Logique française, pour préparer les jeunes gens à la rhétoriqueStapleaux, 1818 - 245 pages |
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... force aussitôt qu'il res- pire ; le Lion ne quitte la mamelle de sa mère que pour régner sur les déserts qui l'ont vu naître ; le Chien fidèle , l'indus- trieux Castor , le Singe si singulier par sa finesse et sa dextérité ; tous ces ...
... force aussitôt qu'il res- pire ; le Lion ne quitte la mamelle de sa mère que pour régner sur les déserts qui l'ont vu naître ; le Chien fidèle , l'indus- trieux Castor , le Singe si singulier par sa finesse et sa dextérité ; tous ces ...
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... force de raisonnement , cette so- lidité , cette justesse de pensée , indépen- dantes des conditions , de la fortune et de l'étude ; cette faculté de se former des prin- cipes clairs , et d'en tirer d'exactes consé- quences , voilà ce ...
... force de raisonnement , cette so- lidité , cette justesse de pensée , indépen- dantes des conditions , de la fortune et de l'étude ; cette faculté de se former des prin- cipes clairs , et d'en tirer d'exactes consé- quences , voilà ce ...
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... force et la dé- licatesse , la précision et l'abondance , la symétrie et la variété . Mais comment se livrer à l'étude de la Logique avant que de s'appliquer à celle de l'Éloquence ? Faut - il donc dessécher son imagination FRANÇAISE . 7.
... force et la dé- licatesse , la précision et l'abondance , la symétrie et la variété . Mais comment se livrer à l'étude de la Logique avant que de s'appliquer à celle de l'Éloquence ? Faut - il donc dessécher son imagination FRANÇAISE . 7.
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... force , cette étendne cette richesse , qu'augmentent et perfec- tionnent le temps , l'étude , et les différentes situations de la vie humaine . Une observa- tion très - naturelle vient à l'appui de ce sentiment . Supposons un homme né ...
... force , cette étendne cette richesse , qu'augmentent et perfec- tionnent le temps , l'étude , et les différentes situations de la vie humaine . Une observa- tion très - naturelle vient à l'appui de ce sentiment . Supposons un homme né ...
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... force d'àme , j'avouerai >> néanmoins que cette nouvelle forme sous » laquelle se prépare un jugement nou- >> veau épouvante mes yeux , qui , de quel- » que côté qu'ils se tournent , cherchent >> en vain l'ancienne coutume du Forum ...
... force d'àme , j'avouerai >> néanmoins que cette nouvelle forme sous » laquelle se prépare un jugement nou- >> veau épouvante mes yeux , qui , de quel- » que côté qu'ils se tournent , cherchent >> en vain l'ancienne coutume du Forum ...
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Common terms and phrases
Alcippe Andromaque Archytas avare Avitus avoit c'étoit CEDIPE chose Cicéron Clodius cœur comparaison conclusion conjonctifs connoissances connoître Conséquence cruel cùm d'honorer un juge Dieu Dieux Dilemme dire discours disoit enfans enfin Enthymème époux étoient étoit exemple extremum fausse faux foible foiblesse forme gique gisme gloire hæc heureux homme idées Induction ISMÈNE jour jugemens juste l'attribut l'autre l'Enthymème l'homme l'idée l'un Logiciens Logique Logique de Port-Royal loi divine magistrat majeure malheureux MARPHURIUS méchans Ménélas Mensonge est odieux ment méthode mineure mort mortel moyen terme n'en nature négative nisi noblesse objets OEdipe Oppianicus par-là paroît pensée père permis de tuer petit extrême peuple Philoclès philosophe pouvoit premier prémisses preuves principe Proposition prouver qu'un quæ raison raisonnemens rapport règles reux rien s'il scène sens sentimens sentir seroit Sésostris seul SGANARELLE simple Socrate Sophocle Sorite sorte sots admirateurs sujet Syllogisme Télémaque tion vanité vérité vertueux vice voilà vrai
Popular passages
Page 231 - PENDANT qu'un philosophe assure Que toujours par leurs sens les hommes sont dupés , Un autre philosophe jure Qu'ils ne nous ont jamais trompés. Tous les deux ont raison , et la philosophie Dit vrai quand elle dit que les sens tromperont Tant que sur leur rapport les hommes jugeront.
Page 241 - Selon que notre idée est plus ou moins obscure, L'expression la suit, ou moins nette, ou plus pure. Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement , Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Page 69 - Et quel temps fut jamais si fertile en miracles ? Quand Dieu par plus d'effets montra-t-il son pouvoir ? Auras-tu donc toujours des yeux pour ne point voir, Peuple ingrat! Quoi! toujours les plus grandes merveilles « Sans ébranler ton cœur frapperont tes oreilles...
Page 69 - L'impie Achab détruit, et de son sang trempé Le champ que par le meurtre il avait usurpé ; Près de ce champ fatal Jézabel immolée, Sous les pieds des chevaux cette reine foulée, Dans son sang inhumain les chiens désaltérés, Et de son corps hideux les membres déchirés...
Page 100 - Tout l'agite, l'inquiète, le ronge ; il a peur de son ombre ; il ne dort ni nuit ni jour ; les Dieux, pour le confondre, l'accablent de trésors dont il n'ose jouir. Ce qu'il cherche pour être heureux est précisément ce qui l'empêche de l'être. Il regrette tout ce qu'il donne, et craint toujours de perdre ; il se tourmente pour gagner. " On ne le voit presque jamais ; il est seul, triste, abattu, au fond de son palais ; ses amis mêmes n'osent l'aborder, de peur de lui devenir suspects.
Page 114 - S'est couvert mille fois d'une noble poussière : Mais la postérité d'Alfane et de Bayard, Quand ce n'est qu'une rosse, est vendue au hasard. Sans respect des aïeux dont elle est descendue, Et va porter la malle, ou tirer la charrue.
Page 177 - De tous les animaux qui s'élèvent dans l'air, Qui marchent sur la terre, ou nagent dans la mer, De Paris au Pérou , du Japon jusqu'à Rome , Le plus sot animal , à mon avis , c'est l'homme.
Page 96 - S'il ne m'en laisse assez pour avoir un cochon. Le porc à s'engraisser coûtera peu de son ; II était, quand je l'eus, de grosseur raisonnable : J'aurai, le revendant, de l'argent bel et bon.
Page 96 - Chacun songe en veillant; il n'est rien de plus doux: Une flatteuse erreur emporte alors nos âmes; Tout le bien du monde est à nous, Tous les honneurs, toutes les femmes.
Page 180 - On ne voit point deux fois le rivage des morts, Seigneur. Puisque Thésée a vu les sombres bords, En vain vous espérez qu'un Dieu vous le renvoie, Et l'avare Achéron ne lâche point sa proie.* Que dis-je?