OeuvresArkstée et Merkus, 1773 |
From inside the book
Results 1-5 of 21
Page
Charles-Louis de Secondat de Montesquieu. 1 ( LAUSANNE UNIVERSITAIRE HO JE MAINT PENS A SON ALTESSE SÉRÉNISSIME GUILLAUME V.
Charles-Louis de Secondat de Montesquieu. 1 ( LAUSANNE UNIVERSITAIRE HO JE MAINT PENS A SON ALTESSE SÉRÉNISSIME GUILLAUME V.
Page
Charles-Louis de Secondat de Montesquieu. HO JE MAINT PENS A SON ALTESSE SÉRÉNISSIME GUILLAUME V. PRINCE D'ORANGE ET DE NASSAU , * HEREDITAIRE , CAPITAINE - GÉNÉRAL , E T ADMIRAL DES.
Charles-Louis de Secondat de Montesquieu. HO JE MAINT PENS A SON ALTESSE SÉRÉNISSIME GUILLAUME V. PRINCE D'ORANGE ET DE NASSAU , * HEREDITAIRE , CAPITAINE - GÉNÉRAL , E T ADMIRAL DES.
Page ii
... Son trifaïeul , Jean de Secondat , maître d'hôtel de Hen- ri II , roi de Navarre , & enfuite de Jeanne fille de ce roi , qui époufa Antoine de Bour- bon , acquit la terre de Montefquieu d'une fomme de 10000 livres que cette princeffe ...
... Son trifaïeul , Jean de Secondat , maître d'hôtel de Hen- ri II , roi de Navarre , & enfuite de Jeanne fille de ce roi , qui époufa Antoine de Bour- bon , acquit la terre de Montefquieu d'une fomme de 10000 livres que cette princeffe ...
Page xii
... Son difcours eft un des meilleurs qu'on ait prononcés dans une pareille oc- cafion : le mérite en eft d'autant plus grand , que les récipiendaires , gênés jufqu'alors par ces formules & ces éloges d'ufage , aux- quels une efpece de ...
... Son difcours eft un des meilleurs qu'on ait prononcés dans une pareille oc- cafion : le mérite en eft d'autant plus grand , que les récipiendaires , gênés jufqu'alors par ces formules & ces éloges d'ufage , aux- quels une efpece de ...
Page xiii
... lettres . Mais , pour fe rendre utile par fes ouvra ges aux différentes nations , il étoit nécef- faire qu'il les connût . Ce fut dans cette vue qu'il entreprit de voyager . Son but étoit d'examiner par DE M. DE MONTESQUIEU . xiij.
... lettres . Mais , pour fe rendre utile par fes ouvra ges aux différentes nations , il étoit nécef- faire qu'il les connût . Ce fut dans cette vue qu'il entreprit de voyager . Son but étoit d'examiner par DE M. DE MONTESQUIEU . xiij.
Other editions - View all
Common terms and phrases
accufé affez ainfi ainſi Athenes auffi auroit avoient avoit befoin c'eft c'eſt caufe ceffe CHAP CHAPITRE Charles de Secondat chofes choſe citoyen civiles conféquent conferver conftitution confuls connoître corps crimes defpotifme démocratie Denys d'Halicarnaffe diftinctions diftinguer doit doivent efclaves efpece efprit enfans eſt établi états defpotiques étoient étoit fans fénat fénateurs fent feroient feroit fervir feul fociété foibleffe foient foit font fous fouvent fouverain fubfifter fuffrages fuivant fujet fur-tout fûreté gens gouvernemens gouvernement defpotique hommes jufte jugemens juger l'efprit des loix l'état Lacédémone laiffe législateur légiſlative liberté lorfque luxe magiftrats magiftrature maniere mœurs monarchie monarque Montefquieu n'eft n'eſt n'étoit nation nature néceffaire paffer paffions particulieres peine perfonne peuple Platon plufieurs Plutarque politique pourroit pouvoir prefque premiere préteurs prince puiffance exécutrice puiffe puiſſance raifon reffort refpect refte république richeffes Romains Rome Servius Tullius ſes tion Tite-Live toyens vertu
Popular passages
Page xc - Mais quand j'ai découvert mes principes, tout ce que je cherchais est venu à moi, et dans le cours de vingt années, j'ai vu mon ouvrage commencer, croître, s'avancer et finir.
Page 2 - Ceux qui ont dit qu'une fatalité aveugle a produit tous les effets que nous voyons dans le monde, ont dit une grande absurdité; car quelle plus grande absurdité qu'une fatalité aveugle qui aurait produit des êtres intelligents?
Page 276 - Si l'on veut lire l'admirable ouvrage de Tacite sur les mœurs des Germains, on verra que c'est d'eux que les Anglais ont tiré l'idée de leur gouvernement politique. Ce beau système a été trouvé dans les bois.
Page 32 - Portugal depuis la perte de leurs lois, sans ce pouvoir qui arrête seul la puissance arbitraire ? Barrière toujours bonne, lorsqu'il n'y en a point d'autre : car, comme le despotisme cause à la nature humaine des maux effroyables, le mal même qui le limite est un bien.
Page 38 - La Force des lois dans l'un , le bras du prince toujours levé dans l'autre , règlent ou contiennent tout. Mais , dans un état populaire , il faut un ressort de plus , qui est la VERTU.
Page 196 - Le principe de la monarchie se corrompt lorsque des âmes singulièrement lâches tirent vanité de la grandeur que pourrait avoir leur servitude, et qu'elles croient que ce qui fait que l'on doit tout au prince fait que l'on ne doit rien à sa patrie.
Page 271 - Mais les juges de la nation ne sont, comme nous avons dit, que la bouche qui prononce les paroles de la loi; des êtres inanimés qui n'en peuvent modérer ni la force ni la rigueur.
Page 87 - Il ya beaucoup à gagner, en fait de mœurs , à garder les coutumes anciennes. Comme les peuples corrompus font rarement de grandes choses , qu'ils n'ont guère établi de sociétés, fondé de villes , donné de...
Page 260 - Tout serait perdu si le même homme, ou le même corps des principaux , ou des nobles , ou du peuple, exerçaient ces trois pouvoirs : celui de faire des lois, celui d'exécuter les résolutions publiques, et celui de juger les crimes ou les différends des particuliers.
Page lxxxvi - J'ai posé les principes, et j'ai vu les cas particuliers s'y plier comme d'eux-mêmes, les histoires de toutes les nations n'en être que les suites, et chaque loi particulière liée avec une autre loi, ou dépendre d'une autre plus générale.