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surplus que jamais il n'affecte les formes de la didactique, et ne saisit les armes de l'argumentation; il paraissait sentir lui-même que la force n'était point là: elle était, en effet, tout entière dans la plus délicate et la plus exquise sensibilité, dans l'imagination la plus heureuse, dans ce don si rare d'une organisation qui égale la fidélité du style à la vivacité des impressions et qui reproduit au dehors, avec la plus exacte vérité, touts les traits, touts les conturs, et, pour ainsi dire, touts les éléments des images qui sont venues la frapper. J'ai toujours considéré les Etudes de la Nature, dont les Harmonies forment la suite, plutôt comme une poétique, comme un traité de goût, que comme un livre de science et de philosophie. L'auteur excèle à peindre les effets du tableau du monde; mais quand il veut remonter aux causes secrètes de ces effets extérieurs, quand il s'étudie à les approfondir, il semble toujours s'égarer. Il a toujours raison quand il peint; il a presque toujours tort quand il raisonne. Jamais ses sensations ne le trompent; mais il est souvent la dupe de ses pensées. Elles servent pourtant de fil pour le suivre dans le dédale enchanteur de ses brillantes coutemplations; on s'y attache volontiers, et l'abondance des vérités de sentiment que l'on rencontre dans le chemin dédommage des erreurs d'idée où l'on peut être conduit. Telle est, je crois, généralement l'impression que les Etudes de la Nature ont faite. On ne justifie par des poèmes ou par des romans, qui sont des poèmes, qu'un système romanesque ou une théorie relative aux beaux-arts. Paul et Virginie et la Chaumière Indienne, où Bernardin de Saint-Pierre a si bien exprimé les contrastes de la nature et de la société, de l'amour et de la pudeur, de la mélancolie solitaire et rêveuse avec le tumulte bruyant des cités, sont, sans doute, des productions charmantes; mais ce que prouvent le mieux ces délicieux ouvrages, ce n'est pas que l'auteur eût pénétré le secret de la nature, mais qu'il avait deviné celui de la peindre de ses vraies couleurs, et d'en rendre fidèlement touts les charmes, toutes les grâces et toutes les beautés. (Annales Littéraires.)

Un Ouragan à l'Ile de France. ̧

C'était

Un de ces étés qui désolent de temps à autre les terres situées entre les tropiques, vint étendre ici ses ravages. vers la fin de Décembre, lorsque le soleil au capricorne échauffe, pendant trois semaines, l'Ile de France de ses feux verticaux. Le vent du sud-est, qui y règne presque toute l'année, n'y soufflait plus. De longs tourbillons de poussière s'élevaient sur les chemins et restaient suspendus en l'air. La terre se fendait de toutes parts; l'herbe était brûlée, des exhalaisons chaudes sortaient du flanc des montagnes, et la plupart de leurs ruisseaux étaient desséchés. Aucun nuage ne venait du côté de la mer; seulement, pendant le jour, des vapeurs rousses s'élevaient de dessus ces plaines, et paraissaient, au coucher du soleil, comme des flammes d'un incendie. La nuit même n'apportait aucun rafraîchissement à l'atmosphère embrasée. L'orbe de la lune, tout rouge, se levait dans un horizon embrumé d'une grandeur demesuréc. Les troupeaux, abattus sur les flancs des collines, le cou tendu vers le ciel, aspirant l'air, fesaient retentir les vallons de tristes mugissements; le Cafre même qui les conduisait, se couchait sur la terre pour y trouver de la fraîcheur. Partout le sol était brûlant, et l'air étouffant retentissait du bourdonnement des insectes qui cherchaient à se désaltérer dans le sang des hommes et des animaux.

