable emploi de tenter les hommes (Bossuet H. Univ.) Wie hätte er sich anders ausdrücken sollen? La question si_du pain et du vin sont changés en la seconde personne de la Trinité (Voltaire. Ess. sur les Moeurs XLV). Zweitens bei Ellipsen: siehe Seite 60 3. 4. Es ist äußerst schwierig, genaue Regeln darüber aufzustellen, weil das Gefühl viel dabei thut. (Siche Grammaire Nationale p. 186. Observations particulières.)

Pag. 48 3. 48, Note 1, statt en même temps lies: en un seul jour.

Pag. 49 3. 8, User bedeutet auch wie hier faire usage, se servir. Man sagt user de précautions, Vorsichtsmaßregeln gebrauchen, user d'insolence et de rigueur &c. Die alte Sprache pflegte lieber user statt faire usage, se servir zu gebrauchen: A Faiseu va, sans faire autre attendue, luy demander la manière et la sorte qu'il faut user dé

la poudre qu'il porte (La Poudre aux Puces, Charles de Bordigné); user li cors Nostre Seignor J. C. (Serm. de S. Bern); jest sagt man recevoir le corps de notre S. J. C.; communier. User bedeutet auch détériorer, consommer, diminuer, eine Bedeutung, die der alten Sprache ebenfalls eigen war: car tout son vouloir si étoit de s'en aller user sa vie et exposer son corps (Chron. du bon Cheval. Messire Jacques de Lalain, ed. Chastellain Ch. C. p. 385). In der Umgangssprache bedeutet user sich's bequem machen: Chacun en use comme il lui plait.

Pag. 40 3. 14. Tout entière; obgleich wir schon oft von tout geredet haben, wollen wir hier doch mit Einem Male alles darüber Gesagte ergänzen, weil alle in den Grammatiken aufgestellten Regeln unvollständig sind.

Steht fout vor Adjektiven, so ist es als Adverb zu betrachten und demnach unveränderlich. 1) Wenn das Abjektiv männlich ist, mag es mit Vokalen oder Konsonanten anfangen: Ils sont tout étonnés, tout stupefaits (Boniface). Mes yeux à cet état s'étaient accoutumés; à voir, ces murs tout nus ils se sont fait de même (Saurin); Ces jours rapides, mais délicieux, que j'ai passés tout entiers avec moi seul (J. J. Rousseau), A des refrains réglés asservit les rondeaux, et montra pour rimer des chemins tout nouveaux (Boileau). 2) Wenn das Adjektiv in der weiblichen Geschlechtsform steht und mit einem Vokal oder stummen h anfängt: J'y trouvai la petite de Vauvinaux, qu'on portait tout endormie chez l'ambassadeur (Sévigné). Elle s'est couchée tout habillée (Boinvillers). Ce n'est point une ardeur dans mes veines cachée, c'est Venus tout entière à sa proie attachée. (Vergl. Seite 112, Note 1.) Ausnahmen: Fängt das Adjektiv mit einem Konsonanten, oder aspirirten h an, und steht es in der weiblichen Geschlechtsform, so wird tout, obgleich Adverb, flektirt: Toutes dévotes qu'elles se prétendent, elles ne laissent pas de goûter un plaisir fort vif à médire, calomnier et desservir (Démandre). Elles sont toutes hâlées (Boinvillers). (Vergl. Seite 114, 3. 37.)

Vor Adverbien und Präpofizionen ist tout stets unveränderlich: La première partie de ces jours s'était passée tout en expériences; la seconde tout en réflexions (Chateaubriand). Nos tapisseries sont tout en lambeaux. Ils vinrent tout ensemble, tout doucement (Bescher.) La joie de faire du bien est tout autremeut douce et touchante que la joie d'en recevoir (Massillon). J'aperçois ces vastes plaines toujours calmes et tranquilles, mais tout aussi dangereuses (Buffon).

In folgenden Redensarten wird_tout_ebenfalls nicht flektirt: Nous sommes tout yeux, toul oreilles; elle est tout feu, elle est tout à vous. Steht tout vor autre, fo findet bald Kongruenz statt, bald nicht; im ersten Falle kann es im Deutschen durch jeder, jede, jedes, im zweiten durch ganz vertreten werden. Man vergleiche: Votre mère ne vous a point écouté; toute autre se serait rendue à vos promesse (bed. toute personne autre qu'elle). Cette ferme est tout autre qu'elle n'était sous votre père bed. entièrement autre.) Steht tout vor dem Namen einer Stadt, so wird es nicht flektirt. Tout Rome le sait. Tout Florence en fut abreuvé. Tout Smyrne ne parlait que d'elle. In allen ähnlichen Fällen ist Ellipse_vorhanden: Tout Rome bedeutet: Tout le peuple de Rome. Bedeutet tout, vor Substant. stehend, chaque, so kann es nur in der Einheit gebraucht werden: Tout homme, toute femme.

