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grès des sciences et des arts a-t-il contribué à corrompre ou à épurer les moeurs? löset diese Frage und gewinnt den Preis.

Dadurch war die Bahn_für_ihn_gebrochen. Er zeigt sich als Componist: Le Devin de Village, eine Oper, ward zuerst in Fontainebleau, nachher in Paris aufgeführt und allenthalben mit stürmischem Beifall aufge= nommen. Sein Brief über die Musik folgte bald darauf und erregte Sensazion. Hierauf reis'te er nach Genf zurück und von da nach Chambery, wo er die Frau von Warens arm und alt antraf. Er trat in Genf wiederum zur reformirten Kirche über und kehrte bald darauf nach Paris zurück, wo seine literarische Laufbahn von Neuem begann. Das Discours sur l'Origine de l'Inégalité parmi les Hommes vermehrt seinen Ruf; der Contrat social und la Nouvelle Héloïse erheben ihn auf den Gipfel des Ruhms, dem er durch seinen Emile die glänzendste Krone aufseßt.

Der

Von nun an wird das Leben Rousseau's sehr bewegt. Er muß fliehen, und nachdem er als Verbannter in der Schweiz, in England, wo er die Antwort auf des Erzbischofs von Paris Hirtenbrief, so wie les Lettres écrites de la Montagne abfaßte, gelebt hatte, kehrte er nach Frankreich zurück. Herr von Girardin nimmt ihn gütig auf und schenkt ihm das Landhaus Ermenonville, wo er sich nunmehr mit seinen Confessions befaßte, die erst drei Jahre nach seinem Tode gedruckt wurden. Er starb plöglich zu Ermenonville vom Schlagflusse getroffen.

Rousseau, sagt Wachler, war ein Märtyrer schwärmerischer Sehnsucht nach gesellschaftlicher Weltverbesserung, deren feindselige Hindernisse er entdeckt zu haben und zu deren Bekämpfung er sich berufen glaubte, in unheilbaren Schmerz und geistige Zerrüttung versunken über den mit gräßlichem Uebergewichte ihm entgegentretenden Widerspruch zwischen seinen Idealen und der Wirklichkeit, verzweifelnd an der Menschheit und doch ihre Rettung nicht aufgebend. Fr strömte die Gefühle seines Herzens, die Schöpfungen einer nie versiegenden Einbildungskraft, Hoffnungen und Rügen, Belehrungen und Bestreitungen, in begeisterte Darstellungen aus und hat, wie Keiner, die Zauberkraft der Sprache ausgeübt. Er ist eben so einzig in der philosophischen Politik, über das Verderben der Sitten durch Fortschritte der Wissenschaften und Künste, über die Ungleichheit unter den Menschen, über die Verderblichkeit der Bühne, über den gesellschaftlichen Grundvertrag, als in der Polemik gegen theologische Verfolger, in dem vom glühendsten Gefühle eingegebenen Roman, die neue Heloïse, im Emil, womit die Umgestaltung des Erziehungswesens begann, in seinen theils föstlichen, theils schauderhaften Selbstgeständnissen und in den mit bewußter Kunst vertraulichen Briefen. Der Mensch sowol in seiner Hoheit als in seiner Erniedrigung tritt überall hervor; der Eindruck auf Gemüth und Phantasie, das Fortgezogenwerden in neue Kreise der Weltbetrachtung ist unabweisbar, obschon leidenschaftliche Ueberspannung sich nirgends verleugnet.“

