Oeuvres complètes, Volume 3Deterville, 1796 |
From inside the book
Results 1-5 of 17
Page 15
... mois que je te fais chercher , Quel climat , quel désert a donc pu te cacher ? ELISE . Au bruit de votre mort justement éplorée , Du reste des humains je vivais séparée , Et de mes tristes jours n'attendais que la fin ; ESTHER, ...
... mois que je te fais chercher , Quel climat , quel désert a donc pu te cacher ? ELISE . Au bruit de votre mort justement éplorée , Du reste des humains je vivais séparée , Et de mes tristes jours n'attendais que la fin ; ESTHER, ...
Page 16
... nombreux états il fallut donc chercher Quelque nouvel objet qui l'en pût détacher . De l'Inde à l'Hellespont ses esclaves coururent ; Les filles de l'Egypte à Suze comparurent : 7 Celles même du Parthe et du Scythe indomté , Y 16 ESTHER ,
... nombreux états il fallut donc chercher Quelque nouvel objet qui l'en pût détacher . De l'Inde à l'Hellespont ses esclaves coururent ; Les filles de l'Egypte à Suze comparurent : 7 Celles même du Parthe et du Scythe indomté , Y 16 ESTHER ,
Page 24
... chercher , Devant moi , chère Esther , a bien voulu marcher ; Et s'il faut que sa voix frappe en vain vos oreilles , Nous n'en verrons pas moins éclater ses merveilles . Il peut confondre Aman , il peut briser nos fers Par la plus ...
... chercher , Devant moi , chère Esther , a bien voulu marcher ; Et s'il faut que sa voix frappe en vain vos oreilles , Nous n'en verrons pas moins éclater ses merveilles . Il peut confondre Aman , il peut briser nos fers Par la plus ...
Page 44
... chercher le trépas ? Gardes .... C'est vous , Esther ? quoi ! sans être attendue ? ES THE R. Mes filles , soutenez votre reine éperdue . Je me meurs . Elle tombe évanouie . ) AS SUÉR US . Dieux puissants ! quelle étrange pâleur De son ...
... chercher le trépas ? Gardes .... C'est vous , Esther ? quoi ! sans être attendue ? ES THE R. Mes filles , soutenez votre reine éperdue . Je me meurs . Elle tombe évanouie . ) AS SUÉR US . Dieux puissants ! quelle étrange pâleur De son ...
Page 56
... chercher plus loin , tous ces Juifs désolés N'est - ce pas à vous seul que vous les immolez ? Et ne craignez - vous point que quelque avis funeste .... Enfin la cour nous hait , le peuple nous déteste . Ce Juif même , il le faut ...
... chercher plus loin , tous ces Juifs désolés N'est - ce pas à vous seul que vous les immolez ? Et ne craignez - vous point que quelque avis funeste .... Enfin la cour nous hait , le peuple nous déteste . Ce Juif même , il le faut ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
ABNE Abner Agathon aime Aman amour armée assiégés ASSUÉRUS ATHA ATHALIE avez AZARIAS camp chante charmes cher CHŒUR chose CHU R ciel cieux cœur comte d'Auvergne courroux d'Assuérus D'ATHALIE d'Esther David déja Desmarêts dessein devant Dieu dieux dire discours divin Eliacin enfant enfin ennemis Eryximaque Escaut esprit Esprit Saint ESTHER éternelle êtes fille fils funeste fureur gloire grace grand-prêtre Haisne Hélas heureux homme HYDAS HYDASPE innocent ISRA ISRA ÉLITE ISRAELITE j'ai jamais Jéhu Jézabel Joad JOSA Josabet jour Juifs l'amour l'univers laisse lévites Louis main Mardochée maréchal maréchal de Luxembourg marquis de Boufflers MATHA Mathan Meuse monde monsieur mortels Namur nuit paix parler passer père peuple pleurs Port-Royal prêtres prince d'Orange profane qu'à reine reste rois rois de Juda sacrés saint SALOMITH Sambre sang SCENE secours secret Seigneur seul Sion Socrate sœur soin songe sorte temple terre trône troupes veux vois voix yeux Zacharie zèle
Popular passages
Page 157 - De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse. Bientôt ils vous diront que les plus saintes lois, Maîtresses du vil peuple, obéissent aux rois ; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même ; Qu'il doit immoler tout à sa...
Page 93 - Celui qui met un frein à la fureur des flots Sait aussi des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté sainte, Je crains Dieu, cher Abner, et n'ai point d'autre crainte Cependant je rends grâce au zèle officieux Qui sur tous mes périls vous fait ouvrir les yeux.
Page 145 - Quelle Jérusalem nouvelle Sort du fond du désert brillante de clartés , Et porte sur le front une marque immortelle ? Peuples de la terre , chantez : Jérusalem renaît ' plus charmante et plus belle. D'où lui viennent de tous côtés Ces enfants...
Page 269 - Lettres et de ce corps fameux dont vous faites maintenant partie, du moment que des esprits sublimes, passant de bien loin les bornes communes, se distinguent, s'immortalisent par des chefs-d'œuvre, comme ceux de monsieur votre frère , quelque étrange inégalité que, durant leur vie, la fortune mette entre eux et les plus grands héros, après leur mort cette différence cesse.
Page 106 - Vous qui ne connaissez qu'une crainte servile, Ingrats, un Dieu si bon ne peut-il vous charmer? Est-il donc à vos cœurs, est-il si difficile Et si pénible de l'aimer? L'esclave craint le tyran qui l'outrage ; Mais des enfants l'amour est le partage.
Page 95 - L'arche sainte est muette, et ne rend plus d'oracles. JOAD. Et quel temps fut jamais si fertile en miracles ? Quand Dieu par plus d'effets montra-t-il son pouvoir ? Auras-tu donc toujours des yeux pour ne point voir, Peuple ingrat! Quoi! toujours les plus grandes merveilles « Sans ébranler ton cœur frapperont tes oreilles...
Page 135 - J'approchai par degrés de l'oreille des rois, Et bientôt en oracle on érigea ma voix; J'étudiai leur cœur, je flattai leurs caprices-, Je leur semai de fleurs le bord des précipices: Près de leurs passions rien ne me fut sacré; De mesure et de poids je changeais à leur gré. Autant que de Joad l'inflexible rudesse...
Page 102 - Qu'il soit comme le fruit en naissant arraché ; Ou qu'un souffle ennemi dans sa fleur a séché ! Mais si ce même enfant , à tes ordres docile, Doit être à tes desseins un instrument utile...
Page 134 - Qu'est-il besoin , Nabal , qu'à tes yeux je rappelle De Joad et de moi la fameuse querelle , Quand j'osai contre lui disputer l'encensoir ; Mes brigues, mes combats, mes pleurs , mon désespoir?
Page 45 - Je ne trouve qu'en vous je ne sais quelle grâce Qui me charme toujours et jamais ne me lasse.