XVIII. LE VIEILLARD ET SES ENFANS. Toute puissance est faible, à moins que d'être unie.s Si j'ajoute du mien à son invention, C'est pour peindre nos mœurs, et non point par envie; I Je suis trop au-dessous de cette ambition. a by anst Mes chers enfans, dit-il, (à ses fils il parlait),d T p Les rendit, en disant Je le donne aux plus forts.. posture, Mais en vain. Un cadet tente aussi l'aventure.. Vous voyez, reprit-il, l'effet de la concorde. Ceux-là sur une erreur, ceux-ci sur un défaut. XIX. L'ORACLE ET L'IMPIE. Vouloir tromper le ciel, c'est folie à la terre. Un païen qui sentait quelque peu le fagot, (2) bossa al Alla consulter Apollon. 7831 Dès qu'il fut en son sanctuaire ub! Ce que je tiens, dit-il, est-il en vie, ou non? 1 Le Labyrinthe.sebe 1602 HO 2 Qui s'exposait à être brûlé comme athée. Il tenait un moineau, dit-on, Pour mettre Apollon en défaut.i esiber Apollon reconnut ce qu'il avait en tête; Mort ou vif, lui dit-il, montre-nous ton moineau, Tu te trouverais mal d'un pareil stratagème:res ti y !! XX. L'AVARE QUI A PERDU SON TRÉSOR!! L'usage seulement fait la possession. in Annessy a JE demande à ces gens de qui la passion 199 Est d'entasser toujours mettre somme sur somme,so! Quel avantage ils ont que n'ait pas un autre homme. Diogène (1) là-bas est aussi riche qu'eux, Et l'avare ici-haut, comme lui, vit en gueux, ziel of oft L'homme au trésor caché, qu'Esope nous propose, Servira d'exemple à la choses Ce malheureux attendaitre Pour jouir de son bien une seconde vie; 1 Philosophe fort pauvre,.mais pauve volontaires 10& Ne possédait pas l'or, mais l'or, le possédait, !! n'ayant autre déduit (2) Que d'y ruminer jour et nuit Et rendre sa chevance (3) à lui-même Qu'il allat ou qu'il vint, qu'il but ou qu'il mangeât, A l'endroit où gisait (4) cette mne songeat, enterrée. Il y fit tant de tours qu'un fossoyeur le vit st se tourmente, il se déchire, Juna ogpanti Un passant lui demande à quel sujet ses cris. C'est mon trésor que l'on m'a pris. busms at Votre trésor! qù, pris? Tout joignant cette pierre.Eh! sommes-nous en temps de guerre Pour l'apporter si loin N'eussiez-vous pas mieux fait! 2 Plaisir v.3 Biens, L'argent vient-il comme il s'en va. Je n'y touchais jamais. Dites-moi donc de grâce, Reprit l'autre, pourquoi vous vous affligez tant, Puisque vous ne touchiez jamais à cet argent, Mettez une pierre à la place, Elle vous vaudrait tout autant. Jag bœufs, Un cerf s'étant sauvé dans une étable à bo Qu'il cherchât un meilleur asile. Tub Je vous enseignerai les Mes frères, leur dit-il, Les bœufs à toute ured fin me décélez pasio les plus gras; Ce service vous peut quelque jour être utile, Et point regret. promirent le secret. Il se cache en un. coin respire et prend courage o Sur le soir on apporte herbe fraiche et fourrage, Comme l'on faisait tous les jours. L'on va, l'on vient, les valets font L'intendant même; et pas un ano 201 cent tours, sun d'aventure N'aperçut ni cor, ni ramure des Ni cerf enfin. L'habitant Rend déjà grâce aux bœufs, attend dans cette étable Que, chacun retournant au travail de Cérès Il trouve pour sortir un moment favorable. |