Théåtre des auteurs du second ordre ...Ménard fils, 1814 |
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... ai jamais parlé , il me prendroit pour un espagnol du temps d'Isabelle . - Pourquoi non ? chacun court après le bonheur . Il est pour moi dans le cœur de Rosine . Mais , quoi ! suivre une femme à Séville , quand Ma- drid et la cour ...
... ai jamais parlé , il me prendroit pour un espagnol du temps d'Isabelle . - Pourquoi non ? chacun court après le bonheur . Il est pour moi dans le cœur de Rosine . Mais , quoi ! suivre une femme à Séville , quand Ma- drid et la cour ...
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... ai vu cet abbé - là quelque part . ( Il se relève . ) LE COMTE , à part . Cet homme ne m'est pas inconnu . Et non , noble ... FIGARO . ce n'est pas un abbé ; cet air altier et figure LE COMTE . Cette tourhure grotesque . FIGARO . Je ne ...
... ai vu cet abbé - là quelque part . ( Il se relève . ) LE COMTE , à part . Cet homme ne m'est pas inconnu . Et non , noble ... FIGARO . ce n'est pas un abbé ; cet air altier et figure LE COMTE . Cette tourhure grotesque . FIGARO . Je ne ...
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... l'ai obtenu , Monseigneur ; et ma reconnois- sance ... LE COMTE . Appelle - moi Lindor . Ne vois - tu pas , à mon dé guisement , que je veux être inconnu ? Je me retire . FIGARO . LE COMTE . Au contraire . J'attends ici quelque chose ...
... l'ai obtenu , Monseigneur ; et ma reconnois- sance ... LE COMTE . Appelle - moi Lindor . Ne vois - tu pas , à mon dé guisement , que je veux être inconnu ? Je me retire . FIGARO . LE COMTE . Au contraire . J'attends ici quelque chose ...
Page 14
... ai vu là griffonnant sur ton genou et chantant dès le matin . FIGARO . Voilà précisément la cause de mon malheur , excellence . Quand on a rapporté au ministre que je faisois , je puis dire , assez joliment des bouquets à Cloris , que j ...
... ai vu là griffonnant sur ton genou et chantant dès le matin . FIGARO . Voilà précisément la cause de mon malheur , excellence . Quand on a rapporté au ministre que je faisois , je puis dire , assez joliment des bouquets à Cloris , que j ...
Page 15
... ai cru que c'étoit elle .... Dis toujours , je t'entends de reste . FIGARO . De retour à Madrid , je voulus essayer de nou- veau mes talens littéraires , et le théâtre me parut un champ d'honneur ... LE COMTE . Ah ! miséricorde ! FIGARO ...
... ai cru que c'étoit elle .... Dis toujours , je t'entends de reste . FIGARO . De retour à Madrid , je voulus essayer de nou- veau mes talens littéraires , et le théâtre me parut un champ d'honneur ... LE COMTE . Ah ! miséricorde ! FIGARO ...
Common terms and phrases
ACTE allez alloit amour ANTONIO assez avez avoit baise BARBIER DE SÉVILLE BARTHOLO belle billet bras BRID'OISON cabinet chante chapeau charmant château cher chercher CHERUBIN chose clavecin cœur colère comte Almaviva COMTESSE couplet cousin diable dire docteur don Bazile DOUBLE-MAIN Ellé épingle épouser Est-ce éternuant êtes étoit FANCHETTE fauteuil femme fenêtre FIGARO fille fripon genoux gnian GRIPE-SOLEIL guitare habit homme j'ai j'avois j'en j'étois jalousie jette jeune jeunesse jolie l'ai l'air l'amour l'épouserai l'instant lettre Lindor m'en Madame Madrid main maîtresse manteau MARCELINE mariage MARIAGE DE FIGARO matin ment Messieurs Monseigneur monsieur le Comte montrant noce notaire papier pardon paroît pavillon PÉDRILLE personne petit plaisir prend Qu'est-ce raison regarde révérence riant rien ROSINE ruban s'il sais sauté SCÈNE VIII sera ma femme seroit seul soir SUZANNE Suzon théâtre toque tuteur UBIN vais valets veste veux víte voilà vois voudrois voulez-vous XLIX
Popular passages
Page 290 - ... pourvu que je ne parle en mes écrits, ni de l'autorité, ni du culte, ni de la politique, ni de la morale, ni des gens en place, ni des corps en crédit, ni de l'opéra, ni des autres spectacles, ni de personne qui tienne à quelque chose, je puis tout imprimer librement, sous l'inspection de deux ou trois censeurs.
Page 291 - ... sans savoir si elle est à moi plus que le reste, ni même quel est ce moi dont je m'occupe : un assemblage informe de parties inconnues ; puis un chétif être imbécile ; un petit animal folâtre ; un jeune homme ardent au plaisir, ayant tous les goûts pour jouir, faisant tous les métiers pour vivre ; maître ici, valet là, selon qu'il plaît à la fortune ; ambitieux par vanité, laborieux par nécessité, mais paresseux.
Page 290 - Je reprends ma trousse, et mon cuir anglais ; puis, laissant la fumée aux sots qui s'en nourrissent, et la honte au milieu du chemin, comme trop lourde à un piéton, je vais rasant de ville en ville, et je vis enfin sans souci.
Page 14 - Je me crus trop heureux d'en être oublié, persuadé qu'un grand nous fait assez de bien quand il ne nous fait pas de mal.
Page 288 - ... mis une pierre au cou ! Je broche une comédie dans les mœurs du sérail. Auteur espagnol, je crois pouvoir y fronder Mahomet sans scrupule : à l'instant un envoyé... de je ne sais où se plaint que j'offense...
Page 289 - Las de nourrir un obscur pensionnaire, on me met un jour dans la rue ; et comme il faut dîner, quoiqu'on ne soit plus en prison, je taille encore ma plume, et demande à chacun de quoi il est question : on me dit que pendant ma retraite économique, il s'est établi dans Madrid un système de liberté sur la vente des productions, qui s'étend même à celles de la presse ; et que, pourvu que je ne parle en...
Page 288 - Parce que vous êtes un grand seigneur, vous vous croyez un grand génie!... noblesse, fortune, un rang, des places, tout cela rend si fier ! Qu'avez-vous fait pour tant de biens? vous vous êtes donné la peine de naître, et rien de plus : du reste, homme assez ordinaire ! tandis que moi, morbleu, perdu dans la foule obscure, il m'a fallu déployer plus de science et de calculs pour subsister seulement, qu'on n'en a mis depuis cent ans à gouverner toutes les Espagnes; et vous voulez jouter!...
Page 289 - Barca, de Tripoli, de Tunis, d'Alger et de Maroc: et voilà ma comédie flambée, pour — plaire aux princes mahométans, dont pas un, je crois, ne sait lire, et qui nous meurtrissent l'omoplate, en nous disant: chiens de chrétiens ! — Ne pouvant avilir l'esprit, on se venge ^ en le maltraitant.
Page 290 - J'aurais bien pu me remonter; je commençais même à comprendre que pour gagner du bien, le savoir-faire vaut mieux que le savoir. Mais comme chacun pillait autour de moi, en exigeant que je fusse honnête, il fallut bien périr encore.
Page 82 - BARTHOLO Vous le prenez bien haut, monsieur ! Sachez que quand je dispute avec un fat, je ne lui cède jamais.