Cependant ces chaleurs excessives élevèrent de l'Océan des vapeurs qui couvrirent l'île comme un vaste parasol. Les sommets des montagnes les rassemblaient auteur deux, et de longs sillons de feu sortaient de temps en temps de leurs pitons embrumés. Bientôt des tonnerres affreux firent retentir de leurs éclats les bois, les plaines et les vallons; des pluies épouvantables, semblables à des cataractes, tombèrent du ciel. Des torrents écumeux se précipitaient le long des flancs de cette montagne; le fond de ce bassin était devenu une mer; le plateau où sont assises les cabanes, une petite île; et l'entrée de ce vallon, une écluse par où sortaient pêle mêle avec les éaux mugissantes, les terres, les arbres et les rochers. Sur le soir la pluie cessa, le vent alisé du sud-est reprit son cours ordinaire, les nuages orageux furent jeté vers le Nord-Ouest, et le soleil couchant parut à l'horizon. (Paul & Virginie.)

XXXIII. SERVAN (Joseph Michel Antoine).

Servan, aus Romans (Drôme), geboren den 3. November 1737, gestorben den 4. November 1807 General-Anwald des Parlaments zu Grenoble, einer der größten französischen Kriminalisten und Redner, der den edelsten Karakter mit der Macht des Talents verband.

Sein Meisterwerk ist jene berühmte Rede (Discours sur la Justice criminelle), die er 1766 hielt, zu einer Zeit, wo die Namen der unglücklichen durch Justizmord gefallenen Schlachtopfer, Sirven, Calas, der Chevalier de la Barre, noch in lebhafter Erinnerung waren und General Graf LallyTollendal geknebelt das Blutgerüst bestieg. Ein schöner Augenblick war der, wo eine Magistrats - Person vom Richterstühle herab, mit der ganzen Beredsamkeit inniger Ueberzeugung und der vollen Kraft eines tugendhaften Herzens die Niederträchtigkeiten und Schandthaten des in Frankreich befolgten Kriminalrechts enthüllte, die Mängel deffelben aufdeckte, aber auch zugleich das Mittel ihnen abzuhelfen an die Hand gab und Reformen vorschlug, die späterhin angenommen wurden. Das Requisitoire dans la Cause d'une jeune femme protestante kann als das Gegenstück des obigen betrachtet werden; dasselbe Gefühl, dieselbe Beredsamkeit, strömt allenthalben hervor; er stüßt sich auf das Recht und, sich der armen Bedrängten, vom Schicksal hart Betroffenen annehmend, gewann er ihren Prozeß. Sein Requisitorium bleibt eines der schönsten Denkmäler gerichtlicher Reden.

Servan's Styl ist warm, belebt, der Ausdruck kernig, die Sprache schön. Mit eben so großer Gewandheit die Grundsäße des natürlichen Rechts, als die des bürgerlichen zu Hülfe nehmend, bedient er sich aller dem Redner zu Gebote stehenden Waffen und dieses mit einer solchen Dialektik, Wärme und einem so glücklichen Ausdruck, daß seine Worte nie fehl schlagen, sondern jedesmal treffen. Der Name dieses großen Rechtsgelehrten ist einer der geachtetsten unter allen Illustrazionen der juristischen Welt Frankreichs.

Servan war Mitarbeiter am Code Napoléon.

Le Devoir des Juges.

Le moment critique est arrivé où l'accusé va paraître aux yeux de ses juges. Je me hâte de le demander, quel est l'accueil que vous lui destinez? Le recevrez-vous en magistrat ou bien en ennemi? Prétendez-vous l'épouvanter ou vous instruire?

