Lettres de Madame de Sévigné à sa fille et à ses amis, Volume 7Bossange, Masson et Besson, 1806 - 527 pages |
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Adieu affaires agréable aimable aime aise amitié assez assure Auray auroit avez Avignon avoit Balaruc beau Bigorre Brest Bretagne c'étoit Carman cher Cousin chère belle chère Comtesse chère enfant chère fille Chevalier chose cœur complimens Comte Comte d'Estrées connoissez Corbinelli crois d'Arles députation Dieu dimanche dire disoit douleur Duc de Chaulnes Duchesse Duchesse de Chaulnes écrire enfin envie esprit Etats êtes étoient étoit fâchée faisoit Fayette femme fils homme j'ai j'avois J'embrasse j'en j'étois joie jolie l'Abbé l'autre jour long-tems m'en Madame de Chaulnes Madame de Coulanges Madame de Grignan Madame de Lavardin Madame de Sévigné Mademoiselle mande Maréchal d'Estrées Martillac mercredi mille monde Monsieur n'ai n'avoit Pape parler paroît passer Pauline pauvre pense personne petite plaisir Pommereuil Provence raison ravie Rennes Revel rien Rochers Rome sais santé sera seroit songe sorte souhaite tems très-aimable très-chère trouve vérité Versailles veux voilà voudrois voyage Voyez la Lettre vrai
Popular passages
Page 23 - Je lui dis : Sire, il en a beaucoup; mais en vérité ces jeunes personnes en ont beaucoup aussi : elles entrent dans le sujet, comme si elles n'avaient jamais fait autre chose.
Page 22 - Je ne puis vous dire l'excès de l'agrément de cette pièce : c'est une chose qui n'est pas aisée à représenter, et qui ne sera jamais imitée ; c'est un rapport de la musique, des vers, des chants, des personnes, si parfait et si complet, qu'on n'y souhaite rien...
Page 436 - Mon père, ne me pressez point." Le Père continue. Enfin Despréaux le prend par le bras, et le serrant bien fort, lui dit: "Mon Père, vous le voulez. Eh bien!
Page 22 - Le roi vint vers nos places, et, après avoir tourné, il s'adressa à moi, et me dit: 'Madame, je suis assuré que vous avez été contente.' Moi, sans m'étonner, je répondis: 'Sire, je suis charmée, ce que je sens est au-dessus des paroles.' Le roi me dit :
Page 430 - Turenne, madame de Montausier, M. le prince, feu MADAME, la reine d'Angleterre; nous admirons ce portrait de Cronrwell1; ce sont des chefs-d'œuvre d'éloquence qui charment l'esprit : il ne faut point dire : « Oh! cela est vieux; » non, cela n'est point vieux, cela est divin.
Page 335 - ... leurs plaisirs, leurs affaires, leurs vies, quand il est question de lui obéir et de lui plaire? et on leur plaindra un honneur, une distinction, une occasion de faire plaisir à des gens de qualité dans une Province ! Et pourquoi veulent-ils être aimés et honorés, et faire donc les Rois?
Page 292 - ... pas de quoi il est question présentement. Il est question, ma belle, qu'il ne faut point que vous passiez l'hiver en Bretagne, à quelque prix que ce soit; vous êtes vieille, les Rochers sont pleins de bois ; les catarrhes et les fluxions vous accableront; vous vous ennuierez, votre esprit deviendra triste et baissera : tout cela est sûr , et les choses du monde ne sont rien en comparaison de tout ce que je vous dis.
Page 497 - Polignac dans votre société; je suis ravie de son souvenir ; c'est un des hommes du monde dont l'esprit me paroît le plus agréable : il sait tout, il parle de tout; il a toute la douceur, la vivacité, la complaisance qu'on peut souhaiter dans le commerce.
Page 203 - ... un mot dont je n'avois jamais entendu parler; mais il est de votre père Descartes , je l'honore à cause de vous. On trouve ici à tout moment de ses neveux , de ses nièces , tous fort honnêtes et fort aimables. Cette humeur n'est donc point tenace, elle laisse revenir à la raison ; et le même cœur qui...
Page 507 - ... vous passerez, et à peu près le temps ; vous y trouverez de nos lettres. Je suis dans des vapeurs les plus tristes et les plus cruelles où l'on puisse être ; il n'ya qu'à souffrir, quand c'est la volonté de Dieu. C'est du meilleur de mon cœur que j'approuve votre voyage de Provence ; je vous le dis sans flatterie, et nous l'avions pensé, Madame de Lavardin et moi, sans savoir en aucune façon que ce fût votre dessein.