Pascal et son temps...Plon-Nourrit et cie., 1909 |
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... seizième siècle , la France a failli devenir protestante . A la fin du seizième siècle , il n'y a pas de doute la France reste catholique . Si Henri IV , le chef du parti réformé , abandonne son parti et sa religion en devenant roi de ...
... seizième siècle , la France a failli devenir protestante . A la fin du seizième siècle , il n'y a pas de doute la France reste catholique . Si Henri IV , le chef du parti réformé , abandonne son parti et sa religion en devenant roi de ...
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... seizième siècle , fait bien plus vivement sentir sa présence : ce n'est pas l'appré- hension du lendemain , c'est le malaise d'aujour- d'hui , c'est l'impossibilité actuelle de respirer et de vivre . Et de là cette violence avec ...
... seizième siècle , fait bien plus vivement sentir sa présence : ce n'est pas l'appré- hension du lendemain , c'est le malaise d'aujour- d'hui , c'est l'impossibilité actuelle de respirer et de vivre . Et de là cette violence avec ...
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... seizième siècle — et c'est saint François de Sales qui les - ― représente le mieux ont eu une méthode et un esprit tout opposé : ils ont , non pas simplifié , mais compliqué ; non pas unifié , mais enrichi le sentiment religieux ...
... seizième siècle — et c'est saint François de Sales qui les - ― représente le mieux ont eu une méthode et un esprit tout opposé : ils ont , non pas simplifié , mais compliqué ; non pas unifié , mais enrichi le sentiment religieux ...
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... seizième siècle , elle est venue du dehors . Seulement , au seizième siècle , ce fut le protestantisme qui força la reli- gion orthodoxe à se replier sur elle - même , à so reprendre et à vivre d'une nouvelle vie . Cette fois , la ...
... seizième siècle , elle est venue du dehors . Seulement , au seizième siècle , ce fut le protestantisme qui força la reli- gion orthodoxe à se replier sur elle - même , à so reprendre et à vivre d'une nouvelle vie . Cette fois , la ...
Page 28
... seizième siècle , Bor- deaux est devenu une très grande ville , la pre- mière de France après Paris . Son importance ne lui vient qu'à demi de ses richesses : ce sont les circonstances politiques qui font tourner sur elle tous les ...
... seizième siècle , Bor- deaux est devenu une très grande ville , la pre- mière de France après Paris . Son importance ne lui vient qu'à demi de ses richesses : ce sont les circonstances politiques qui font tourner sur elle tous les ...
Common terms and phrases
aime âme amis Aristote Arnauld athées avaient Balzac beaux-esprits Bordeaux c'était casuistique catholicisme catholique Céladon chapitre choses chrétien Christ cisme cœur contentement d'Épictète déisme déiste Descartes dialogues Dieu dire Doctrine curieuse donne écrit écrit-il édition enseigne Épictète esprit Essais force François de Sales gens gion Guillaume Du Vair Henri homme humaine j'ai jansénisme Jansénius jésuites jugement Juste Lipse justice l'action divine l'âme l'édition l'Église l'esprit l'homme l'incrédulité l'œuvre libertins libre penseur Ligue livre maître Manuductio ment mère Angélique Michel de Montaigne monde Montaigne morale mort mouvement nature naturelle œuvres opinions parle Pascal passer passions péché originel pensée père Garasse père Mersenne Pierre Charron Port-Royal premier prudhomie Quæstiones raison Réforme religion rien Rivaudeau s'il sage sagesse saint Augustin saint François Saint-Cyran Sainte Philosophie scepticisme Sébond seizième siècle Sénèque sens sentiment religieux seulement stoï stoïcien stoïcisme taigne théologie tion tique Traité universelle Vair Vanini Vérité des sciences vertu vivre Voilà volonté vrai
Popular passages
Page 115 - Ma troisième maxime était de tâcher toujours plutôt à me vaincre que la fortune, et à changer mes désirs que l'ordre du monde...
Page 115 - Ma seconde maxime était d'être le plus ferme et le plus résolu en mes actions que je pourrais, et de ne suivre pas moins constamment les opinions les plus douteuses lorsque je m'y serais une fois déterminé, que si elles eussent été très assurées...
Page 48 - Certes, c'est un subject merveilleusement vain, divers et ondoyant, que l'homme. Il est malaisé d'y fonder jugement constant et uniforme.
Page 114 - La première était d'obéir aux lois et aux coutumes de mon pays , retenant constamment la religion en laquelle Dieu m'a fait la grâce d'être instruit dès mon enfance , et me gouvernant en toute autre chose suivant les opinions les plus modérées et les plus éloignées de l'excès qui fussent communément reçues en pratique par les mieux sensés de ceux avec lesquels j'aurais à vivre.
Page 242 - De vray, ou la raison se mocque, ou elle ne doit viser qu'à nostre contentement, et tout son travail, tendre en somme à nous faire bien vivre, et à nostre aise, comme dict la Sainte Escriture.
Page 43 - Les hommes (dit une sentence grecque ancienne) sont tourmentés par les opinions qu'ils ont des choses, non par les choses mêmes.
Page 105 - La Doctrine des mœurs tirée de la philosophie des stoïques, représentée en cent tableaux et expliquée en cent discours pour l'instruction de la jeunesse [Paris, 1646].
Page 120 - ... subsister seul, et qu'on est en effet l'une des parties de l'univers, et plus particulièrement encore l'une des parties de cette terre, l'une des parties de cet État, de cette société, de cette famille, à laquelle on est joint par sa demeure, par son serment, par sa naissance...
Page 242 - ... ne se doive jamais attribuer à l'homme, qu'on ne luy aye veu jouer le dernier acte de sa comédie, et sans doute le plus difficile. En tout le reste il y peut avoir du masque : ou ces beaux discours "de la Philosophie ne sont en nous que par contenance...
Page 182 - Bref le vulgaire est une bête sauvage ; tout ce qu'il pense n'est que vanité, tout ce qu'il dit est...