Montesquieu. Voltaire. L'Encyclopédie. J.-J. Rousseau. Résumé généralLibrairie Internationale, 1864 - French literature |
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... faisait la guerre avec son opulence contre la pauvreté romaine , avait , par cela même du désavantage ; l'or et l'argent s'épuisent ; mais la vertu , la constance , la force et la pauvreté ne s'épuisent jamais . Il n'y a rien de si ...
... faisait la guerre avec son opulence contre la pauvreté romaine , avait , par cela même du désavantage ; l'or et l'argent s'épuisent ; mais la vertu , la constance , la force et la pauvreté ne s'épuisent jamais . Il n'y a rien de si ...
Page 34
... faisait que cet Etat devait périr par une seule bataille . En un mot , l'allure principale entraîne avec elle tous les accidents particuliers . 66 Arrêtons - nous , messieurs ; contemplons cette longue suite de siècles qui s'étend ...
... faisait que cet Etat devait périr par une seule bataille . En un mot , l'allure principale entraîne avec elle tous les accidents particuliers . 66 Arrêtons - nous , messieurs ; contemplons cette longue suite de siècles qui s'étend ...
Page 40
... faisait ignorer aux Romains l'histoire romaine , mais l'ancienne ? Au sei- zième siècle , plusieurs avaient plongé au fond de cette grande source . Parmi eux , Montaigne et la Boétie . Le premier en sortit , armé d'une érudition immense ...
... faisait ignorer aux Romains l'histoire romaine , mais l'ancienne ? Au sei- zième siècle , plusieurs avaient plongé au fond de cette grande source . Parmi eux , Montaigne et la Boétie . Le premier en sortit , armé d'une érudition immense ...
Page 83
... faisait donner à ses statues . Le principe de la monarchie se corrompt lorsque des âmes singulièrement lâches tirent vanité de la grandeur que pourrait avoir leur servitude , et qu'elles croient que ce qui fait que l'on doit tout au ...
... faisait donner à ses statues . Le principe de la monarchie se corrompt lorsque des âmes singulièrement lâches tirent vanité de la grandeur que pourrait avoir leur servitude , et qu'elles croient que ce qui fait que l'on doit tout au ...
Page 118
... faisait partie de sa verve , et tout « en composant à la fois Éryphile et la Mort de « César . " Son livre marche au pas de charge , comme le roi lui - même dont toute la vie fut une course au clocher des aventures . Il semble qu'on ...
... faisait partie de sa verve , et tout « en composant à la fois Éryphile et la Mort de « César . " Son livre marche au pas de charge , comme le roi lui - même dont toute la vie fut une course au clocher des aventures . Il semble qu'on ...
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Common terms and phrases
aimer Alaric âme amour beau Bossuet Charles XII choses Cicéron citoyen cœur conscience Corneille d'Alembert despotisme Diderot Dieu dire divine dix-huitième siècle dogme écrit éloquence esprit fanatisme force génie genre humain gloire gouvernement grandeur Grèce guerre HARANGUES Henri IV HENRIADE héros histoire hommes j'ai jamais jeunesse jour juger Jules César justice l'âme l'amour l'égalité l'Église l'empire L'ENCYCLOPÉDIE l'Énéide l'ESPRIT DES LOIS l'Europe l'histoire l'homme l'humanité législateur Lettres persanes liberté libre livre Louis XIV lumière main maître méditations ment messieurs Michel de l'Hospital misère modernes mœurs Molière monarchie monde Montesquieu morale mort nations œuvres paix parle parole passé passion patrie pensée père peuples philosophie poème épique poète politique préjugés premier prince principes puissance qu'un raison religion république respect reste révolution rien rois Romains Rome Rousseau sais savant science secret sentiment sera servitude seul soldats sorte style temple tion tisme tolérance tyrans vérité vertu Villemain Virgile Voltaire yeux Zadig
Popular passages
Page 76 - La liberté politique dans un citoyen est cette tranquillité d'esprit qui provient de l'opinion que chacun a de sa sûreté ; et pour qu'on ait cette liberté », il faut que le gouvernement soit tel qu'un citoyen ne puisse pas craindre un autre citoyen...
Page 382 - Vous voulez aller à la foi, et vous n'en savez pas le chemin ; vous voulez vous guérir de l'infidélité, et vous en demandez le remède : apprenez de ceux qui ont été liés comme vous, et qui parient maintenant tout leur bien ; ce sont gens qui savent ce chemin que vous voudriez suivre, et guéris d'un mal dont vous voulez guérir.
Page 367 - Conscience ! conscience ! instinct divin, immortelle et céleste voix ; guide assuré d'un être ignorant et borné, mais intelligent et libre ; juge infaillible du bien et du mal, qui rend l'homme semblable à Dieu, c'est toi qui fais l'excellence de sa nature et la moralité de ses actions...
Page 66 - La loi, en général, est la raison humaine, en tant qu'elle gouverne tous les peuples de la terre; et les lois politiques et civiles de chaque nation ne doivent être que les cas particuliers où s'applique cette raison humaine.
Page 76 - Comme dans un état libre tout homme qui est censé avoir une âme libre doit être gouverné par lui-même, il faudrait que le peuple en corps eût la puissance législative; mais comme cela est impossible dans les grands états, et est sujet à beaucoup d'inconvénients dans les petits, il faut que le peuple fasse par ses représentants tout ce qu'il ne peut faire par lui-même.
Page 390 - certains animaux farouches , des mâles et des femelles : répandus par la campagne , noirs , livides , et tout brûlés du soleil , attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible : ils ont comme une voix articulée , et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes.
Page 32 - Il n'ya point d'État qui menace si fort les autres d'une conquête que celui qui est dans les horreurs de la guerre civile. Tout le monde, noble,, bourgeois, artisan, laboureur, y devient soldat; et lorsque par la paix les forces sont réunies, cet État a de grands avantages sur les autres , qui n'ont guère que des citoyens.
Page 349 - Celui qui ne peut remplir les devoirs de père n'a point le droit de le devenir. Il n'ya ni pauvreté, ni travaux, ni respect humain, qui le dispensent de nourrir ses enfants et de les élever lui-même. Lecteurs, vous pouvez m'en croire. Je prédis à quiconque a des entrailles et néglige de si saints devoirs, qu'il versera longtemps sur sa faute des larmes amères, et n'en sera jamais consolé 18.
Page 64 - J'ai d'abord examiné les hommes, et j'ai cru que, dans cette infinie diversité de lois et de mœurs, ils n'étaient pas uniquement conduits par leurs fantaisies. J'ai posé les principes, et j'ai vu les cas particuliers s'y plier comme d'eux-mêmes, les histoires de toutes les nations n'en être que les suites, et chaque loi particulière liée avec une autre loi, ou dépendre d'une autre plus générale.
Page 383 - Le dernier acte est sanglant, quelque belle que soit la comédie en tout le reste. On jette enfin de la terre sur la tête, et en voilà pour jamais.