J. J. Rousseau par Tissot,

Plus le génie de Rousseau avait été lent à se révéler, plus il jeta d'éclat. Ses écrits, en lui suscitant des ennemis acharnés, lui donnèrent aussi des partisans passionnés; les femmes surtout porterent au plus haut degré leur enthousiasme pour un homme qui, tout en les censurant avec sévérité, semblait élever des autels à leur sexe. Par suite de ce nouvel enthousiasme, il eut bientôt dans l'empire des lettres deux souverains, Rousseau et Voltaire. Accoutumé à une longue possession de l'empire, le patriarche de Ferney ne put, dit-on, souffrir ce partage: son école se déclara contre Jean Jacques, que d'ailleurs elle accusait de faiblesse et de supersition parce qu'il associait la religion à la philosophie dans des ouvrages empreints de la plus haute éloquence. Ce dissentiment, qu'il prit pour une haine implacable, affligea profondément Rousseau, et finit par le jeter dans des accès de misanthropie qui devinrent par degrès une maladie incurable de l'imagination. Il ne voyait autour de lui que des ennemis, des pièges, des conspirations; en un mot, il était fou sous un certain rapport, quoi que son génie et sa raison habitassent encore en lui.

Les ouvrages de Rousseau vivront autant que notre langue; mais l'estime de la postérité consacrera surtout l'Emile, comme un présent fait á l'humanité; l'enfance rattaché au sein maternel, les liens de la famille resserrés, la réforme d'une partie des vices de l'éducation publique et privée, une foule de conseils regardés commes des rêves de Platon et devenus des vérités pratiques, attestent en lui la puissante influence d'un talent supérieur.

Le style de ce grand écrivain n'est point exempt de défauts; on y trouve de l'ambition, de l'enflure, des expressions de mauvais goût, parfois une fausse chaleur et l'abus des formes oratoires. Mais que de progrès notre langue a faits sous cette main habile et patiente! Quelle magnificence dans les descriptions, animées par une verve qui manque peut-être à Buffon! Comme il sait passionner la vérité pour la faire entrer dans le coeur! Quelle irrésistible éloquence quand il célèbre les grandes choses de l'univers, Dieu, la nature, la religion et la vérite! Quelle harmonie nouvelle il trouve dans le plus parfait accord de la pensée avec les expressions qui la représentent! Quelle vigueur de plume quand il presse ses adversaires dans les arguments d'une dialectique victorieuse! et puis toutà-coup l'écrivain, saisi lui-même par le charme des objets qu'il a sous les yeux, ou qu'il retrouve dans son cour avec la fraîcheur de la première impression, semble se délasser en parlant à son lecteur comme on parle à un ami, avec un abandon, avec une grâce, avec une facilité qui viènent de l'inspiration du moment. Plusieurs des morceaux écrits par Rousseau dans le calme de la retraite et dans la douce chaleur de son imagination tempérée par le bonheur, font couler des larmes que l'on répand avec délice, parce qu'elles viènent d'une douce joie. Rousseau avait beaucoup étudie Montaigne; il en est plein: cependant il ne l'a point copié; il lui ressemble sans cesser d'être original. Pour bien connaître le génie de notre langue, ses ressourses, ses progrès, il faut comparer sans cesse Montaigne, Bossuet, Fénélon, Massillon, Montesquieu et Buffon, avec Rousseau. (Tissot, Leçons et Modèles de Littérature Française)

Le Suicide.

Tu veux cesser de vivre: mais je voudrais bien savoir si tu as commencé. Quoi! fus-tu placé sur la terre pour n'y rien faire? Le Ciel ne t'impose-t-il point avec la vie une tâche pour la remplir? Si tu as fait ta journée avant le soir, reposetoi le reste du jour, tu le peux; mais voyons ton ouvrage. Quelle réponse tiens-tu prête au Juge suprême qui te demandera compte de ton temps? Malheureux! trouve-moi ce juste qui se vante d'avoir assez vécu; que j'apprène de lui comment il faut avoir porté la vie pour être en droit de la quitter!

Tu comptes les maux de l'humanité et tu dis: la vie est un mal. Mais regarde, cherche dans l'ordre des choses si tu y trouves quelques biens qui ne soient point mêlés de quelques maux. Est-ce donc à dire qu'il n'y ait aucun bien dans l'univers et peux-tu confondre ce qui est mal par sa nature, avec ce qui ne souffre le mal que par accident? La vie passive de l'homme n'est rien, et ne regarde qu'un corps dont il sera bientôt délivré; mais sa vie active et morale, qui doit influer sur tout son être, consiste dans l'exercice de sa volonté. La vie est un mal pour le méchant qui prospère, et un bien pour l'honnête homme infortuné; car ce n'est point une modification passagère, mais son rapport avec son objet, qui la rend ou bonne ou mauvaise.

