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Toucher. Grand fecret pour se faire applaudir fur le Thea

tre,

116. 117

116

Tragedie, fes pointes, 113. Ses expressions, L'origine, les commencemens & les progrés de la Trage

- die,

La Trape ennoblie l'exil de la Molleffe,..

Tribut legitime de fon travail,

Triolets de Marot,

117

15002

131

106

Trouble qui paroift dans une action de Theatre, comment

doit eftre débrouillé ;

Tumulte. Affiette tranquille au fein du Tumulte,

Turlupins reftez à la Cour,

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Vers. Voyez Auteur.

Combien les Vers font neceffaires à la reputation des Heros,

Vers pleins de fincerité,

Que les vers ne doivent pas être le continuel emploides.

Poëtes,

Les fruits des premiers Vers,

Vertu fauvage qui court à l'Hospital,

La Vertu eft la marque certaine d'un cœur noble,

Vertus qui balancent les vices,

S4

84

1313

là mẹfme. &,132

14

33

48

87.

16.:

89

81

Par quel moyen la Vertu devient lâche & timide,

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Vigilance répandue dans les cœurs par l'espoir d'un repas,

Ville. Que les Villes font fertiles en modeles y ·

160

126

Villón, premier Poëte François qui ait poli la Rime, 106. Vin quirit dans la fougere.

152

Virgile. Il faut efire femblable à ce Poëte pour chanter un

Augufté,

L'Or de Virgile,

Enquoi Virgile doit estre imitéy

Virilité. Voyez Age.

Vivonne. Voyez Rhin.

Voeux. Laffer le Ciel par des Vexx impuiffans,

Voïelle heurtée d'une autre Voielle,

Voiture & fa liberté à railler,

Vol mefuré au genie,

10

63

110

13.

106

77

9

Volcurs. Le danger des Voleurs dans Paris pendant la

nuit,

39

148

Volupté qui fert la Mollelle avec des yeux devats,
Vrai. Que le vrai n'eft pas toujours vrai-femblable, 117

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TRAITÉ

DU

SUBLIME

O U

DU MERVEILLEUX

DANS LE DISCOURS,

Traduit du Grec de Longin.

PREFACE.

E petit Traité, dont je donne la traduction au Public, eft une piece écha pée du naufrage de plufieurs autres Livres que Longin avoit composés.. Encore n'eft elle pas venue à nous toute entiere. Can bien que le volume ne foit pas fort gros, il y a pho fieurs endroits defectueux, & nous avons perdu le Traité des Passions, dont l'Auteur avoit fait un Liure à part qui eftoit comme une fuite naturelle de celui-ci. Neanmoins tout defigurá qu'il eft, il nous en reste encore affez, pour nousfaire concevoir une fort grande idée de fon Au teur,& pour nous donner un veritable regret de la perte de fes autres Ouvrages. Le nombre n'en était pas mediocre Suidus en compte juf qu'à neuf, dons il ne nous reste plus que des ti tres affez confus. Ceftoient tous Ouvrages de critique. Et certainement on ne fçauroit affez plain

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