Dieses sind die nothwendigsten Bemerkungen über das Wort tout; die einzige Schwierigkeit ist, zu wissen, wann tout Adjektiv und wann es Adverb ist; als Adjektiv ist es stets der Flexion unterworfen.

Pag. 50 3. 21. Borne, siehe Piron, F. Cortez

-

In der neuen Auflage von Boiste ist borne im Singular als weibliches Substantiv angegeben, und so hat es auch Lamartine in feiner Marseillaise de paix angewandt.

Et pourquoi nous haïr et mettre entre les races
Ces bornes ou ces eaux qu'abhorre l'oeil de Dieu?
De frontières au ciel voyons-nous quelques traces?
Sa voute a-t-elle un mur, une borne, un milieu?

Die Etymologie dieses Worts ist schwer zu bestimmen, wir glauben aber, daß es aus dem deutschen Born, der Brunnen, Quelle, Strom abstammt, ein Wort das sich auch in andern Sprachen wiederfindet: Ags. byrna, schwed. brund, dän. Brönd, goth. brunna, engl. bourn, holl. bron.' Man sagt noch in einigen Gegenden Frankreichs une bornefontaine, bag Brunnenstein, Brunnen in Gestalt eines Ecksteins bedeutet, weßhalb es wohl der Fall sein könnte, daß das Wort borne-fontaine bem Deutschen seinen Ursprung verdankt. Aus dem Lateinischen kann es nicht entstanden sein, auch das Altfranzösische und Provençalische weist kein derartiges Beispiel auf, mindestens sind unsere Forschungen dieserhalb fruchtlos gewesen. Späterhin vielleicht wird sich die Etymologie dieses Worts besser ́ erklären lassen.

Pag. 50 3. 37. Touts propos, tout propos. Es steht in diesen Fällen dem Schriftsteller frei, diese Redensarten im Singulár oder Plural zu gebrauchen.

Pag. 50 3. 45. Débonnaire ist ein veraltetes Adjektiv (tant est cortois et débonnaire. Christine de Pisan), das jest durch bon et doux par caractère, bien fesant vertreten ist und noch in den Redensarten prince, caractère, mari débonnaire der höhern Stylistik angehört. Louis-le-Débonnaire Ludwig der Gutmüthige, Sohn Karls ́des Großen, wird in den neueren Geschichtswerken Hlodewig IV. oder Ludwig I. genannt. (A. Thierry, Lettres sur l'Histoire de France; A. Dumas, Gaule et France.) Pag. 51 3. 43. Justement bedeutete ehemals nur avec justice, jest avec justice und avec justesse, gerecht und richtig. Bei gouverner gebraucht man immer avec justice, bei agir, juger fann man justement noch in der Bedeutung von avec justice gebrauchen; bei raisonner steht justement in der Bedentung von avec justice und avec justesse, man sagt jedoch lieber raisonner avec justice und raisonner avec justesse. In allen übrigen Fällen bedeutet justement, avec justesse. In der Umgangssprache bedeutet justement, tout juste gerade so viel: En fait de fortune, assez c'est justement un peu plus qu'on en a (Franklin).

Pag. 52 3. 24. Je dénie; dénier war ehemals synonym mit nier," Man sagte dénier un fait, un dépot, jest bedeutet es refuser, eine Bedeutung, die es auch hier bei Corneille haben könnte, wenn der Sinn nicht zeigte, daß es erstere hat; dénier des secours bedeutet refuser des secours. Dénier les aliments, la justice sind veraltete Redensarten. Mézeray (Histoire de France) gebraucht es in der Bedeutung von verläugnen. Pag. 52 3. 37, à crime capital. Imputer hat stets à nach sich und nie pour imputer à crime, à blâme, à faute, à oubli, à viće &c.; imputer pour crime ist ein häufig bei Franzosen vorkommender Fehler.

Pag. 52 3. 38. Vers le pays natal; man sagt jest: envers le pays natal. Ehemals gebrauchte man vers sehr häufig statt envers und schien selbst zwischen diesen beiden Wörtern keinen Unterschied zu machen.

