Théåtre des auteurs du second ordre ...Ménard fils, 1814 |
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... jetant son large manteau , paroît en habit magnifique . O la plus aimée des femmes ! il n'est plus temps de vous abuser : l'heureux homme que vous voyez à vos pieds n'est point Lindor ; je suis le comte Almaviva , qui meurt d'amour , et ...
... jetant son large manteau , paroît en habit magnifique . O la plus aimée des femmes ! il n'est plus temps de vous abuser : l'heureux homme que vous voyez à vos pieds n'est point Lindor ; je suis le comte Almaviva , qui meurt d'amour , et ...
Page 117
... jetant une bourse . Vous faites l'enfant . Signez donc vîte . BAZILE , élonné . Ah ! ah ! ... FIGARO . Où donc est la difficulté de signer ? BAZILE , pesant la bourse . Il n'y en a 10 ACTE IV , SCÈNE VII . 317 LE NOTAIRE. ...
... jetant une bourse . Vous faites l'enfant . Signez donc vîte . BAZILE , élonné . Ah ! ah ! ... FIGARO . Où donc est la difficulté de signer ? BAZILE , pesant la bourse . Il n'y en a 10 ACTE IV , SCÈNE VII . 317 LE NOTAIRE. ...
Page 169
... jetant dans une bergère . ERME la porte , Suzanne , et conte - moi tout dans le plus grand détail . SUZANN E. Je n'ai rien caché à Madame . LA COMTESSE . Quoi ! Suzon , il vouloit te séduire ? SUZANNE . Oh ! que non . Monseigneur n'y ...
... jetant dans une bergère . ERME la porte , Suzanne , et conte - moi tout dans le plus grand détail . SUZANN E. Je n'ai rien caché à Madame . LA COMTESSE . Quoi ! Suzon , il vouloit te séduire ? SUZANNE . Oh ! que non . Monseigneur n'y ...
Page 197
... jetant à ses genoux , les bras élevés . Monsieur le Comte , épargnez un enfant ; je ne me consolerai pas d'avoir causé ... LE COMTE , Vos frayeurs aggravent son crime . LA COM TESSE . Il n'est pas coupable , il partoit : c'est moi qui l ...
... jetant à ses genoux , les bras élevés . Monsieur le Comte , épargnez un enfant ; je ne me consolerai pas d'avoir causé ... LE COMTE , Vos frayeurs aggravent son crime . LA COM TESSE . Il n'est pas coupable , il partoit : c'est moi qui l ...
Page 198
... jetant sur une bergère , un mou- choir sur les yeux . O ciel ! il va périr . LE COMTE Ouvre la porte , et recule . C'est Suzanne ! SCENE X VII . LA COMTESSE , LE COMTE , SUZANNE . SUZANNE sort en riant . « JE le tuerai , je le tuerai ...
... jetant sur une bergère , un mou- choir sur les yeux . O ciel ! il va périr . LE COMTE Ouvre la porte , et recule . C'est Suzanne ! SCENE X VII . LA COMTESSE , LE COMTE , SUZANNE . SUZANNE sort en riant . « JE le tuerai , je le tuerai ...
Common terms and phrases
ACTE allez alloit amour ANTONIO assez avez avoit baise BARBIER DE SÉVILLE BARTHOLO belle billet bras BRID'OISON cabinet chante chapeau charmant château cher chercher CHERUBIN chose clavecin cœur colère comte Almaviva COMTESSE couplet cousin diable dire docteur don Bazile DOUBLE-MAIN Ellé épingle épouser Est-ce éternuant êtes étoit FANCHETTE fauteuil femme fenêtre FIGARO fille fripon genoux gnian GRIPE-SOLEIL guitare habit homme j'ai j'avois j'en j'étois jalousie jette jeune jeunesse jolie l'ai l'air l'amour l'épouserai l'instant lettre Lindor m'en Madame Madrid main maîtresse manteau MARCELINE mariage MARIAGE DE FIGARO matin ment Messieurs Monseigneur monsieur le Comte montrant noce notaire papier pardon paroît pavillon PÉDRILLE personne petit plaisir prend Qu'est-ce raison regarde révérence riant rien ROSINE ruban s'il sais sauté SCÈNE VIII sera ma femme seroit seul soir SUZANNE Suzon théâtre toque tuteur UBIN vais valets veste veux víte voilà vois voudrois voulez-vous XLIX
Popular passages
Page 290 - ... pourvu que je ne parle en mes écrits, ni de l'autorité, ni du culte, ni de la politique, ni de la morale, ni des gens en place, ni des corps en crédit, ni de l'opéra, ni des autres spectacles, ni de personne qui tienne à quelque chose, je puis tout imprimer librement, sous l'inspection de deux ou trois censeurs.
Page 291 - ... sans savoir si elle est à moi plus que le reste, ni même quel est ce moi dont je m'occupe : un assemblage informe de parties inconnues ; puis un chétif être imbécile ; un petit animal folâtre ; un jeune homme ardent au plaisir, ayant tous les goûts pour jouir, faisant tous les métiers pour vivre ; maître ici, valet là, selon qu'il plaît à la fortune ; ambitieux par vanité, laborieux par nécessité, mais paresseux.
Page 290 - Je reprends ma trousse, et mon cuir anglais ; puis, laissant la fumée aux sots qui s'en nourrissent, et la honte au milieu du chemin, comme trop lourde à un piéton, je vais rasant de ville en ville, et je vis enfin sans souci.
Page 14 - Je me crus trop heureux d'en être oublié, persuadé qu'un grand nous fait assez de bien quand il ne nous fait pas de mal.
Page 288 - ... mis une pierre au cou ! Je broche une comédie dans les mœurs du sérail. Auteur espagnol, je crois pouvoir y fronder Mahomet sans scrupule : à l'instant un envoyé... de je ne sais où se plaint que j'offense...
Page 289 - Las de nourrir un obscur pensionnaire, on me met un jour dans la rue ; et comme il faut dîner, quoiqu'on ne soit plus en prison, je taille encore ma plume, et demande à chacun de quoi il est question : on me dit que pendant ma retraite économique, il s'est établi dans Madrid un système de liberté sur la vente des productions, qui s'étend même à celles de la presse ; et que, pourvu que je ne parle en...
Page 288 - Parce que vous êtes un grand seigneur, vous vous croyez un grand génie!... noblesse, fortune, un rang, des places, tout cela rend si fier ! Qu'avez-vous fait pour tant de biens? vous vous êtes donné la peine de naître, et rien de plus : du reste, homme assez ordinaire ! tandis que moi, morbleu, perdu dans la foule obscure, il m'a fallu déployer plus de science et de calculs pour subsister seulement, qu'on n'en a mis depuis cent ans à gouverner toutes les Espagnes; et vous voulez jouter!...
Page 289 - Barca, de Tripoli, de Tunis, d'Alger et de Maroc: et voilà ma comédie flambée, pour — plaire aux princes mahométans, dont pas un, je crois, ne sait lire, et qui nous meurtrissent l'omoplate, en nous disant: chiens de chrétiens ! — Ne pouvant avilir l'esprit, on se venge ^ en le maltraitant.
Page 290 - J'aurais bien pu me remonter; je commençais même à comprendre que pour gagner du bien, le savoir-faire vaut mieux que le savoir. Mais comme chacun pillait autour de moi, en exigeant que je fusse honnête, il fallut bien périr encore.
Page 82 - BARTHOLO Vous le prenez bien haut, monsieur ! Sachez que quand je dispute avec un fat, je ne lui cède jamais.