J'aurais bien pu me remonter; je commençais même à comprendre que pour gagner du bien, le savoir-faire vaut mieux que le savoir. Mais comme chacun pillait autour de moi, en exigeant que je fusse honnête, il fallut bien périr encore. Théåtre des auteurs du second ordre ... - Page 290by Répertoire général du Théåtre Français - 1814Full view - About this book
| C. J. Cunninghame - 1808 - 208 pages
...bien., le pouvoir vaut mieux que le savoir. J'aurais bien pu me0 remonter; mais comme chacun pillait autour' de moi , en exigeant que je fusse -honnête ; il fallut bien périr encore Pour 'le coup 'je quittais le inonde, et vingt brasses d'eau" m'en allaient séparer , lorsqu'un dieu bienfaisant me"... | |
| Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1809 - 656 pages
...comprendre que pour gagner du bien, le savoir faire vaut mieux que fre savoir. Mais comme chacun pillait autour de moi , en exigeant que je fusse honnête ; il fallut bien périr encore. Pour le coup je quittais le monde; et vingt brasses d'eau m'en allaient séparer : lorsqu'un Dieu bienfesant m'appele... | |
| French drama - 1822 - 434 pages
...maison , en retenant pour elles les trois quarts du profit. J'aurois bien pu me remonter; je commençois même à comprendre que , pour gagner du bien, le...chacun pilloit autour de moi , en exigeant que je fasse honnête , il fallut bien périr encore. Pour le coup je quittois le monde , et vingt brasses... | |
| Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1828 - 516 pages
...elles les trois quarts du profit. J'aurais bien pu me remonter; je commençais même à com, prendre que, pour gagner du bien, le savoir-faire vaut mieux que le savoir. Mais comme chacun pillait autour de moi en exigeant que je fusse honnête , il fallut bien périr encore. Pour le coup... | |
| Guyet de Fernex - French literature - 1843 - 576 pages
...maison, en retenant pour elles les trois quarts du profit. J'aurais bien pu me remonter ; je commençais même à comprendre que pour gagner du bien, le savoir-faire vaut mieux que le savoir... Mais, comme chacun pillait autour de moi, en exigeant que je fusse honnête, il fallut bien périr encore. Pour le coup,... | |
| Chapsal (M., Charles Pierre) - Authors, French - 1845 - 372 pages
...maison, en retenant pour elles les trois quarts du profit. J'aurais bien pu me remonter ; je commençais même à comprendre que pour gagner du bien, le savoir-faire vaut mieux que le savoir. Mais, comme chacun pillait autour de moi, en exigeant que je fusse honnête, il fallut bien périr encore. Pour le coup... | |
| Marin J George de La Voye - 1845 - 348 pages
...maison, en retenant pour elles les trois quarts du profit. J'aurais bien pu me remonter ; je commençais même à comprendre que pour gagner du bien, le savoir-faire vaut mieux que le savoir. Mais, comme chacun pillait autour de moi, en exigeant que je fusse honnête, il fallut bien périr encore. Pour le coup... | |
| Antonin Roche - 1845 - 766 pages
...maison en retenant pour elles les trois quarts du profit. J'aurais bien pu me remonter; je commençais même à comprendre que, pour gagner du bien, le savoirfaire vaut mieux que le savoir. Mais comme chacun pillait autour de moi, en exigeant que je fusse honnête, il fallut bien périr encore. Pour le coup... | |
| Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais - French drama - 1846 - 616 pages
...comprendre que, pour gagner du bieu, le savoir-faire vaut mieux que le savoir. Mais comme chacun pillait autour de moi, en exigeant que je fusse honnête, il fallut bien périr encore. Pour le coup je quittais le monde , et vingt brasses d'eau allaient m'en séparer, lorsqu'un dieu bienfaisant m'appelle... | |
| Ed Mennechet - European literature - 1846 - 488 pages
...que, pour i gagner du bien , le savoir-faire vaut mieux que le sa» voir. Mais, comme chacun pillait autour de moi, en » exigeant que je fusse honnête, il fallut bien périr en» core. Pour le coup, je quittais le monde, et vingt iv. 30 ii brasses d'eau m'en allaient séparer,... | |
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