Que deviendra cet homme subitement enlevé à son cachot, ébloui du jour qu'il revoit, et transporté tout-à-coup au milieu des hommes qui vont traiter de sa mort? Déjà tremblant, il lève à peine un oeil incertain sur les arbitres de son sort, et leurs sombres regards épouvantent et repoussent les siens. Il croit lire d'avance son arrêt sur les replis sinistres de leurs fronts; ses sens, déjà troublés, sont frappés par des voix rudes et menaçantes; le peu de raison qui lui reste achève de se confondre; ses idées s'effacent; sa faible voix pousse à peine une parole hésitante; et, pour comble de maux, ses juges imputent peut-être au trouble du crime un désordre que produit la terreur seule de leur aspect. Quoi! vous vous meprenez sur la consternation de cet accusé, vous qui n'oseriez peut-être parler avec assurance devant quelques hommes assemblés! Eclaircissez ce front sévère; laissez lire dans vos regards cette tendre inquiétude pour un homme qu'on désire trouver innocent; que votre voix, douce dans sa gravité, semble ouvrir avec votre bouche un passage à votre coeur; contraignez cette horreur secrète que vous inspirent la vue de ces fers et les dehors affreux de la misère. Gardez-vous de confondre ces signes équivoques du crime avec le crime même, et songez que ces tristes apparences cachent peut-être un homme vertueux. Quel objet! levez les yeux, et voyez sur vos têtes l'image de votre Dieu, qui fut un innocent accusé. Vous êtes homme, soyez humain; vous êtes juge, soyez modéré; vous êtes chrétien, soyez charitable. Homme, juge, chrétien, qui que vous soycz, respectez le malheur; soyez doux et compatissant pour un homme qui se repent, et qui peut-être n'a point à se repentir. Discours sur l'Administration de la Justice criminelle.

XXXIV. DELILLE (Jacques).

Delille, Mitglied der französischen Akademie, berühmter Dichter, ward in Aigue-Perse, einer kleinen Stadt in der Nähe von Clermont (Auvergne), den 22sten Juni 1738 geboren, und starb in Paris den 1. Mai 1813, im Alter von 75 Jahren.

Ünehelicher Sohn eines Advokaten, der bald nachdem dies Kind geboren war, starb, und einer Mutter, die er nie kannte, brachte er seine Jugendjahre in einer Dorfschule zu. Bald nachher erhielt er ein Stipendium für das Lyceum zu Lisieux, wo er sich auszeichnete und mehrere Preise gewann. Dieses war der Anfang eines Ruhms, dessen Sphäre sich nach harten Prüfungen erweitern sollte. Den Morgen nach dem lehten von ihm gewonnenen Preise war er ohne Amt und Brod, und sah sich genöthigt, seine Kronen am Fuße eines Katheders in Beauvais niederzulegen und in den untern Klassen des dortigen Gymnasiums Unterricht zu ertheilen. Bald aber verbesserte sich seine Lage; er ward im Lyceum zu Amiens angestellt, und einige Zeit nachher nahm er eine Professur in dem Collège la Marche in Paris an.

Während dieser Jahre benutte er die ihm freien Stunden, um sich auf das Studium der Alten zu legen, und seinen Plan, Virgil's Georgiká zu übersehen, in Ausführung zu bringen. Diese Uebersetzung erschien gegen Ende des Jahrs 1769, nachdem er den Stoff zehn Jahre hindurch bearbeitet und ausgefeilt hatte. Wenn je ein Schriftsteller für seine

Studien, Kämpfe und Leiden belohnt ward, so ward es Delille. Ehemals arm und unbekannt, ward er mit einem Male hoch gefeiert, ja bis zum Himmel erhoben; Literaten, Weltmänner, Frauen jener Zeit erschöpften sich in Lobsprüchen. Voltaire verlangte für ihn einen Play in der Akademie, und dieser Platz ward. ihm bewilligt; die Minister suchten ihn auf; der Graf von Artois `(später Karl X.) schenkte ihm ein Benefiz und die stolze Marie Antoinette war für ihn voll Bewunderung, der große Friedrich erklärte, Delille's Uebersetzung sei das originellste Werk des Jahrhunderts; Polen, Rußland erhoben auch ihre Stimme, um ihn zu preisen; die Begeisterung stieg zur Anbetung. Delille hatte zu allen Kreisen der Hauptstadt Zugang, weil er ein zwiefaches Talent besaß, das ihn doppelt schäßbar machte: als Dichter trug er seine Verse mit einer bezaubernden Vollkommenheit vor, als Weltmann war er eben so liebenswürdig als geistreich. Die Kritikasterschaar, die sich an alles Große gleichsam wie ein Polyp kettet, erhob zwar ihre Stimme; aber was vermochten einige Neider gegen einen Ruf, der von der Seine bis zur Weichsel erscholl. Weit entfernt, den Ruhm des Dichters zu schmälern, diente ihre Kritik nur dazu, denselben zu vergrößern; denn die Worte jener Neider waren in den Augen eines mit geschichtlichen und mythologischen Kenntnissen reich ausgestatteten Publikums nur das Zettergeschrei der Eifersucht, welche den dahin rollenden Wagen eines Siegers verunglimpft und bespottet.