Tu t'ennuis de vivre, et tu dis: la vie est un mal. Tôt ou tard tu seras consolé, et tu diras: la vie est un bien. Tu diras plus vrai sans mieux raisonner; car rien n'aura changé que toi. Change donc dès aujourd'hui; et puisque c'est dans la mauvaise disposition de ton ame qu'est le mal, corrige tes affections déréglées, et ne brûle pas ta maison pour n'avoir pas la peine de la ranger.

Que sont dix, vingt, trente ans pour un être immortel? La peine et le plaisir passent comme une ombre; la vie s'écoule en un instant; elle n'est rien par elle même; son prix dépend de son emploi1. Le bien seul qu'on a fait demeure, et c'est par lui qu'elle est quelque chose. Ne dis donc plus que c'est un mal pour toi de vivre, puisqu'il dépend de toi seul que ce soit un bien; et si c'est un mal d'avoir vécu, ne dis pas non plus qu'il t'est permis de mourir: car autant voudrait dire qu'il t'est permis de n'être pas homme, qu'il t'est permis te te révolter contre l'auteur de ton être, et de tromper ta destination.

Le Suicide est une mort furtive et honteuse, c'est un vol fait au genre humain. Avant de le quitter, rends-lui ce qu'il a fait pour toi. Mais, je ne tiens à rien, je suis inutile au monde. Philosophe d'un jour! ignores-tu que tu ne saurais faire un pas sur la terre, sans trouver quelque devoir à remplir, et que tout homme est utile à l'humanité, par cela seul qu'il existe. Jeune insensé! S'il te reste au fond du coeur le moindre sentiment de vertu, viens que je t'apprène à aimer la vie. Chaque fois que tu seras tenté d'en sortir, dis en toi-même: Que je fasse encore une bonne action avant que2 de mourir; puis va chercher quelque indigent à secourir, quelque infortuné à consoler, quelque opprimé à défendre. Si cette considération te retient aujourd'hui, elle te retiendra demain, après demain, toute la vie. Si elle ne te retient pas, meurs, tu n'es qu'un

méchant.

(La nouvelle Héloïse.)

Lettre (inédite) de J. J. Rousseau à Coindet.*
Montmorency, le 26. Septembre 1758.

Quoi! mon cher Coindet, donnez-vous tant de force aux mots que vous fassiez dépendre l'amitié du nom d'ami, et croyez

1 Nach Chapsal's fehlerhaften Regeln hätte Rousseau hier en und le statt son gebrauchen müssen, weil jener Grammatiker behauptet, wenn das Wort nicht das Hauptsubjekt des Saßes ist, sondern nur in einem logisch untergeordneten Hauptsage steht, der als Ergänzung des ersten betrachtet wird und sich auf das Vorhergehende bezieht, son und leur durch jene Wörter vertreten werden müssen. Beispiele aus Klassikern widerlegen diesen Irrthum. Mais la mollesse est douce et sa suite est cruelle (Voltaire.) Le récit de nos maux adoucit leurs rigueurs (Guymon de la Touche). La patience est amère mais son fruit est doux (J. J. Rousseau). Le commerce est comme certaines sources; si vous voulez d'étourner leur cours, vous les faites tarir (Fénélon). Combien ceux qui ont cru anéantir le christianisme, en allumant des bûchers, ont méconnu son esprit! (Chateaubriand) 2 Veraltet, avant de ist hinreichend.

