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" L'homme est un apprenti, la douleur eSt son maître, Et nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert. "
L'art au point de vue sociologique - Page 174
by Jean-Marie Guyau - 1889 - 387 pages
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Poésies complètes: Contes d'Espagne et d'Italie ; Poésies diverses ; Un ...

Alfred de Musset - 1841 - 456 pages
...tu te plains t'a préservé peut-être , Enfant ; car c'est par là que ton cœur s'est ouvert. » L'homme est un apprenti, la douleur est son maître,...Et nul ne se connaît, tant qu'il n'a pas souffert. C'est une dure loi , mais une loi suprême , Vieille comme le monde et la fatalité, Qu'il nous faut...
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Poésies complètes de Alfred de Musset

Alfred de Musset - French poetry - 1849 - 428 pages
...dont lu te plains t'a préservé peut-être, Enfant; car c'est par là que ton cœur s'est ouvert. L'homme est un apprenti, la douleur est son maître,...Et nul ne se connaît, tant qu'il n'a pas souffert. C'est une dure loi, mais une loi suprême, Vieille comme le monde et la fatalité, Qu'il nous faut...
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Poésies nouvelles de Alfred de Musset: 1836-1852--

Alfred de Musset - 1852 - 306 pages
...dont tu te plains t'a préservé peut-être, Enfant; car c'est par là que ton cœur s'est ouvert. L'homme est un apprenti, la douleur est son maître,...Et nul ne se connaît, tant qu'il n'a pas souffert. C'est une dure loi, mais une loi suprême^ Vieille comme le monde et la fatalité, Qu'il nous faut...
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Les poëtes français: Morceaux choisis dans les meilleurs poëtes du XIXe siècle

A. Roche - 1853 - 720 pages
...dont tu te plains t'a préservé peut-être, Enfant ; car c'est par là que ton cœur s'est ouvert. L'homme est un apprenti, la douleur est son maître,...Et nul ne se connaît, tant qu'il n'a pas souffert. C'est une dure loi, mais une loi suprême, Vieille comme le monde et la fatalité, Qu'il nous faut...
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Cours familier de littérture: une entretien par mois, Volume 4

Alphonse de Lamartine - Authors, French - 1857 - 594 pages
...dont tu te plains t'a préservé peut-être, Enfant; car c'est par là que ton cœur s'est ouvert. L'homme est un apprenti, la douleur est son maître,...Et nul ne se connaît, tant qu'il n'a pas souffert. C'est une dure loi , mais une loi suprême , Vieille comme le monde et la fatalité , Qu'il nous faut...
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Poésies nouvelles

Alfred de Musset - 1859 - 340 pages
...dont tu te plains t'a préservé peut-être, Enfant ; car c'est par là que ton cœur s'est ouvert. L'homme est un apprenti, la douleur est son maître,...Et nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert. C'est une dure loi, mais une loi suprême, Vieille comme le monde et la TataliIé, Qu'il nous faut...
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Eux et elles: histoire d'un scandale

Mathurin Lescure - 1860 - 164 pages
...dont tu me plains m'a préservé peut-être, Frère; car c'est par là que mon cœur s'est ouvert. L'homme est un apprenti, la douleur est son maître, Et nul ne se connaît tant qu'it n'a pas souffert. C'est une dure loi, mais une loi suprême, Vieille comme le monde et la fatalité,...
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Revue de l'Anjou et de Maine et Loire

1861 - 324 pages
...douleur, sur l'épreuve salutaire qu'elle impose à l'homme, des accents d'une admirable éloquence : L'homme est un apprenti ; la douleur est son maître,...Et nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert. C'est une dure loi, mais une loi suprême, Vieille comme le monde et la fatalité, Qu'il nous faut...
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Revue nationale et étranǵre, politique, scientifique et littéraire, publ ...

Revue nationale et étrangère - 1861 - 654 pages
...douleur, sur l'épreuve salutaire qu'elle impose à l'homme, des accents d'une admirable éloquence : L'homme est un apprenti; la douleur est son maître,...Et nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert. C'est une dure loi, mais une loi suprême, Vieille comme le monde et la fatalité, Qu'il nous faut...
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Revue nationale et étrangère politique, scientifique et littéraire, Volume 2

Periodicals - 1861 - 650 pages
...douleur, sur l'épreuve salutaire qu'elle impose à l'homme, des accents d'une admirable éloquence : L'homme est un apprenti; la douleur est son maître,...Et nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert. C'est une dure loi, mais une loi suprême, Vieille comme le monde et la fatalité, Qu'il nous faut...
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