Pag. 53 3 17. Mol statt mou wird nur jezt noch vor Wörtern gebraucht, die mit Vokalen anfangen. In der alten Sprache, welche Deklinazionen kannte, nahmen die Wörter auf ol, eau, en im Akkusativ, oil, ou, el an; daher diese zwiefache Schreibart: Li sololz, el soloil (Partonop), mes consolez (Gérars dé Viane), li consous (Rom. de Mahom.), li crelel (Partonop), trosques creteaux (id.), li vessel (Villehard), les vaisiaus (id.), Li damoisel (Tristan), del damoisiau (Rom. de la Violette). Siehe deßh. meine Grammaire Polydidactique p. 246–252 G. H. Diese Schreibart ging auch auf die substantivisch gebrauchten Adjektiven über. Man sagte mielz statt mieux: fol Tel choisist le mielz qui le mielz quide eslire (Vie de St. Thom. de Cantorbéry); fol statt fou: Et qui fait fol hardement (Thibaut de Navarre); bel statt beau: A (au) monde n'a si bel oisel, unc (jamais) de mes elx (yeux) ne vi (vis) si bel (Marie de France) aber auch biau und beau: et li biau mot et li escrit (ibid.); col, mol ftatt cou, mou: Que s'uns hons (homme) passe le col, il aura si le ventre mol (Bible Guiot). Hierin liegt einzig und allein der Grund der noch beibehaltenen beiden Schreibarten, ein Grund, den die meisten Grammatiker nicht anzugeben wissen, weil ihnen die historische Kenntniß der französischen Sprache mangelt.

Pag. 54 3. 8. Ordonner bedeutet hier disposer, hat aber in der neuern Sprache diese Bedeutung verloren. In der liturgischen Sprache bedeutet ordonner die legte Delung geben. Pag. 54 3. 24. Par qui le monde entier. Die Grammatik erfordert par laquelle. 3. 29. État bedeutet hier forme gouvernementale, mode de gouvernement. Départ; départir bedeutet hier distribuer, donner; man sagt départir un talent à quelqu'un; se departir, synonym mit se désister, se séparer ist veraltet. Pag. 57 3. 41. Statt noble douleurs lies nobles douleurs.

3. 45.

Pag. 58 3. 27 und 28. Statt sous que j'ai und que passera lies sous qui und qui passera. die Grammatik würde statt sous qui, sous laquelle fordern.

Pag. 61 3. 13, à tant de braves gentils hommes et tant de vieux soldats. Nach der Grammatik hätte die Präposizion à vor dem zweiten tant wiederholt werden müssen. Es ist aber nicht nothwendig, diese Regel stets zu befolgen, eben so wenig wie es nothwendig ist, den Artikel vor jedem Substantiv von verschiedener Bedeutung zu wiederholen. (Siche deßhalb: Grammaire Nationale: Rép. des Prépositions.)

Pag. 61, Nota 2, à la merci. Man schrieb aud) mercie: C'oncques nus homs osast mercie crier (Thibaut, roi de Navarre).

Pag. 61, Nota 2, 3. 4, statt grand, merci lies: grand' merci.

Pag. 62 3. 8. Cul-de-jatte, alle mit cul zusammengesezten Substantive verschwinden jezt allmälig aus der Sprache; man sagt statt cul-de-basse-fosse: cachot; statt cul-desac: impasse &c. Gebildete Leute gebrauchen diese Wörter gar nicht mehr.

Pag. 64 3. 27, ftatt desseins rien lies desseins, rien.

3. 30, ftatt aux de chimie lies ceux de chimie.

3. 32, insensibles tours et retours. Das Adjektiv insensible steht immer nach dem Substantiv der Beziehung corps insensible; ame, esprit, coeur insensible; progrès, décadence insensible. Dieses Adjektiv regiert die Präposition à: insensible au froid, à la pitié, aux reproches &c.

Pag. 65 3. 44. Serment ist hier synonym von juron, darf aber nicht mehr mit diesem Worte verwechselt werden. In der alten Sprache bedeutete serment auch blaspheme: Villain serment (Parcival), in allen übrigen Fällen Eidschwur: bref de serment; serment de suprématie, serment d'allegeance, serment de calomnie, serment la main al pect, serment en plaids &c.

Pag. 66 3. 2. Renonciation de ses états ift veraltet; renoncer au trône, à la couronne, abdiquer haben diese mittelalterliche Form erseßt. Renonciation bedeutet in der gelehrten Sprache für römische Alterthümer: der Akt, wodurch eine Ehescheidung bezweckt wurde.

