Montesquieu. Voltaire. L'Encyclopédie. J.-J. Rousseau. Résumé généralLibrairie Internationale, 1864 - French literature |
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Page 41
... mère des arts et des lettres . Si Racine lit Tacite , c'est pour extraire une tragédie des annales ; il taille sa Junie et son Britannicus mélancoliques dans ce bronze latin . Le côté politique , moral , est relégué à l'ombre . L ...
... mère des arts et des lettres . Si Racine lit Tacite , c'est pour extraire une tragédie des annales ; il taille sa Junie et son Britannicus mélancoliques dans ce bronze latin . Le côté politique , moral , est relégué à l'ombre . L ...
Page 126
... mère du progrès a droit à nos respects , nous avons droit à sa fidélité . Elle ne sera utile qu'à la condition d'être vraie . Le siècle de Louis XIV nous offre un exemple accompli de cette pre- mière vertu de l'histoire . Accompli ? Je ...
... mère du progrès a droit à nos respects , nous avons droit à sa fidélité . Elle ne sera utile qu'à la condition d'être vraie . Le siècle de Louis XIV nous offre un exemple accompli de cette pre- mière vertu de l'histoire . Accompli ? Je ...
Page 152
... mère que par de nouvelles caresses et de nouveaux baisers . La France en effet n'avait pas de poème épique ; car je ne parle pas ici des épopées du douzième siècle , de ces œuvres fortes et naïves où respi- rent l'âme chevaleresque des ...
... mère que par de nouvelles caresses et de nouveaux baisers . La France en effet n'avait pas de poème épique ; car je ne parle pas ici des épopées du douzième siècle , de ces œuvres fortes et naïves où respi- rent l'âme chevaleresque des ...
Page 160
... cette buco- lique à la Florian ne sont ni de la taille , ni de l'ampleur , ni de la saveur des légendes d'Ho- mère ; même devant la statue du Pont - Neuf 66 دو j'évoque et je regrette Achille , Ajax , Hector , 160 HARANGUES DE L'EXIL .
... cette buco- lique à la Florian ne sont ni de la taille , ni de l'ampleur , ni de la saveur des légendes d'Ho- mère ; même devant la statue du Pont - Neuf 66 دو j'évoque et je regrette Achille , Ajax , Hector , 160 HARANGUES DE L'EXIL .
Page 178
... mère , tu n'es pas de la race de Dardanus , perfide ! L'horrible Causase t'engendra de ses durs rochers ; les tigresses d'Hyrcanie t'offrirent leurs mamelles . Gabrielle d'Estrées aussi reste seule . Vaine- . ment , nouvelle Armide ...
... mère , tu n'es pas de la race de Dardanus , perfide ! L'horrible Causase t'engendra de ses durs rochers ; les tigresses d'Hyrcanie t'offrirent leurs mamelles . Gabrielle d'Estrées aussi reste seule . Vaine- . ment , nouvelle Armide ...
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aimer Alaric âme amour beau Bossuet Charles XII choses Cicéron citoyen cœur conscience Corneille d'Alembert despotisme Diderot Dieu dire divine dix-huitième siècle dogme écrit éloquence esprit fanatisme force génie genre humain gloire gouvernement grandeur Grèce guerre HARANGUES Henri IV HENRIADE héros histoire hommes j'ai jamais jeunesse jour juger Jules César justice l'âme l'amour l'égalité l'Église l'empire L'ENCYCLOPÉDIE l'Énéide l'ESPRIT DES LOIS l'Europe l'histoire l'homme l'humanité législateur Lettres persanes liberté libre livre Louis XIV lumière main maître méditations ment messieurs Michel de l'Hospital misère modernes mœurs Molière monarchie monde Montesquieu morale mort nations œuvres paix parle parole passé passion patrie pensée père peuples philosophie poème épique poète politique préjugés premier prince principes puissance qu'un raison religion république respect reste révolution rien rois Romains Rome Rousseau sais savant science secret sentiment sera servitude seul soldats sorte style temple tion tisme tolérance tyrans vérité vertu Villemain Virgile Voltaire yeux Zadig
Popular passages
Page 76 - La liberté politique dans un citoyen est cette tranquillité d'esprit qui provient de l'opinion que chacun a de sa sûreté ; et pour qu'on ait cette liberté », il faut que le gouvernement soit tel qu'un citoyen ne puisse pas craindre un autre citoyen...
Page 382 - Vous voulez aller à la foi, et vous n'en savez pas le chemin ; vous voulez vous guérir de l'infidélité, et vous en demandez le remède : apprenez de ceux qui ont été liés comme vous, et qui parient maintenant tout leur bien ; ce sont gens qui savent ce chemin que vous voudriez suivre, et guéris d'un mal dont vous voulez guérir.
Page 367 - Conscience ! conscience ! instinct divin, immortelle et céleste voix ; guide assuré d'un être ignorant et borné, mais intelligent et libre ; juge infaillible du bien et du mal, qui rend l'homme semblable à Dieu, c'est toi qui fais l'excellence de sa nature et la moralité de ses actions...
Page 66 - La loi, en général, est la raison humaine, en tant qu'elle gouverne tous les peuples de la terre; et les lois politiques et civiles de chaque nation ne doivent être que les cas particuliers où s'applique cette raison humaine.
Page 76 - Comme dans un état libre tout homme qui est censé avoir une âme libre doit être gouverné par lui-même, il faudrait que le peuple en corps eût la puissance législative; mais comme cela est impossible dans les grands états, et est sujet à beaucoup d'inconvénients dans les petits, il faut que le peuple fasse par ses représentants tout ce qu'il ne peut faire par lui-même.
Page 390 - certains animaux farouches , des mâles et des femelles : répandus par la campagne , noirs , livides , et tout brûlés du soleil , attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible : ils ont comme une voix articulée , et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes.
Page 32 - Il n'ya point d'État qui menace si fort les autres d'une conquête que celui qui est dans les horreurs de la guerre civile. Tout le monde, noble,, bourgeois, artisan, laboureur, y devient soldat; et lorsque par la paix les forces sont réunies, cet État a de grands avantages sur les autres , qui n'ont guère que des citoyens.
Page 349 - Celui qui ne peut remplir les devoirs de père n'a point le droit de le devenir. Il n'ya ni pauvreté, ni travaux, ni respect humain, qui le dispensent de nourrir ses enfants et de les élever lui-même. Lecteurs, vous pouvez m'en croire. Je prédis à quiconque a des entrailles et néglige de si saints devoirs, qu'il versera longtemps sur sa faute des larmes amères, et n'en sera jamais consolé 18.
Page 64 - J'ai d'abord examiné les hommes, et j'ai cru que, dans cette infinie diversité de lois et de mœurs, ils n'étaient pas uniquement conduits par leurs fantaisies. J'ai posé les principes, et j'ai vu les cas particuliers s'y plier comme d'eux-mêmes, les histoires de toutes les nations n'en être que les suites, et chaque loi particulière liée avec une autre loi, ou dépendre d'une autre plus générale.
Page 383 - Le dernier acte est sanglant, quelque belle que soit la comédie en tout le reste. On jette enfin de la terre sur la tête, et en voilà pour jamais.