Dieser Brief gehört zu einer Sammlung von Autogravhen, die der Arzt Coindet aus Genf, der Neffe von Rousseau's Freunde, besaß. Er ward zum ersten Male von Ed. de La Grange herausgegeben.

vous qu'on s'arrange pour prendre ce titre comme celui de confrère ou d'associé? Il n'en est pas ainsi, croyez-moi: l'amitié vient sans qu'on y songe, elle se forme insensiblement, elle s'affermit avec les années, et les vrais amis le sont bien longtemps avant de s'aviser d'en prendre le nom. Assurément, votre empressement à cet égard m'est honorable; c'est une marque d'estime dont je vous sais gré, mais avez vous bien songé aux conditions requises pour unir deux amis, et vous a-t-il semblé qu'elles puissent se trouver entre nous? Si vous ne demandiez que le zèle et l'intérêt de l'amitié, vous ne demanderiez plus rien; mais, je le vois, c'est la familiarité que vous recherchez: voyez, à votre tour, si cette recherche est raisonable. La probité, les moeurs, la raison, l'inclination même, ne suffissent pas pour la produire : il faut de plus mille rapports qui manquent entre nons. Vous êtes jeune et vigoureux, je suis infirme et je grissonne; vous avez les goûts de votre âge, et moi ceux du mien. Nos occupations sont si différentes, qu'elles ne peuvent guère fournir à nos entretiens: il faut que l'un de nous mette au ton de l'autre, ou que notre société soit sujette à l'ennui. Or, voyez si vous êtes disposé à prendre ma langue et mon ton; car, pour moi, je suis trop vieux vour changer d'habitude. Il me paraît qu'il sera bien difficile que nous puissions penser tout haut l'un avec l'autre, sans que l'un de deux se gêne, et la gêne et la familiarité sont incompatibles; il ne faut pas qu'un des deux songe tellement à lui qu'il oublie de songer à l'autre. Quand je pourrai vous rendre notre commerce aussi agréable que je le voudrais, je suis si fantasque et si difficile que vous ne seriez pas sûr de pouvoir me rendre le change, et je vous crois trop honnête pour vouloir faire votre bonheur aux dépens du mien.

se

O bon jeune homme, la bonté de votre coeur vous abuse, et il s'en faut peu qu'elle ne vous rende indiscret. Que voulezvous de moi que vous n'ayez déjà? Si vous avez des peines Si vous avez besoin de

secrètes, versez-les dans mon sein. conseils, mon âge m'autorise à vous en donner, et mon amitié m'y excite: tout ce qu'il y a d'utile dans l'amitié et qui depend de moi vous est acquis; et si je vous en refuse quelque chose, ce n'est que ce qui vous devrait être à charge à vous-même, comme, par exemple, la honte de tutoyer un homme de quarante-cinq ans.

Vous voyez, mon cher Coindet, comme je vous parle, c'est bien plus que comme à mon ami, c'est comme à mon enfant. Assez d'autres prendront le titre de vos amis sans en remplir les devoirs; laissez-moi faire tout le contraire, vous y gagnerez sûrement !

(J. J. Rousseau.)

XVII. VAUVENARGUES (Luc. Clapier, Marquis de). Bauvenargues, aus Aix (Provence) ward den 6. August 1715 geboren und starb 1747; berühmter Moralist, ohne der Menschheit Schwachheiten zu verkennen, noch zu übertreiben.

Dieses Schriftstellers Maximes fënnen den Pensées Larochefoucault's als Seitenstück dienen, denn er verbindet darin den Scharfsinn eines Beobachters mit Kern und Herbe im Ausdruck und hat vor Larochefoucault den Vorzug, den Menschen nicht mit so grellen Farben zu schildern, sondern dem Uebel das Mittel, wodurch ihm abgeholfen werden kann, beizufügen. Er hebt die Verdorbenheit des menschlichen Herzens nicht als eine ihm von der Natur und Gesellschaft aufgebürdete Nothwendigkeit hervor. Als Schriftsteller_schwingt sich Vauvenargues oft zur Höhe eines Labruyère's und Pascal's hinauf.