Bon jenem Augenblicke an kann Delille's Leben mit einem langen vierzigjährigen Triumph verglichen werden; so lange in Paris_Salons bestanden, worin sich die damaligen Schöngeister versammelten, blieb Delille deren Seele und geschäßtestes Kleinod; sie waren gleichsam die Tempel, aus welchen sein Ruf sich emporschwang und vergrößerte, um nachher der Menge anheim zu fallen; und dieser Ruf war so kolossal, daß selbst die Revoluzion, über Trümmern sich erhebend, ihn ungestört ließ. Als Delille nach Frankreich zurückkehrte, fand er jene glänzenden Salons nicht wieder, aber sein Haus wurde der Sammelplaß der ausgezeichnetsten Schriftsteller. Die Ehrenbezeugungen, die man ihm nach seinem Tode bewies, waren der Art, wie sie nie einem Schriftsteller, mit Ausnahme Ronsard's, dem Günstlinge der Monarchen und dem Idol feiner Zeit, zu Theil wurden. Nachdem er am Schlagflusse gestorben, wurde feine Leiche drei Tage hindurch mit entblößtem Haupte und mit Lorbeern geschmückt im großen Saale des Collège de France den Blicken seiner Anbeter ausgefeßt. Ein unermeßlicher Volkshaufe drängte sich um seine sterbliche Hülle, und sein Sarkophag wurde zur Ruhestätte von einem Gefolge begleitet, das an die Bestattung Mirabeau's erinnert. Die ganze Stadt schien in Bewegung zu sein.

Diese biographische Skizze hat nicht nur ein historisches Interesse, sondern auch ein literarisches; sie gewährt einen Blick auf die Literatur jener Zeit, woraus kein großer Dichter hervorging. Denn wer bleibt uns von Delille's Schule? ein Gandolle, Legouvé oder Parseval_Grandmaison, mittelmäßige Dichter, die nur auf Korrektheit des Versbaus sahen, ohne Geistiges und Erhabenes zu erzeugen. Es verhält sich mit der Literaturgeschichte, wie mit der Geschichte der Völker; um über Schriftsteller und Weltbegebenheiten ein Urtheil zu fällen, muß man sich zurückverseßen in die Zeiten, worin jene lebten, und diese fich ereigneten; man muß in das geistige Leben eindringen, die Stimmung der Gemüther ergründen, den Erfolg der Dichtungen ermessen, sich Rechenschaft davon ablegen und die Resultate der literarischen Werke oder der Weltereignisse erforschen und zergliedern. Delille nimmt unter den französischen Dichtern einen zu hohen Rang ein, und es ist der Mühe werth, sein literarisches Treiben von Anfang bis zu Ende, zu verfolgen; man hat ihn bei seinen Lebzeiten und nach feinem Tode genug gepriesen, so daß es die Kritik endlich für nöthig erachtete, feine Mängel hervorzuheben und ihm die Stelle auzuweisen, die ihm als Dichter wirklich gebührte. Die Begeisterung war vorüber, die Stunde der Gerechtigkeit schlug, und das unparteiische Urtheil der Nachwelt brach den Stab über ihm.

