Œuvres completes de Voltaire, Volume 24la Société Littéraire-typographique, 1785 |
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... forces . Il mangea , et l'empyrique affura qu'il guérirait . La foule qui entourait le duc d'Orléans diminua dans le moment . Si le roi mange une seconde fois , " dit le duc d'Orléans , nous n'aurons plus perfonne . Mais la maladie ...
... forces . Il mangea , et l'empyrique affura qu'il guérirait . La foule qui entourait le duc d'Orléans diminua dans le moment . Si le roi mange une seconde fois , " dit le duc d'Orléans , nous n'aurons plus perfonne . Mais la maladie ...
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... par lui , perdait de la grandeur et de la force qu'on doit avoir en exécutant " les ordres d'un roi de France . Si j'avais pris ( ) M. de Pompone . » le parti de l'éloigner plus tôt , j'aurais évité 116 ECRITS DE LA MAIN.
... par lui , perdait de la grandeur et de la force qu'on doit avoir en exécutant " les ordres d'un roi de France . Si j'avais pris ( ) M. de Pompone . » le parti de l'éloigner plus tôt , j'aurais évité 116 ECRITS DE LA MAIN.
Page 138
... force nouvelle fous la régence du duc d'Orléans . Pondichéri devint alors la rivale de Batavia ; et cette compagnie des Indes , fondée avec des peines extrêmes par le grand Colbert , repro- duite de nos jours par des fecouffes ...
... force nouvelle fous la régence du duc d'Orléans . Pondichéri devint alors la rivale de Batavia ; et cette compagnie des Indes , fondée avec des peines extrêmes par le grand Colbert , repro- duite de nos jours par des fecouffes ...
Page 157
... forces à mesure que le nombre et la puiffance de fes ennemis augmentaient , il eut enfin jusqu'à quatre cents cinquante mille hommes armes , en comptant les troupes de la marine . en Avant lui on n'avait point vu de fi fortes armées ...
... forces à mesure que le nombre et la puiffance de fes ennemis augmentaient , il eut enfin jusqu'à quatre cents cinquante mille hommes armes , en comptant les troupes de la marine . en Avant lui on n'avait point vu de fi fortes armées ...
Page 158
... forces maritimes s'effayer à Gigeri , fur la côte d'Afrique . Le duc de Beaufort purge les mers de pirates , dès l'an 1665 ; et , deux ans après , la France a dans fes ports foixante vaiffeaux ... force . 11 ne veut pas confentir 158 MARIN E.
... forces maritimes s'effayer à Gigeri , fur la côte d'Afrique . Le duc de Beaufort purge les mers de pirates , dès l'an 1665 ; et , deux ans après , la France a dans fes ports foixante vaiffeaux ... force . 11 ne veut pas confentir 158 MARIN E.
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Common terms and phrases
accufations affez ainfi auffi avaient c'eft c'eſt C'était calviniftes cardinal de Noailles cardinal de Richelieu cardinal Mazarin caufe cents chofes choſes Clément XI clergé Colbert commerce compofa confeil conferver confidérables cour difait difputes donner duc d'Orléans ducheffe efprits enfans enfuite eſpèce eſt évêques fages faibleffe faint fans favait fciences fecret fefait femblait fentait fervir feul fiècle foit font fous fouvent fouverain fubfifte fuivant fujets fur-tout goût gouvernement guerre Henri IV homme huguenots inftruit Innocent XII Janfenius jéfuites jufqu'à l'archevêque l'efprit l'Eglife l'Etat l'Europe l'hiftoire laiffa lettres livres long-temps Louis XIV Louvois madame de Maintenon madame de Montefpan madame Guyon mademoiſelle maiſon maréchal mémoires mille millions miniftre mort n'avait n'eft n'était nation néceffaire paffé pape perfonne perſonne peuple philofophie plufieurs prefque preſque prince princeffe priſon propofitions puiffance refte religion Richelieu Rome royaume s'eft ſes Siècle de Louis ſon Tellier tion ufage Verſailles
Popular passages
Page 236 - Il n'ya dans la nature humaine qu'une douzaine, tout au plus, de caractères vraiment comiques et marqués de grands traits.
Page 220 - O nuit désastreuse ! ô nuit effroyable où retentit tout à coup, comme un éclat de tonnerre, cette étonnante nouvelle : MADAME se meurt ! MADAME est morte ! Qui de nous ne se sentit frappé à ce coup, comme si quelque tragique accident avait désolé sa famille?
Page 217 - Toutes les sortes d'éloquence y sont renfermées. Il n'ya pas un seul mot qui, depuis cent ans, se soit ressenti du changement qui altère souvent les langues vivantes. Il faut rapporter à cet ouvrage l'époque de la fixation du langage.
Page 30 - XIV eft aflez défigné dans ces deux vers de la Bérénice de Racine : Qu'en quelque obfcurité que le ciel l'eût fait naître, Le monde en le voyant eût reconnu fon maître.
Page 116 - Je n'ai pas profité de tous les avantages que je pouvais avoir, et tout cela par complaisance et bonté. Enfin il a fallu que je lui ordonne de se retirer, parce que tout ce qui passait par lui perdait de la grandeur et de la force qu'on doit avoir en exécutant les ordres d'un roi de France.
Page 221 - Juifs avec celle des autres nations , a trouvé des contradicteurs chez les savants, son style n'a trouvé que des admirateurs. On fut étonné de cette force majestueuse dont il décrit les mœurs , le gouvernement, l'accroissement, et la chute des grands empires; et de ces traits rapides d'une vérité énergique , dont il peint et dont il juge les nations.
Page 224 - Un style rapide, concis, nerveux , des expressions pittoresques, un usage tout nouveau de la langue, mais qui n'en blesse pas les règles, frappèrent le public; et les allusions qu'on y trouvait en foule achevèrent le succès. Quand La Bruyère montra son ouvrage manuscrit à M. de Malézieu , celui-ci lui dit : « Voilà de quoi vous attirer beaucoup de lecteurs
Page 308 - qui vient d'égorger des poulets, en se léchant le museau plein de