Montesquieu. Voltaire. L'Encyclopédie. J.-J. Rousseau. Résumé généralLibrairie Internationale, 1864 - French literature |
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... respect des dieux d'Homère , cette savante tolérance réspirent dans son pre- mier essai où il établit que les païens ne sont pas , de plein droit , frappés de damnation éternelle , opi- nion d'ailleurs soutenue par plusieurs évêques ...
... respect des dieux d'Homère , cette savante tolérance réspirent dans son pre- mier essai où il établit que les païens ne sont pas , de plein droit , frappés de damnation éternelle , opi- nion d'ailleurs soutenue par plusieurs évêques ...
Page 22
... respect des dieux , la religion du serment , le sentiment du devoir , le mépris de la vie et des richesses et l'amour de la gloire étaient dans tous les rangs autant de forces vives , également propres à la discipline et à l'action ...
... respect des dieux , la religion du serment , le sentiment du devoir , le mépris de la vie et des richesses et l'amour de la gloire étaient dans tous les rangs autant de forces vives , également propres à la discipline et à l'action ...
Page 27
... respect qu'elle imprima à la terre . Elle mit d'abord les rois dans le silence , et les rendit comme stupides . C'est la folie des conquérants de vouloir donner à tous les peuples leurs lois et leurs coutumes ; cela n'est bon à rien ...
... respect qu'elle imprima à la terre . Elle mit d'abord les rois dans le silence , et les rendit comme stupides . C'est la folie des conquérants de vouloir donner à tous les peuples leurs lois et leurs coutumes ; cela n'est bon à rien ...
Page 30
... respect , n'était qu'un amour de l'égalité . Les peuples d'Italie étant de- venus ses citoyens , chacun y apporta son génie , ses intérêts par- ticuliers , et sa dépendance de quelque grand protecteur . La ville déchirée ne forma plus ...
... respect , n'était qu'un amour de l'égalité . Les peuples d'Italie étant de- venus ses citoyens , chacun y apporta son génie , ses intérêts par- ticuliers , et sa dépendance de quelque grand protecteur . La ville déchirée ne forma plus ...
Page 61
... respect du juste et du vrai ; il fit le bien sans ostentation , et goûta la paix d'une bonne con- science . Il a été donné à peu d'hommes de pou- voir dire comme lui : « Chaque jour , je m'éveille « en revoyant la lumière avec une joie ...
... respect du juste et du vrai ; il fit le bien sans ostentation , et goûta la paix d'une bonne con- science . Il a été donné à peu d'hommes de pou- voir dire comme lui : « Chaque jour , je m'éveille « en revoyant la lumière avec une joie ...
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Common terms and phrases
aimer Alaric âme amour beau Bossuet Charles XII choses Cicéron citoyen cœur conscience Corneille d'Alembert despotisme Diderot Dieu dire divine dix-huitième siècle dogme écrit éloquence esprit fanatisme force génie genre humain gloire gouvernement grandeur Grèce guerre HARANGUES Henri IV HENRIADE héros histoire hommes j'ai jamais jeunesse jour juger Jules César justice l'âme l'amour l'égalité l'Église l'empire L'ENCYCLOPÉDIE l'Énéide l'ESPRIT DES LOIS l'Europe l'histoire l'homme l'humanité législateur Lettres persanes liberté libre livre Louis XIV lumière main maître méditations ment messieurs Michel de l'Hospital misère modernes mœurs Molière monarchie monde Montesquieu morale mort nations œuvres paix parle parole passé passion patrie pensée père peuples philosophie poème épique poète politique préjugés premier prince principes puissance qu'un raison religion république respect reste révolution rien rois Romains Rome Rousseau sais savant science secret sentiment sera servitude seul soldats sorte style temple tion tisme tolérance tyrans vérité vertu Villemain Virgile Voltaire yeux Zadig
Popular passages
Page 76 - La liberté politique dans un citoyen est cette tranquillité d'esprit qui provient de l'opinion que chacun a de sa sûreté ; et pour qu'on ait cette liberté », il faut que le gouvernement soit tel qu'un citoyen ne puisse pas craindre un autre citoyen...
Page 382 - Vous voulez aller à la foi, et vous n'en savez pas le chemin ; vous voulez vous guérir de l'infidélité, et vous en demandez le remède : apprenez de ceux qui ont été liés comme vous, et qui parient maintenant tout leur bien ; ce sont gens qui savent ce chemin que vous voudriez suivre, et guéris d'un mal dont vous voulez guérir.
Page 367 - Conscience ! conscience ! instinct divin, immortelle et céleste voix ; guide assuré d'un être ignorant et borné, mais intelligent et libre ; juge infaillible du bien et du mal, qui rend l'homme semblable à Dieu, c'est toi qui fais l'excellence de sa nature et la moralité de ses actions...
Page 66 - La loi, en général, est la raison humaine, en tant qu'elle gouverne tous les peuples de la terre; et les lois politiques et civiles de chaque nation ne doivent être que les cas particuliers où s'applique cette raison humaine.
Page 76 - Comme dans un état libre tout homme qui est censé avoir une âme libre doit être gouverné par lui-même, il faudrait que le peuple en corps eût la puissance législative; mais comme cela est impossible dans les grands états, et est sujet à beaucoup d'inconvénients dans les petits, il faut que le peuple fasse par ses représentants tout ce qu'il ne peut faire par lui-même.
Page 390 - certains animaux farouches , des mâles et des femelles : répandus par la campagne , noirs , livides , et tout brûlés du soleil , attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible : ils ont comme une voix articulée , et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes.
Page 32 - Il n'ya point d'État qui menace si fort les autres d'une conquête que celui qui est dans les horreurs de la guerre civile. Tout le monde, noble,, bourgeois, artisan, laboureur, y devient soldat; et lorsque par la paix les forces sont réunies, cet État a de grands avantages sur les autres , qui n'ont guère que des citoyens.
Page 349 - Celui qui ne peut remplir les devoirs de père n'a point le droit de le devenir. Il n'ya ni pauvreté, ni travaux, ni respect humain, qui le dispensent de nourrir ses enfants et de les élever lui-même. Lecteurs, vous pouvez m'en croire. Je prédis à quiconque a des entrailles et néglige de si saints devoirs, qu'il versera longtemps sur sa faute des larmes amères, et n'en sera jamais consolé 18.
Page 64 - J'ai d'abord examiné les hommes, et j'ai cru que, dans cette infinie diversité de lois et de mœurs, ils n'étaient pas uniquement conduits par leurs fantaisies. J'ai posé les principes, et j'ai vu les cas particuliers s'y plier comme d'eux-mêmes, les histoires de toutes les nations n'en être que les suites, et chaque loi particulière liée avec une autre loi, ou dépendre d'une autre plus générale.
Page 383 - Le dernier acte est sanglant, quelque belle que soit la comédie en tout le reste. On jette enfin de la terre sur la tête, et en voilà pour jamais.