Pag. 66 3. 15. Etre d'église, de robe, d'épée waren vor der Revoluzion v. 1789 bei dem früheren Adel in Frankreich sehr gebräuchliche Redensarten, die man auch heutzutage noch ohne Anstoß anwenden könnte.

Pag. 66 3. 17. Académie bedeutet hier die Reit- und Fechtschule, eine Akt Ritterakademie, die eine vorbereitende Bildungsanstalt für Söhne adeliger Familien war.

Pag. 66 3. 32. Mourir sur son opinion ist ein veralteter Ausdruck; mourir pour son opinion ist besser.

Pag. 67 3. 1. Composer sa contenance ist veraltet; composer son maintien, son attitude, prendre son maintien, son attitude, se mettre en posture sind demselben vorzuziehen. Pag. 67, Nota 1. Faire vanité stolz auf etwas sein, füge hinzu: ou m'appèle le More et j'en fais vanité, ce nom ira peut-être à la postérité (Ducis, Othello).

Pag. 71 3. 16, lies flairer.

Pag. 72 3. 22. Gourde synonym mit calebasse, courge, Kürbis. Une gourde bedeutet auch eine Kürbisflasche.

Pag. 73 3. 32. Forçat échappé und évadé bedeuten beide: entsprungener Galeerensklave, libéré ein befreiter Galeerensflave, gracié begnadigter Galeerensklave. Travailler comme un forçat heißt: sehr viel arbeiten."

Pag. 73, Nota 4 fällt weg: Siche Seite 108 Nota 1, wo dieselbe verbessert ist.

Pag. 75 3. 1. Au Ciel ist ein Fehler, es müßte du Ciel était voisine heißen, weil voisin de erfordert.

Pag. 76 3. 36, statt Elément lies Clément.

Pag. 80 3. 14, grè lies gré.

Bag. 83 3. 34, Ciron Milbe, aus dem Griech. Keigw nagen, wegfressen.

Pag. 84 Nota 1, 3. 2, statt Infinitiv lies Indikativ.

Pag. 87-3. 41, statt Ludwig XVI lies Ludwig XIV,

3. 23, statt un tête lies une tête.

Pag. 90 3. 26. Nota. Renommés capitaines, man seßt nicht gern das Adjektiv renommé vor das Substantiv.

Pag. 94 3. 14, ftatt invencible lies invincible.

Pag. 98 3. 14. Florissant. Dieses florissant ist nicht das Partizip von fleurir, sondern von dem alten Verb florir, das jezt nur noch im Partizip der Gegenwart und im Imper. fektum des Indikativ, im bildlichen Style gebraucht wird.

Pag. 108 Nota 1 3. 2. Siehe Seite 73 3. 17, wo ein ähnliches Beispiel steht.

Pag. 111 3. 21. Rendus bedeutet hier livrés; man sagt nicht mehr rendre un combat, fondern livrer un combat.

Pag. 111 Nota 1, 3. 4, nach jurée seze hinzu und Béranger: là furent nos premiers amours, salut à ma patrie!

3. 30. Ni crainte ni respect ne m'en peut détacher; die Grammatiker wollen, das Verb solle, nach ni, nie im Plural stehen; Schriftsteller haben sich nicht immer an diese Regel gebunden, denn wenn sie beide Begriffe als einen Gesammtbegriff von Mehrheit betrachteten, gebrauchten sie den Plural; betrachteten sie aber jeden einzelnen für sich bestehend, den Singular; so sagt Voltaire: Ni le sexe ni l'age ne peut fléchir les dieux que l'infidèle outrage. Ni son coeur ni le mien ne peut être perfide. Marmontel: Ni le reproche, ni la crainte, ni l'ambition ne trouble les instants d'un honnête homme en place. Man findet tausend derartige Beispiele. (Siehe um Weiteres: Grammaire Nationale p. 568.)

Pag. 113 3. 17, statt traine lies traîne.

Pag. 115 Vers 7 und 8. Racine läßt fiers mit foyers reimen, ein Beweis, daß zu seiner Zeit das r von foyer ausgesprochen wurde.

Pag. 116 3 17. Siehe obige Bemerkung zur Seite 112, 3eile 30; ni crainte.

Pag. 119 3. 19. Les armes au Seigneur par David consacrées ist eine Inversion die burd) les armes par David consacrées au Seigneur hergestellt ist; au Seigneur also kein Fehler, wie es ein Kritiker behaupten wollte.

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