Delille steht an der Spize der Literatur des dahinsterbenden XVIII. und des aufblühenden XIX. Jahrhunderts. Capefigue giebt uns eine Skizze dieses Dichters in feiner Histoire du Consulat et de l'Empire; erwähnen wir fie: „Alors (1789) il se formait une autre poésie, une autre littérature, dont

la mission semblait être de ramener les esprits vers l'orde éternel, et la restauration des idées. Je vais encore jeter des noms propres immenses de renommée à l'époque où ils parurent; il n'en reste plus aujourd'hui qu'un souvenir, chaque jour est effacé par le flot des nouvelles générations. Rien n'était comparable au retentissement des poésies de l'abbé Delille; le traducteur des Géorgiques vivait dans l'exil, loin de la France, et c'est sur la terre étrangère qu'il composait ses poèmes et ses traductions rimées avec un éclat que nul n'a atteint peut-être, Le chantre de l'Imaginatiou n'en possédait pas beaucoup lui-même; il était moins poète que feseur de vers, moins inspiré que traducteur fidèle; il avait goût surtout pour cette poésie descriptive qui retraçait les objets avec une exactitude presque enfantine; il n'abandonnait jamais son diamant sans en compter les facettes, et, pour les décrire exactement, il en oubliait les feux; il traçait le paysage, il ne savait pas peindre les grandes émotions de l'ame, ces douleurs qui émeuvent, ce cri, déchirant de l'homme à l'aspect du vide et de l'épuisement de la vie. L'abbé Delille n'avait rien de cette entraînante poésie qui remue les entrailles et grandit les idées; c'étaient les vers didactiques vivement colorés avec un faire remarquable; il ne brisait pas le cour et n'eut jamais des parois du crâne en feu: il servait la réaction monarchique avec une haine profonde de la révolution; il en proscrivait les souvenirs, il en flétrissait les saturnales, C'était alors un peu de mode; le bon ton voulait qu'on fût victime prête à favoriser une contrerevolution. Les vers de Delille, attendus comme un évènement, étaient achetés au poids de l'or; quarante mille exemplaires s'enlevaient au moment de leur apparition; un ouvrage du poète fesait plus d'impression que touts les journaux de philosophie, et l'on s'arrachait les lambeaux de quelques éditions_tronquées à Londres, à Paris et à Bruxelles; singulier enthousiasme pour les vers qui forçait le gouvernement à traiter d'égal à égal avec un pauvre abbé, exilé sur la terre étrangère. Delille réfusa la place de l'Institut, que lui offrait

ce corps savant,"

Dieses, von einem großen Geschichtschreiber gefällte Urtheil stimmt mit dem unsrigen überein, und es wird leicht sein, nach diesen beiden den Delille zu beurtheilen. Es bleibt uns nur noch ein Wort über seine Werke zu sagen übrig.

Nach der Georgika erschien das Gedicht les Jardins, und während einer mit dem Grafen Choiseul = Gouffier nach Konstantinopel gemachten Reise verfertigte Delille l'Imagination; 1789 vollendete er Virgil's Aeneis, die er schon dreißig Jahre früher angefangen hatte. Während der Revoluzion zog er sich nach Saint-Diez zurück, ging aber bald darauf nach der Schweiz, wo er l'Homme des Champs und les Trois Régnes de la Nature dichtete. Nachher gab er in Deutschland la Pitié heraus, und in London überseßte er Milton's Paradise lost; 1801 fehrte er nach Frankreich zurück, und hielt in Paris Vorlesungen über Litteratur. Tissot wurde späterhin sein Nachfolger.

Delille's Styl ist sehr korrekt, nur ist seine Sprache mit allzuviel Bildern ausgestattet; es scheint fogar, als zeige er eine zu große Vorliebe für dieselben, denn er wendet sie selbst da an, wo ein passender Ausdruck dem ganzen Verse mehr Kraft verleihen könnte. So z. B, um Fensterglas zu beschreiben, sagt er:

Là, le palais desous par les feux dévorants

Pour le palais des rois brille en murs transparents.

Jugement des Rois en Egypte après leur mort.
Sésostris, le premier, heureux triomphateur,
Dans l'Egypte étala des rois chargés de chaînes;
Mais dans ce vieux berceau des sciences humaines,
O combien j'aime mieux ces fêtes où les lois
A côté de leur tombe interrogeaient les rois!
Quelle solemnité plus grande, plus auguste?

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