Nach seinen Maximes erwähnen wir noch Introduction à la Connaissance de l'Esprit humain und Réflexions sur divers auteurs, worin sich glänzende Paradoxen mit einer Menge richtiger Urtheile über große Schriftsteller vereinigen; die Kritik ist human, geistreich, der Styl rein und erhaben wie der Gedanke. Bauvenargues hat auch, aber mit wenigem Erfolge, Karakterskizzen geliefert.

Das Leben dieses Schriftstellers war sehr unglücklich. Er trat zuerst als Fähnrich in das in der Revoluzion späterhin so berühmte Regiment des Königs, machte 1754 den Feldzug in Italien mit, ward zum Kapitain ernannt, mußte aber seiner schwächlichen Gesundheit wegen dem Militärdienste entsagen. Er wandte sich nun zur Diplomatie; da er aber von den Blattern schrecklich heimgesucht und von jener Zeit an beständigen und unheilbaren Krankheitsfällen unterworfen war, gab er bald diesen Plan_auf. Auf diese Weise sah sich dieser junge Mann, den sein energischer Karakter nie verließ, dessen thätiger Geist nie rastete und dessen edle Gefühle aus seinem Ganzen hervor= strömten, dazu verdammt, so viele und kostbare Geistesgaben in Ünthätigkeit fallen zu sehen, bis ein schmerzhafter Tod sein Leben endete, dem nie eine glückliche Stunde zu Theil geworden war. 32 Jahr alt sank er ins Grab, beweint von Allen, die ihn kannten, verehrt von seinen Lebensgenossen und der Nachwelt angehörend. Voltaire schäßte ihn sehr; nie sprach er von ihm anders als mit den Gefühlen der innigsten Rührung, und es ist bekannt, daß er die Lobrede der im Jahre 1747 gefallenen Offiziere nur darum unternahm, um dem Andenken seines werthen Freundes ein würdiges und rührendes Denkmal zu sehen.

Eine sehr gute Ausgabe seiner Werke hat l'Avocat, der Herausgeber des Livre des Cent et Un, besorgt.

Der Abbé Morellet und andere tüchtige Kritiker haben am Style dieses Schriftstellers viel auszusehen gefunden; wir wollen einige von ihren Kritiken bei Angabe von Vauvenargues Pensées erwähnen und sehen, in wiefern dieselben gegründet sind.

Pensées de Vauvenargues.

La plupart des hommes honorent les lettres comme la religion et la vertu.1

1 In diesem Sage finden die Kritiker einen Fehler gegen die Wiederholung des Verbs: La plupart des hommes honorent les lettres comme (ils honorent la religion et la vertu; hier, sagen sie, hätte das Verb wiederholt werden müssen, weil die französische Sprache dergleichen Ellipsen nicht gestattet.

Wenn aber nach dem Sagen dieser kleinlichen, spisfindigen Orbilen die französische Sprache dergleichen Ellipsen nicht duldet, ist dieses ein Grund, deren Gebrauch zu verwerfen, und ist es dem Schriftsteller nicht gestattet, sie zu jeder Zeit anzuwenden? Haben die besten Schriftsteller nicht bald die volle, bald die verkürzte Konstrukzion gebraucht? Keine grammatische Regel konnte sie daran hindern, weil der Gebrauch dieser Ellipsen nur vom Geschmack, von der Klarheit und Eleganz des Ausdrucks abhängt. Die Ellipse verleihet der Sprache mehr Kern und dem Gedanken mehr Lebendigkeit; sie ist jedesmal gestattet, wenn sich die ausgelassenen Wörter leicht hinzu denken lassen. Wer würde folgende Säße tadeln können: Nous respections ses passions comme son autorité (Massillon). Il aimait sa patrie comme une mère (Bossuet). Le peuple jouit des refus du prince, et le courtisan de ses grâces (Montesquieu). On respecte les passions d'un grand homme comme son aŭtorité (Massillon). Aimez votre prochain comme vous-même (Evangile).

Vauvenargues Saß ist ganz den hier angeführten gleich; mit Unrecht also hat man ihn bekrittelt.

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