Montesquieu. Voltaire. L'Encyclopédie. J.-J. Rousseau. Résumé généralLibrairie Internationale, 1864 - French literature |
From inside the book
Results 1-5 of 24
Page 18
... genre humain ? Celui qui vous convie à ce mélanco- lique et prodigieux spectacle de la grandeur et de la décadence de l'Italie , n'est - il pas en quel- que manière , le metteur en scène de l'humanité ? Pour moi , plus je considère l ...
... genre humain ? Celui qui vous convie à ce mélanco- lique et prodigieux spectacle de la grandeur et de la décadence de l'Italie , n'est - il pas en quel- que manière , le metteur en scène de l'humanité ? Pour moi , plus je considère l ...
Page 47
... parût un symbole de justice et d'al- liance , elles ne le chercheraient ni parmi les héros , ni parmi les rois . Mais si l'Europe avait produit un sage dont la gloire fût un 66 titre pour le genre humain , et dont les hon- MONTESQUIEU. ...
... parût un symbole de justice et d'al- liance , elles ne le chercheraient ni parmi les héros , ni parmi les rois . Mais si l'Europe avait produit un sage dont la gloire fût un 66 titre pour le genre humain , et dont les hon- MONTESQUIEU. ...
Page 48
Françoise-Désiré Bancel. titre pour le genre humain , et dont les hon- « neurs au lieu de flatter une vanité nationale , 66 66 66 paraîtraient un hommage décerné par tous « les peuples au génie qui les éclaire ; un philo- sophe assez ...
Françoise-Désiré Bancel. titre pour le genre humain , et dont les hon- « neurs au lieu de flatter une vanité nationale , 66 66 66 paraîtraient un hommage décerné par tous « les peuples au génie qui les éclaire ; un philo- sophe assez ...
Page 51
... genre humain et font osciller les na- tions ; parcourt ces gigantesques étapes qui , s'avançant de la pauvreté fière aboutissent à la riche et grasse servitude ; raconte , à la ma- nière de Jules César en ses Commentaires , les guerres ...
... genre humain et font osciller les na- tions ; parcourt ces gigantesques étapes qui , s'avançant de la pauvreté fière aboutissent à la riche et grasse servitude ; raconte , à la ma- nière de Jules César en ses Commentaires , les guerres ...
Page 62
... genre humain , je « le regarderais comme un crime . » ( M. Gé- ruzez . ) Il mourut le 10 février 1755 , à 66 ans ; usé par le travail , mais calme , résigné , le visage empreint de la sérénité d'un juste , Quelques années auparavant 62 ...
... genre humain , je « le regarderais comme un crime . » ( M. Gé- ruzez . ) Il mourut le 10 février 1755 , à 66 ans ; usé par le travail , mais calme , résigné , le visage empreint de la sérénité d'un juste , Quelques années auparavant 62 ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
aimer Alaric âme amour beau Bossuet Charles XII choses Cicéron citoyen cœur conscience Corneille d'Alembert despotisme Diderot Dieu dire divine dix-huitième siècle dogme écrit éloquence esprit fanatisme force génie genre humain gloire gouvernement grandeur Grèce guerre HARANGUES Henri IV HENRIADE héros histoire hommes j'ai jamais jeunesse jour juger Jules César justice l'âme l'amour l'égalité l'Église l'empire L'ENCYCLOPÉDIE l'Énéide l'ESPRIT DES LOIS l'Europe l'histoire l'homme l'humanité législateur Lettres persanes liberté libre livre Louis XIV lumière main maître méditations ment messieurs Michel de l'Hospital misère modernes mœurs Molière monarchie monde Montesquieu morale mort nations œuvres paix parle parole passé passion patrie pensée père peuples philosophie poème épique poète politique préjugés premier prince principes puissance qu'un raison religion république respect reste révolution rien rois Romains Rome Rousseau sais savant science secret sentiment sera servitude seul soldats sorte style temple tion tisme tolérance tyrans vérité vertu Villemain Virgile Voltaire yeux Zadig
Popular passages
Page 76 - La liberté politique dans un citoyen est cette tranquillité d'esprit qui provient de l'opinion que chacun a de sa sûreté ; et pour qu'on ait cette liberté », il faut que le gouvernement soit tel qu'un citoyen ne puisse pas craindre un autre citoyen...
Page 382 - Vous voulez aller à la foi, et vous n'en savez pas le chemin ; vous voulez vous guérir de l'infidélité, et vous en demandez le remède : apprenez de ceux qui ont été liés comme vous, et qui parient maintenant tout leur bien ; ce sont gens qui savent ce chemin que vous voudriez suivre, et guéris d'un mal dont vous voulez guérir.
Page 367 - Conscience ! conscience ! instinct divin, immortelle et céleste voix ; guide assuré d'un être ignorant et borné, mais intelligent et libre ; juge infaillible du bien et du mal, qui rend l'homme semblable à Dieu, c'est toi qui fais l'excellence de sa nature et la moralité de ses actions...
Page 66 - La loi, en général, est la raison humaine, en tant qu'elle gouverne tous les peuples de la terre; et les lois politiques et civiles de chaque nation ne doivent être que les cas particuliers où s'applique cette raison humaine.
Page 76 - Comme dans un état libre tout homme qui est censé avoir une âme libre doit être gouverné par lui-même, il faudrait que le peuple en corps eût la puissance législative; mais comme cela est impossible dans les grands états, et est sujet à beaucoup d'inconvénients dans les petits, il faut que le peuple fasse par ses représentants tout ce qu'il ne peut faire par lui-même.
Page 390 - certains animaux farouches , des mâles et des femelles : répandus par la campagne , noirs , livides , et tout brûlés du soleil , attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible : ils ont comme une voix articulée , et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes.
Page 32 - Il n'ya point d'État qui menace si fort les autres d'une conquête que celui qui est dans les horreurs de la guerre civile. Tout le monde, noble,, bourgeois, artisan, laboureur, y devient soldat; et lorsque par la paix les forces sont réunies, cet État a de grands avantages sur les autres , qui n'ont guère que des citoyens.
Page 349 - Celui qui ne peut remplir les devoirs de père n'a point le droit de le devenir. Il n'ya ni pauvreté, ni travaux, ni respect humain, qui le dispensent de nourrir ses enfants et de les élever lui-même. Lecteurs, vous pouvez m'en croire. Je prédis à quiconque a des entrailles et néglige de si saints devoirs, qu'il versera longtemps sur sa faute des larmes amères, et n'en sera jamais consolé 18.
Page 64 - J'ai d'abord examiné les hommes, et j'ai cru que, dans cette infinie diversité de lois et de mœurs, ils n'étaient pas uniquement conduits par leurs fantaisies. J'ai posé les principes, et j'ai vu les cas particuliers s'y plier comme d'eux-mêmes, les histoires de toutes les nations n'en être que les suites, et chaque loi particulière liée avec une autre loi, ou dépendre d'une autre plus générale.
Page 383 - Le dernier acte est sanglant, quelque belle que soit la comédie en tout le reste. On jette enfin de la terre sur la tête, et en voilà pour jamais.